Schizophr Nie Et Autres Troubles Psycho Hellip

SCHIZOPHRENIE et AUTRES TROUBLES PSYCHOTIQUES Dr FAGET-AGIUS Catherine Chef de Clinique Assistante Service du Pr Lançon CHU Sainte Marguerite catherine. faget@ap-hm. fr Psychose: définition • Psyche (grec): âme • Un état dans lequel personne a reconnai communiquer avec d altérée. • Cet état interfère a or 11 la Sni* to tres aux exigences de la vie.

Psychose: • Nosographie française • Nosographie internationale CIM 10: Classification Internationale des Maladies (OMS) DSM IV-TR: Diagnostic and Statistical Manual (American Psychiatric Association) psychose: Nosographie Française Nosagraphie du DSM IV-TR ositifs • Symptômes négatifs • Dimension agressivité – hostilité • Dimension dépresslon — anxieté • Dimension cognitive SEMEIOLOGIE: nosographie française • Syndrome délirant: 1 . Mécanisme: hallucinatoire, intuitif, imaginatif, interprétatif, illusion 2.

Thème: persécution, mégalomanie hypochondrie, érotomanie, mystique 3. Structure: non structuré, non systématisé (pas de thème directeur, incohérent) 4. Adhésion totale 5. Participation émotionnelle • Mécanisme du syndrome délirant: • Hallucinatoire: Hallucinations = perception sans objet • Peuvent toucher les cinq sens ?? L’ouie hallucinations auditives : « les bruts, les voix » • La vue hallucinations visuelles : « les visions » • L’odorat. allucinations olfactives : « les fausses odeurs » • Le goût hallucinations gustatives : les mauvais goûts » • Le toucher —hallucinations tactiles : « on me touche » SEMEIOLOGIE-: nosographie française Les hallucinations psychique automatisme mental = le sujet à l’impression de ne plus être maître de ses pensées, échos de la ensee L’interprétation PAG » 1 est un élément dissociatif caractérisé part ambivalence: en même temps affect, attitude et propos ontradictoires Impénétrabilité: aspect énigmatique incompréhensible Bizarrerie: aspect inhabituel des comportements et des actes Détachement du réel: • Syndrome dissociatif: dissociation intellectuelle Trouble du cours de la pensée Trouble du langage Trouble du système logique Trouble de la concentration Trouble du cours de la pensee • Relachement des association des idées: diffluence • Trble débit idéique: barrage, fading, augmentation du temps de réponse • Pensée ralentie: persévérations, ruminations • Réponse à coté: syndrome de Ganser Mutisme, monologues (soliloquie), néologisme, aralogisme, schizophasie PAGF30F11 psychomotrice: échomimie, échopraxie, écholalie Stéréotypies: gesticulations automatiques Catalepsie: flexibilité clreuse, conservation des attitudes imposées, perte de l’initiative motrice • Syndrome dissociatif: dissociation motrice Syndrome catatonique (catatonie) Négativisme psychomoteur – Catalepsie – Inertie psychomotrice – Hyerkinésie (stéréotypies et impulsions). • Repli autistique: Repli sur soi (clinophilie, mutisme, impénétrabilité) – Indifférence – Absence de référence au réel (monde intérieur).

SEMEIOLOGIE: nosographie DSM IV ?? Symptomatologie positive: hallucinations, idées délirantes et désorganisation du langage et du comportement (=dissociation idéique) Les fausses croyances « je suis Jésus Christ » Des idées fausses à partir de quelque chose de réel : La réalité: « Un inconnu m’a regardé ce matin » L’idée fausse: « je pense qu’il m’en veut » La réalité: « Cette voiture qui passe devant moi est rouge » l’idée fausse: « Je crois que c’est un signe et que je suis menacé » SEMEIOLOGIE: nosograph PAGF 11 Différents d’un patient à l’autre Impact important sur le comportement et le fonctionnement psycho-social Mauvaise observance thérapeutique Schizophrénie et dysfonctions cognitives Étapes Processus 1. Saisie de l’information • Perception des stimuli • Sélection des stimuli 2. Traitement de • Encodage • Mise en mémoire • Stratégies cognitives de résolution de problèmes • Interprétation 3. Réponse • Aspects moteurs • Aspects cognitifs • Aspects affectifs Dysfonctions • Déficit de l’attention s 1 dopaminergie méso limbique • E Il extrapyramidaux hypo dopaminergie nigro striée • E Il hyperprolactinémie hypodopaminergie ÉTIOLOGIE Hypothèse neurodéveloppementale (Lewys et Murray, 1986)

ETIOLOGIE EVOLUTION • 25 % : évolution favorable sans rechute • 25 % : évolution secondairement favorable avec rechutes • 30 % : évolution avec rechutes régulièrement • 20 % : résistants • Espérance de vie diminuée de 15 ans • 15 % de suicide HANDICAp HANDICAP • Professionnel: isolement professionnel; AAH; RQTH; emplois protégée (ESAT) • Social et familial: isolement • Financier: protection des biens (curatelle, tutelle) • Quotidien: déficit des habilités sociales PRISE EN CHARGE: OBJECTIFS • Réduire ou éliminer les symptômes. • Préserver les capacités cognitives et les capacités ‘adaptation pour contribuer à l’autonomie et à la qualité de vie. 6 1 sociales Prise en charge des familles REHABILITATION PSYCHOSOCIALE PRISE EN CHARGE 2 approches complémentaires Personne malade *Aider à faire face Psychoéducation Guidance *Réduire ou compenser les dysf. ognitifs, affectifs et sociaux Remédiation cognitive TCC Réhabilitation psycho-sociale Ateliers d’ergothérapie Club loisirs environnement * Soutenir la famille Associations Psychoéducation (profamille) * Compenser les difficultés Aide financière Aide au logement Gestion de l’argent Travail Vie sociale et loisirs SCHIZOPHRENIE: conclusi PAGF70F11 ais moins d’un mois avec retour complet au niveau de fonctionnement prémorbide. C: La perturbation n’est pas mieux expliquée par un trouble de l’humeur avec caractéristiques psychotlques, un trouble schizo- affectif ou une schizophrénie et n’est pas due aux effets physiologiques d’une substance (p. ex. une substance donnant lieu à abus, un médicament) ou d’une affection médicale générale. TROUBLE PSYCHOTIQUE BREF • Spécifier si avec facteur(s) de stress marqué(s) (psychose réactionnelle brève): Si les symptômes psychotiques apparaissent immédiatement à la suite d’un ou plusieurs stress et en réponse à ces stress qui, euls ou avec d’autres, produiraient des symptômes significatifs de détresse chez la plupart des gens d’une même culture; OU sans facteur(s) de stress marqué(s). • L’évolution d’un épisode psychotique aigu et transitoire, par définition, est de brève durée, soit de quelques jours à quelques semaines. L’évolution à plus long terme est quant à elle mal connue.

Facteurs de pronostic favorable Bon fonctionnement pré PAGF B1 attention au passage a l’acte Construction en secteur, restent centrés sur l’objet thématique quasi unique du délire PARANOÏA Érotomanie « Conviction délirante détre aimé » Plus fréquemment des femmes L’objet de l’érotomanie tient le plus souvent une position sociale élevée ou enviée Évolution en trois stades : espoir, dépit, rancune Attention Jalousie Essentiellement des hommes S’installe de façon insidieuse et se nourrit d’événement anodins qui font Fob’et d’interprétatioons délirant d’envisager des solutions alternatives) En HO Les traitement médicamenteux Antipsychotique atypique Les psychothérapies Garder ses distances Instaurer un climat de confiance Eviter l’affrontement et les attitudes de rejet Peu indiquées car peu de remise en question et d’introspection…

Peu de traitement possible? TROUBLE PSYCHOTIQUE PARTAGE Folie à deux • Des idées délirantes se développent chez un individu dans le contexte d’une relation étroite avec une ou plusieurs autre(s) personne(s), qui a déjà des idées délirantes avérees. • Le contenu des idées délirantes est semblable à celui de la personne qui a déjà des idées délirantes avérées. • La perturbation n’est pas mieux expliquée par un autre trouble psychotique (schizophrénie) ou un trouble de l’humeur avec caractéristiques psychotiques et n’est pas due aux effets physiologiques directs d’une substance (par exemple, une dro ue d’abus, un médicament) ou d’une aff 11