DES PRATIQUES MEDICALES POUR SAUVER DES VIES

DES PRATIQUES MEDICALES POUR SAUVER DES VIES: LA TRANSPLANTATION QUESTIONS Quels sont les tissus et les organes que l’on greffe ? Quels-sont les risques liés aux transplantations ? Qui peut donner ses organes ? Quel est le rôle de la technologie dans les pratiques médicales aujourd’hui ? or7 INTRODUCTION Il existe quatre types g appartient au receve jumeau monozygote gre (le greffon appartient au e), l’allogreffe (le donneur et le receveur appartiennent à la même espèce) et la xénogreffe (le donneur est d une espèce différente mals proche génétiquement du receveur).

Informations générales sur les ransplantations en France Le nombre de transplantations a augmenté entre 1998 (3 115 greffes par ans) et 2006 (4 426 greffes par ans). Les transplantations de cœur, cœur- poumon et intestins ont par contre baissé durant cette même période. On peut expliquer cela par la complexité de ces transplantations et par le manque augmentés lentement entre 1991 et 2011. Ainsi, au cours de l’année 2011, le rein a été l’organe le plus greffé avec 2976, le foie vient en 2nde position avec 11 64 greffes puis le cœur avec 398 greffes.

En 2011, 15 451 personnes étaient en attentes de greffes, et eulement 4 945 opérations ont été pratiquées. Chaque année, les besoins en greffes augmentent ? cause de deux facteurs principaux : – l’allongement de l’espérance de vie – Le manque de donneurs d’organes Source : http:/nw/w. chu-toulouse. fr/-les-greffes-en-chiffres- Quels sont les tissus et les organes que l’on greffe ? Tous les organes ne peuvent pas être transplantés. Les organes et les tissus pouvant être prélevés sur des donneurs vivant sont la moelle osseuse, les reins, la peau, des fragments osseux et ainsi que certaines parties du foie et des poumons.

Ceux pouvant être prélevés sur des donneurs décédés sont plus nombreux : le cœur, le foie, les reins, les poumons, le pancréas, les os et les cartilages, la cornée (partie de l’œil), la peau et les intestins. Le donneur peut être de la même famille ou totalement inconnu ce qui risque d’éventuels rejets. En 201 2, 3,8 % des donneurs avaient 17 ans ou moins, 32,3 % de 18 à 49 ans, 31,3 % de 50 à 64 ans et 32,6 % plus PAG » (If 7 France, le don sont des personnes qui décèdent à Ihôpital en état de mort encéphalique suite à un arrêt vasculaire cérébral ou un traumatisme crânien.

Cela concerne moins de 1 % des décès à l’hôpital ; or cette source d’organes représente actuellement près de 92,5 % des greffes réalisées en France. Le Déroulement du Prélèvement La compatibilité donneur-receveur Pour greffer un organe sur un patient il faut, au minimum, que le donneur et le receveur soit compatible au niveau du groupe sanguin Chaque individu porte à la surface de ces cellules des antigènes. Les personnes portant les mêmes antigènes appartiennent au même groupe tissulaire; on dit aussi qu’ils ont le même type H.

L. A (Human Leucocyte Antigen). Le donneur et le eceveur peuvent avoir de O à 6 antigènes H. L. A en commun. Plus le nombre d’antigènes en commun est élevé, moins il y a de risque que le greffon soit rejeté par le receveur et le traitement immunosuppresseur plus léger sera plus léger. Le crossmatch est un examen qui est réalisé juste avant la greffe, et qui met en contact des échantillons de sérum du donneur et du receveur, afln de s’assurer que le second ne présente pas d’anticorps contre le greffon du donneur.

Si c’est le cas, la greffe ne peut avoir lieu, car l’organisme du receveur rejetterait le greffon. Quels-sont les risques liés ntations ? PAGF3C,F7 toujours a un obstacle majeur, la question du rejet. Le rejet est la destruction, après sa reconnaissance, de tout élément étranger pénétrant dans un organisme vivant : réaction regrettable quand il s’agit d’une greffe. Les anticorps, les antigènes et les lymphocytes T sont les principaux responsables de ce phénomène.

On peut éviter le rejet d’une greffe en minimisant l’intensité de la réponse immunitaire grâce à traitement médical appropriés, que va prendre le receveur à vie. La Ciclosporine (terme générique), qui est un immunosuppresseur permettant de prévenir le risque de rejet, epuis les années 80, permis la multiplication des greffes. Le taux survie des patients s’est accru de manière spectaculaire. Ilya 3 types de rejets : Le rejet aigu : Il survient à partir du 4e jour après la greffe et se traduits par des signes généraux. onctionnels et biologiques qui varient selon l’organe transplanté. Le rejet chronique : Le rejet chronique, de causes multiples mais avant tout immunologiques, est responsable d’une altération progressive et irréversible de la fonction du greffon. Les symptômes du rejet chronique varient également selon l’organe greffé. Le rejet suraigu ou hyperaïgu : II se manifeste dans les heures qui suivent le rétablissement de la continuité vasculaire par un infarctus du transplant, parfois associé à l’activation de la coagulation.

Des rejets suraigus peuvent survenir en présence d’anticorps préformés détectés par le crossmatch. L’Infection En luttant contre le rejet, on diminue les capacités de défense de l’organisme contre les bactéries, virus et parasites rendant le patient plus vulnérable (immuno-déprimé). Des agents, comme le CMV (cytomégalo virus) présent de façon anodine chez une rande partie de la population, sont actifs chez un sujet immuno-déprimé. Quel est le rôle de la technologie dans les pratiques médicales aujourd’hui ?

Actuellement, face aux pénuries d’organes et pour limiter les rejets et les risques d’infection, des recherches sont en cours pour diminuer les risques de décès des patients en attente de transplantation. En effet, des organes artificiels sont créés ainsi que de nouvelles méthodes de consewations des greffons pour en améliorer la « survie ». La xénogreffe, désignant la transplantation d’un greffon d’un donneur d’une espèce biologique différente de elle du receveur, est encore à l’état expérimental mais est appelé à se développer rapidement en raison de la pénurie d’organes humains.

Prenons l’exemple du cœur artificiel, un recours pour les patients en attente d’une greffe de cœur qui ne trouvent pas de donneurs. Cet organe à un fonctionnement simple à reproduire car il marche comme une pompe. Cependant, le rejet est un des principaux obstacles à éliminer, ainsi que les nombreux risques d’infections et la batterie externe du dispositif qui limite la mobilité du patient. Différents prototypes ont été mis aux oints, souvent dans le ca tempora pac;F5CF7 Différents prototypes ont été mis aux points, souvent dans le cas d’une greffe temporaire en attendant l’organe.

Mais les chercheurs travail sur un cœur artificiel qui remplacerait définitivement l’organe malade. D’autres organes artificiels existent également : le pancréas qul améliore la vie quotidienne des personnes atteintes de diabète et le rein pour les insuffisances rénales. Le projet du poumon artificiel est actuellement en cours. Anecdotes Dans la semaine du 24 au 30 Mars 2014, nous avons pu assister ? une avancée médicale mportante : Une patiente souffrant d’une déformation au niveau de sa boite crânienne s’est vu transplanté un crane en plastique.

En effet, l’os du haut gonflait, ce qui compressait son cerveau. Une imprimante spéciale a fait une réplique parfaite en matière plastique médicale du haut de son crâne. Après 23h d’opération, la greffe est effectuée et la patiente se porte bien. Source : Journal du 12. 45 sur MS Demi-Lee greennan, une adolescente australienne qui avait neuf ans à l’époque, a vu, après une greffe du foie, son groupe Rhésus et son système immunitaire remplacés par celui de son onneur. Par conséquent, son corps n’a pas rejeté le greffon et elle n’a plus eu besoin de prendre son traitement immunosuppresseur.

Les médecins ont déclaré n’avoir aucune explication rationnelle ? ce qui s’est produit. Son cas étant unique dans l’histoire de la reffe d’organe entre humains, elle a été surnommée « le surnommée « le miracle sur six milliard » par les médecins. Des scientifiques tentent de comprendre pourquoi son corps a réagi ainsi, espérant éliminer à terme les conditions qui amènent le rejet des organes greffés. Sources : Wikipédia, actualites•news-environnement. om Conclusion Le don d’organe permet bien de sauver des vies.

L’opération doit être faite rapidement et, évidemment, dans de bonnes conditions. Bien que les patients ayant subi une greffe prennent un traitement à vie, ils ont une vie relativement normale. De nombreuses recherches ont permis l’amélioration des médicaments, de la conservation des greffons et des organes artificiels. Le don d’organe ne cesse d’évoluer et des opérations qui ont échoué auparavant réussissent de plus en plus fréquemment. Des associations luttent pour valoriser ces dons et pour augmenter le nombre de donneurs.

Mais, malgré tout cela, encore beaucoup de décès dus au manque de greffons surviennent, car les patients en attente ne cessent d’augmenter au fil des années. Sources : http://lewebpedagogique. com/svœic/sauver-des-vies/des -pratiques-medicales-pour-sauver-des-vies/ http://www. france-adot. org/don-organe. html http://www. dondorganes. fr/ http://www. chu-toulouse. fr/-les- reffes-en-chiffreshttp://wm. ‘uv . renaloo. com/infos-sante2 -et-chiffres/foire-aux paGF3CF7 http://www. chu-toulouse. fr/-les-greffes-en-chiffreshttp://wm. ‘uv . renaloo. com/infos-sante2/Ia-greffe-faits-et-chiffres/foire-aux