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Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non. Malgré que les deux extraits traitent du Français comme étant un être supérieur, ceux-ci diffèrent tend ? la manière d’approche que les Français ont à l’égard du sauvage. Argument principal 1 À première vue, le Français est représenté d’une façon slmllalre, puisqu’il est lié dans les deux extraits à la supériorité qu’il a sur le Sauvage. Sous-argument 1. 1 Sous-argument 1. Dans Voyages en Nouvelle-France, la ruse utilisée par le Français est associée à l’expression de la supériorité. Dans Dialogues de M Sauvage dans l’Améri émontre nettement Illustration 1. 1 Illustration 1 2 ntan et d’un e son pays et le Sni* to View « nous lui [montrèrent] une hache. Feignant de la lui bailler pour sa peau Et l’un de nos gens, étant dans notre bateau, mit la main sur sa dite barque, et incontinent il en entra deux ou trois dans leur barque et on les fit entrer dans notre navire, de quoi ils furent bien étonnés ». ligne 15-17) « N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et un milllon de gens d’autres états qui vivent comme des rois, à qui rien ne manque et qui ne se souviennent d’avoir vécu que quand il faut mourir »? ligne 23-25) Explication 1. 1 Explication 1. 2 Le troc était une activité fréquemment utilisée à ce moment et le Français se sert de cette tactique afin d’attirer vers lui le Sauvage.

Le verbe « « feindre » démontre bien la ruse qu’il utilise à régard du Sauvage et met de l’avant la domination qu’il a sur celui-ci. L’énumération des nombreux statuts de France met en évidence la fierté qu’il a envers son pays. De cette façon, il met l’emphase sur la vie parfaite des Français contrairement à celle des Hurons. L’utilisation du « n’as-tu pas vu » rend le ton de la phrase hostile, n perçoit la supériorité qu’il manifeste à l’égard du sauvage d’Amérique.

Argument principal 2 Si l’on approfondit l’analyse, il ressort que Cartier représente le Français comme un homme typique et bon de la Nouvelle-France, alors que baron de Lahontan décrit le Français comme un être vaniteux de ses origines. Sous-argument 2. 1 Sous-argument 2. 2 Tout d’abord, la description du Français fait par Cartier semble plutôt très simple. Il le représente comme un être humain tout ? fait ordinaire.

Dans le Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, le Français est décrit dans toute sa odestie. Illustration 2. 1 Illustration 2. 2 « et [habilla] ses dits fils de deux chemises, et en livrées, et de bonnets rouge, et à chacun, sa chaînette de laiton au col (ligne 23-24) « ils ont de beaux carrosses, de belles maisons ornées de tapisseries et de tableaux magnifiques; de beaux jardins où se cueillent toutes sortes de fruits (ligne 20-21) Explication 2. 1 Explication 2. Alors que la chemise et le bonnet rouge restent un habillement bien simple qui demeure encore aujourd’hui une image typique de l’homme de Nouvelle-France PAG » OF d habillement bien simple qui demeure encore aujourd’hui une mage typique de l’homme de Nouvelle-France, la chainette de laiton met en évidence la simplicité des éléments qui servaient ? habiller le Français lors de ses expéditlons. L’énumération des diverses possessions des Français à l’égard de ce que le Sauvage possède met de ravant le côté modeste qu’il donne au Français en le décrivant.

Il énumère seulement les beaux côtés de la vie des Français en mettant de côté les autres aspects de la vie. Cette énumération met également en évidence le côté vaniteux de baron de Lahontan et de ce qui semble définir tous les Européens. Argument principal 3 Malgré que le Français soit représenté comme un être supérieur, la façon dont Cartier et baron de Lahontan approchent le Sauvage diffère nettement. Sous-argument 3. 1 Sous-argument 3. 2 Voyages en Nouvelle-France, met en avant-plan la confiance que priorise le Français lors de sa rencontre avec le Sauvage.

Le Dialogues de Monsieur baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, est plus axé sur le paraitre et est hostile avec le Sauvage lors de leur rencontre. Illustration 3. 1 Illustration 3. 2 « ils furent assurés par le capitaine qu’ils n’auraient nul mal, en eur démontrant grands signes d’amour ; et on les fit boire et manger, et faire grande chère (ligne 19-20) « il me semble que ton goût et ton discernement sont bien sauvages, de ne pas trouver l’état des Européens préférable ? celui des Hurons (ligne 18-19) Explication 3. Explication 3. 2 L’énumération « on les des Hurons (ligne 18-19) L’énumératlon « on les fit boire et manger, et faire grande chère » met en évidence la manière dont le Français traite le Sauvage. Celui-ci s’occupe de lui comme s’il était l’un des leurs créant ainsi un climat de confiance avec le capitaine des Sauvages. L’utilisation des mots « ton goût » et « ton discernement » met en évidence la critique que baron de Lahontan envers le Sauvage.

Le ton hostile que prend la tournure de la phrase projette la même impression sur la rencontre en elle-même. Une impression de non-respect ressort lorsqu’on prend conscience que le Français n’a aucunement l’intention de respecter le Sauvage. Étape 2 : Rédaction de l’introduction Les rares récits de voyage dont nous disposons aujourd’hui sont les écrits les plus importants de cette période, ils se composent d’un mélange de descriptions ethnographiques et de ommentaires dans lesquels s’entremêlent parfois des jugements péremptoires.

Ces descriptions, bien que de maniere différente, permettent de donner une image du Français. Ainsi, dans l’extrait de Voyages en Nouvelle-Brance (1534), Cartier, décrit à travers la représentation du Français, un homme simple à la recherche de la confiance du Sauvage, alors que, dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique (1703), baron de Lahontan, émet la représentation d’un Français hostile et prétentieux. De Nombre de mots 21040