Pour la GUERRE Introduction La guerre est un conflit armé entre deux ou plusieurs groupes d’Hommes, combattant dans un but commun. Quelque soit les civillsations considérées, les êtres-humains se sont fait la guerre à un moment donné de leur histoire. Les conflits entre les peuples sont inévitables car l’unanimité ne peut pas être atteinte en tout temps. II y a toujours des groupes qui ne sont pas en accord avec les autresJohn Stuart Mill, un philosophe britannique a dit « La guerre est une chose laide, mais pas la plus laide des choses: l’état délabré et dégradé de sentiment moral et
Swipe to page patriotique qui pens Un homme qui n’a ri pa or7 qu’il ne se soucie plu ue créature malheureus de faire et de garde ien, est pire… à se battre, rien onnelle, est une d’être libre, à moins hommes que lui- même. » Je vais maintenant essayer de vous convaincre en quatre parties que malgres tout ce aue l’on entend, la guerre est une bonne chose. Premierement, la technologie, deuxiemement, de meilleures societes creees, troisiemement, l’economie et quatriemement, moins de morts violentes. remièrement – La Technologie Les technologies répondent toujours à un nouveau besoin; elles pportent une réponse technique à un problème spécifique. Mais les besoins des scientifiques ne sont pas toujours pris en compte et les moyens financiers et matériels nécessaires à la poursui poursuite des recherches sont rarement alloués dans l’unique but de faire progresser le savoir et la science. Au contraire, l’investissement de ressources est généralement réalisé dans l’optique de répondre à un besoin précis de la société.
Par exemple, la Seconde Guerre mondiale, en créant de nouveaux problèmes, fut une période des plus fructueuses en termes de ouvelles technologies et ce bien au-delà du développement de nouvelles armes. Ainsi, les radars créés pour détecter les avions ennemis et les avions à réactions permettant de se déplacer plus loin et plus rapidement ont permis le développement de l’avion commercial tel que nous le connaissons aujourd’hui. Les moyens de communication actuels sont également nés au cours de cette période.
En effet, la cryptographie, c’est-à-dire le traitement de signaux pour convoyer de l’information, a amené des mathématiciens à créer durant la Deuxième Guerre le précurseur de l’ordinateur que nous utilisons maintenant. Les recherches et les expérimentations effectuées sur les champs de batailles pour soigner les soldats ont aussi conduit à la découverte d’agents anti- infectieux et de techniques médicales utilisées quotidiennement de nos jours.
Dans le domaine de la chimie, l’embargo contre l’Allemagne nazie a poussé les chimistes du régime à découvrir et à perfectionner des produits de synthèse pour subvenir aux besoins quotidiens de la population. Enfin, la conquête spatiale américaine doit beaucoup au programme allemand de développement de fusées. (Mais parfois c’est l’inverse. Une nvention pacifique p PAG » rif 7 invention pacifique peu se transformer en utilisation guerrière, la poudre noire par exemple , inventé par les chinois pour leur feux d’artifice et qui ensuite a été utilisé pour des armes et des canons. Deuxiemement – De meiilleures societes crees Bien que la guerre soit la pire des manières imaginables pour créer des societes plus grandes et plus paisibles, c’est à peu près la seule façon que les humains ont trouvé. Si l’Empire romain avait pu être créé sans tuer des millions de Gaulois et de Grecs, si les Etats-Unis pouvaient avoir été construit sans uer des millions d’Amérindiens, si des conflits avaient pu être résolus par la discussion au lieu de la force, l’humanité aurait pu avoir les avantages des grandes sociétés sans avoir à payer un tel coût élevé. Mais ce n’est pas arrivé.
Les gens n’ont presque jamais renonce à leur liberté, y compris a leurs droits de tuer et ? appauvrir l’autre, à moins d’etre farcés de le faire, et la seule force assez forte pour parvenir à ce résultat a été la défaite dans une guerre ou la crainte qu’une telle défaite soit imminente. Troisiemement – L’Economie La guerre devient nécessaire et vitale quand les économies ntérieures sont saturées, ainsi par la guerre, un pays peut compter sur la conquête de nouveaux marchés en exportant son capital financier par la force des armes et trouver ainsi de nouveaux débouchés.
La guerre et réconomie ont toujours été liées. Les conquêtes militaires étaient, il y a peu de temps encore, justifiées par des avanta PAGF3C,F7 été liées. Les conquêtes militaires étaient, il y a peu de temps encore, justifiées par des avantages économiques et les territoires vaincus étaient pillés et mis au service du vainqueur. Les richesses sont donc acqulses lors des victoires ilitaires, mais certaines sont également créées avant même que les guerres ne soient déclarées grâce à ce qu’on appelle l’industrie de Farmement.
Colbert, ministre de Louis XIV, l’avait d’ailleurs compris en nationalisant les manufactures militaires pour que la puissance militaire de l’État profite à Féconomie, et réciproquement. Les plus grandes sociétés créées par la guerre ont egalement fait de nous plus riche. La paix a créé les conditions de la croissance économque et du niveau de vie. Ce processus etait autrefois trop désordonné et inégale: les gagnants des guerres allaient égulièrement sur saccages de viol et de pillage, vendaient des milliers de survivants en temps qu’esclaves et volaient leurs terres.
Les perdants, eux, pouvaient être laissés appauvris depuis plusieurs générations. Cetait une affaire epouvantable. Et pourtant, avec le passage du temps, peut-être des décennies, peut-être plusieurs siècles, la création d’une société a tendance à rendre tout le monde, les descendants des vainqueurs et les vaincus, plus aisés. La tendance à long terme est sans équivoque. En créant de plus grandes sociétés, des gouvernements forts, et ne plus grande sécurité, la guerre a enrichi le monde.
Quatriemement – Moins de mort violente Par les guerres de combat, les gens ont créé des société plus grandes et plus org de mort violente grandes et plus organisés qui ont réduit le risque que leurs membres vont mourir violemment. Cette observation repose sur l’une des principales conclusions des archéologues et des anthropologues au cours du siècle dernier. Les sociétés de l’âge de la pierre étaient généralement petites, principalement en raison des défis de trouver de la nourriture.
Les gens vivaient dans des bandes de quelques izaines de personnes, dans des villages de quelques centaines de personnes, ou; très rarement dans des villes de quelques milliers de membres. Ces communautés n’avaient pas d’organisation interne et avaient tendance à vivre dans des conditions de suspicion, dihostilité avec les étrangers. Les gens réglaient généralement leurs différends de manière pacifique, mais si quelqu’un décidait de recourir à la force, il y avait beaucoup moins de contraintes sur lui que les citoyens des Etats modernes ont aujourd’hui.
La plupart des meurtres étaient à petite échelle, bien que de temps en temps, la violence pouvait erturber une bande ou un village entier tellement mal que le maladie et le famine annéantissaient tout. On estime que IO à 20 % des gens ayant vécus durant ‘âge de la pierre sont morts face a dautres humains. Le XXe siècle forme un contraste frappant : deux guerres mondiales, une chaîne de génocides, et plusieurs famines induites par le gouvernement, tuant au total entre 100 millions et 200 millions de personne. Mais contrairement au temps de l’âge de la pierre, en 1945, il y avai et 200 millions de personne.
Mais contrairement au temps de l’âge de la pierre, en 1945, il y avait environ 2,5 milliards e personnes sur la terre, et au cours du XXe siècle, il y a eu environ 10 mllliards de vies qui ont vecu. 200 millions des décès etaient liés à la guerre ce qui fait seulement 1 à 2 pour cent de la population de notre planète. En conclusion, si vous étiez assez chanceux d’être né dans les pays industrialisés du XXe siècle, vous étiez en moyenne 1 0 fois moins susceptibles de mourir violemment que si vous êtiez né dans une société datant de l’age de la pierres.
Conclusion Quand nous mettons ces quatres arguments ensemble qui sont : Premierement, la technologie, deuxiemement, de meilleures ocietes creees, troisiemement, l’economie et quatriemement, moins de morts violentes, une seule conclusion est possible. La guerre a produit de plus grandes sociétés, gouvernés par des gouvernements forts, qui ont imposé la paix et créé les conditions préalables à la prospérité. Il ya dix mille ans, il y avait seulement environ 6 millions de personnes sur la terre.
Ils vivaient en moyenne 30 ans et avait besoin l’équivalent de moins de deux dollars américains par jour. De nos jours, nous sommes plus dun millier de fois plus nombreux (7 milliards, en fait), vivant plus de eux fois plus longtemps (la moyenne mondiale est de 67 ans), et gagnant plus de douze fois plus qu’avant (aujourd’hui la moyenne mondiale est 25 $ par jour). Ce qui a fait le monde tellement plus sûr est la guerre elle-même. La façon dont cela a fonctionné a commence il ya envi tellement plus sûr est la guerre elle-même.
La façon dont cela a fonctionné a commence il ya environ 10. 000 ans, les vainqueurs des guerres incorporaient les perdants dans des sociétés plus grandes. La seule façon de rendre ces sociétés plus grande était pour leurs dirigeants de développer des gouvernements plus orts, et l’une des premieres choses que ces gouvernements avaient à faire, s’ils voulaient rester au pouvoir, était de supprimer la violence au sein de la société. _es hommes qui dirigeaient ces gouvernements ont presque jamais poursuivi des politiques destinees au maintien de la paix par pur soucis de bonte de leurs cœurs. Ils réprimaient de tuer parce que les sujets sages étaient plus faciles à gouverner et d’imposer que les sujets qui fachent. Le processus n’était pas joli. Que ce soit les Romains en Grande- Bretagne ou les Britanniques en Inde, tout etait aussi brutal que la auvagerie qu’ils éradiquaient.
Entre 1914 et 1 918, par exemple, près d’un serbe sur six est mort a cause de la violence, de la la maladie ou de la famine. Et, bien sûr, pas tous les gouvernements étaient bon à délivrer la paix de maniere egale. Les démocraties etaient desordonnees, mais devoraient rarement les enfants; les dictatures faissaient avancer les choses, mais avaient tendance à tirer, a laisser mourir de faim, et a gaser beaucoup de gens. Et pourtant, malgré toutes ces variatlons, sur le long terme, la guerre fait les gouvernements, et les gouvernements font la paix.
