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Le rôle du progrès technique dans l’emploi Progrès technique • Le progrès technique recouvre l’ensemble des savoirs qui permettent des gains de productivité. Il repose sur la recherche et se traduit par des innovations (produits, procédés, débouchés, matières premières au organisation, selon les cinq types répertoriés par Joseph Schumpeter). On distingue alors deux types d’innovations : Les innovations de produits sous forme d’apparition sur le marché de nouveaux biens et services qui vont se substituer plus ou moins partiellement ? d’autres produits.

Ces innovations qui ex : les automobiles métier de maréchal f les mines de charbo or7 em de certains métiers, fait disparaitre le léaire qui a poussé Les innovations de procédés comme les transformations de l’organisation du travail, les nouveaux biens d’équipement industriels, la robotisation, la mécanisation, l’objet de ce type d’innovations est la hausse de la productivité. On distingue ici déjà deux points importants que sont la disparition de certains métiers et la hausse de productivité.

De plus il faut intégrer les effets quantitatifs et qualitatifs du rogrès technique sur l’emploi, généralement perçus de façon négative (la machine tueuse d’emplois ou qui déqualifie le travail). Sur ce point, bien distinguer l’approche microéconomique de l’approche macroéconomique, c’est-à-dire le court terme SWipe page du long terme. Emploi C’est qui occupe une activité au sein de la population active, par opposition aux chômeurs.

On distingue différents types de chômage : Le chômage technologique ; (nommé ainsi par John Maynard Keynes en 1930) Alors que la technologie remplace le travail humain de faible et oyenne compétence, il n’est pas surprenant de constater que le capital a gagné énormément de terrain comparativement au travail humain. Le chômage frictionnel ; ou chômage naturel Cela désigne la période de chômage provoquée par la transition et le délai nécessaires à une personne pour trouver un autre emploi. Les effets quantitatifs du progrès technique sur l’emploi l. ? court terme • À 1 ère vue, le progrès technique a un effet négatif sur l’emploi car il élève la productivité du travail, ce qui réduit les besoins en main-d’œuvre. En effet augmenter la productivité c’est produire davantage avec moins de facteurs de production, et ce facteur de production que l’on va réduire est souvent le travail puisque le progrès technique conduit le plus souvent à substituer du capital au travail donc à un chômage technologique. Certaines inventions ont supprimé plusieurs millions d’emploi en quelques années. ?videmment, cette conséquence disparaît si on profite de la hausse de la productivité pour diminuer le temps de travail : le progrès technique est alors neutre face au niveau de l’emploi. ?? Le progrès technique détruit des emplois par un autre mécanisme : pour bénéficier du progrès technique incorporé au capital, les entreprises sont amenées à investir, PAG » rif 7 pour bénéficier du progrès technique incorporé au captal, les entreprises sont amenées à investir, à substituer du capital au travail (d’où une hausse du chômage). ?? Notons encore qu’en modifiant la structure des qualifications et des métiers, le progrès technique cree du chômage technologique, mais aussi du chômage frictionnel (lié au délai de obilité géographique ou professionnelle de la population active). Il. À long terme le bilan du progrès technique en termes d’emplois est plus difficile à établir, car l’augmentation de la productivité rendue possible par le progrès technique a plusieurs effets contradictoires. ?? Le progrès technique crée du chômage structurel, éloignant durablement de l’emploi ceux qui n’ont pas les qualifications requises et qui n’ont pas pu s’adapter. Les emplois créés et les emplois détruits ne sont pas de même nature. L’emploi détruit est souvent du travail non qualifié. ?? Pourtant, le progrès technique crée aussi des emplois Alfred Sauvy montre que les emplois détruits par certaines branches sont compensés par des créations d’emplois ailleurs (théorle du déversement).

L’emploi créé est souvent du travail qualifié, voire du travail de conception-développement. Encore faut-il que les chômeurs puissent retrouver du travail rapidement puisqu’ils sont de la force de travail libérée, disponible pour s’employer ailleurs. Cependant, le nombre d’emplois créés est cependant inférieur au nombre d’emplois détruits. Car s’il était supérieur, alors les machines couteraient plus cher à produire que ce qu’elles peuve PAGF3C,F7 s’il était supérieur, alors les machines couteraient plus cher ? produire que ce qu’elles peuvent permettre de gagner.

Sil y a progrès, c’est justement qu’il faut moins d’hommes pour produire les machines qu’elles ne peuvent en remplacer. • D’autre part, le progrès technique stimule la demande de biens et de services (commercialisation de nouveaux produits, effets de la hausse de la productivité qui permet la hausse des salaires t la baisse des prix via la baisse des coûts), ce qui augmente la demande de travail. • Enfin, le progrès technique génère des profits. Or avoir des profits permet d’investir, et investir peut mener à la création d’emplois (selon H.

Schmidt (chancelier allemand de 1974 à 1982) « les investissements de demain et les emplois d’après-demaln »). • Ajoutons que, comme le progrès technique est un facteur de croissance, il est aussi favorable à l’emploi. Le progrès technique a aussi des effets qualitatifs • Le progrès technique modifie le niveau des qualifications, à la aisse (ce fut le cas du taylorisme et du fordisme) ou à la hausse (nouvelles technologies, polyvalence du toyotisme). ?? Il modifie aussi les conditions de travail, en les améliorant ou en les dégradant élimination des tâches les plus pénibles ou dangereuses (ateliers de peinture dans l’industrie automobile… ). l’amortissement d’un capital sophistiqué et coûteux exige en effet plus de flexibilité dans les horaires de travail, le recours au travail de nuit.. l’informatique augmente la standardisation des tâches et les posslbilltés de co