Letertre Emeline Synthèse Français Depuis une dizaine d’année, on constate une évolution dans nos modes de consommation, les consommateurs dépensent plus qu’auparavant. Est-ce par plaisir, par nécessité ou simplement parce tout le monde possède ce produit ? On peut donc se demander en quoi les nouveaux modes de consommation sont un plaisir et quelles sont les limites ?
Pour cela, nous étudierons les documents suivants, le premier de Weinberg « la fièvre acheteuse paru en 2011, ce magazine nous évoquera l’histoire d’une acheteuse com volontaire » écrit par ass rs Ruff, ils nous expliqu Sni* to View nextggge déshumanisent, puis Charrin nous raconte de la servitude os dit par Fleury et echnologies nous » dont l’auteur est s est associée au luxe. Enfin le dernier document, qui est une image d’une famille autour d’une tablette numérique.
Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps la notion de plaisir de ces nouvelles consommations, ensuite ces limites puis les conséquences qu’elles peuvent avoir sur le plan humain et matériel. Tout d’abord le terme consommation est associé au plaisir, au ait que cela nous procure une sensation de Swipe to vlew next page bien-être. D’ailleurs, A. Weinberg nous montre l’importance de consommer dans son article. Elle évoque l’histoire d’une femme de 45ans prénommait Corine qui est mariée à ses paires de chaussures. our parler de ces chaussures en question, elle les compare à un petit trésor donc un bien important qui représente beaucoup aux yeux de cette femme. Cette notion de plaisir apparaît aussi sur le document 4 qui montre une famille réunit autour d’une tablette, ils affichent tous un grand sourire. Ce ui évoque la fierté et la joie de posséder ce nouvel appareil technologique. De plus, cette sensation de plaisir se retrouve à chaque achat pour la plupart des consommateurs.
Le fait de rentrer dans une boutique et d’acheter ce produit que l’on désire plus que tout nous rend heureux et cela se produit très fréquemment, puisque dès que l’on possède le produit de nos rêves, un autre objet le remplace Cest le cas de Corinne qui, malgré qu’elle possède 73 paires de chaussures se rend à nouveau chaque semaine dans un magasin. Jailleurs elle ressent toujours ce même plaisir, une orte de fièvre devant les étalages de chaussures, son cœur qui bat et un intense plaisir à les essayer. Puis, le profil de l’acheteur est définit par Charrin comme un individu riche, aisé.
Elle évoque le fait que ces acheteurs dépensent des produits de luxe en termes d’objets ou de nourritu Elle évoque le fait que ces acheteurs dépensent des produits de luxe en termes d’objets ou de nourriture. Cest ce que l’image nous prouve puisque le cadre dans lequel vit la famille est plutôt chaleureux et confortable. Donc, consommer permet de nous pporter ce plaisir au quotidien en franchissant simplement un magasin ou avec une simple souris dordinateur ou de tablette, cependant la consommation à des limites.
Dans un second temps, la consommation évoque des limites. D’une part concernant l’addiction à la consommation, l’article d’AWeinberg qui décrit justement cet état psychologique : le fait de ne pas pouvoir s’empêcher de consommer et de ne pas résister au fait d’acheter un objet. Ces personnes touchées par cette addiction ont le besoin d’acheter, pour permettre d’assouvir leur envie. Cependant une fois l’acte effectué, ils regrettent comme Corrine qui une fois rentré chez elle ressent un sentiment de honte, de culpabilité.
De plus, consommer suscite un effet de dépersonnalisation. C’est ce que montre les propos de Rueff et Fleury, ils évoquent notamment le sujet du téléphone portable qui est sans cesse démoder, de nouveaux portables sortent chaque année et poussent les consommateurs à s’approprier le nouveau qui est sortie qui est à la mode. Nous ne sommes plus maîtres de nous- même, les individus écoutent le marketing leur entourage e