Analyse Macro Conomique De La Consommation L Conomie Au BTS Banque

Accueil > Éléments de théorie économique > Analyse macro- économique The link ed image cannot be displayed. The file may hav e been mov ed, renamed, or deleted. Verify that the link points to the correct file and location. Analyse macroéconomique de la consommation dimanche 1er septembre 2013 Sommaire or7 Sni* to View L’analyse keynésienne Les autres théories Dans l’analyse keynésienne de la consommation le principal facteur objectif de la dépense de consommation est le revenu.

En plus de ce déterminant objectif, Keynes énumère huit facteurs subjectifs • « précaution, révoyance, calcul, ambition, indépendance, initiative, orgueil et avarice » en montrant qu’ils jouent un rôle non essentiel. Il montre aussi que le taux d’intérêt est un déterminant de la consommation mais de manière très n’est pas un effet de substitution, c’est uniquement un effet revenu).

Th ke di La fonction keynésienne sous sa forme linéaire C = CY + CO a été testée de deux manières : sur des séries temporelles ? partir des données des comptes nationaux et sur des coupes instantanées. Dans le cas des séries temporelles on cherche la corélation entre e revenu et la consommation pour des annees successives.

Si la relation est vérifiée à court terme par exemple de 1965 à 1974 la liaison est vérifiée et la propension marginale à consommer est estimée à 0,82, elle ne l’est pas à long terme puisque par exemple pour les Etats-Unis de 1896 ? 1938 Simon Kuznets a montré que la relation est plutôt C CY avec une propension marginale ? consommer valant 0,86. Pour les séries en coupe instantanées on cherche la relation entre revenu et consommation pour des catégories de revenus différentes, des riches vers les auvres, pour une même année.

Ces séries montrent que la fonction keynésienne est confirmée. Mais la propension marginale à consommer évaluée en coupe instantanée est inférieure à celle obtenue à partir de séries PAG » rif 7 fonction keynésienne élémentaire. Ces critiques de la théorie keynésienne de la consommation. Adaptation à la norme de consommation (O. S. Brady et R. D. Friedman, 1947) The link ed image cannot be displayed. The file may hav e been mov edr renamed, or deleted. Verify that the link points to the correct file and location. dans l’espace

Les théories du revenu relatif Les effets « bandwagon » (prendre le train en marche) et de snobisme dans l’espace (Harvey Liebenstein, 1950) Les effets d’imitation et de démonstration James Duesenberry, 1947-1948) The link ed imaee PAGF3C,F7 théorie du cycle de vie d’Alberto Ando et Franco Modigliani (1963) Les théories du revenu relatif permettent d’introduire deux idées simples : les ménages définissent leur niveau et structure de consommation non pas uniquement par rapport à leurs revenus (personnels) mais également en se référant aux dépenses, et donc aux evenus, de la classe sociale immédiatement supérieure les ménages ont tendance à vouloir maintenir leur niveau de consommation par rapport à celui des périodes précédentes, ainsi la consommation d’une période est plus fonction du revenu antérieur le plus élevé que du revenu de la période courante. Lorsque le revenu baisse en période de récession ou augmente en période de reprise, la consommation ne varie pas proportionnellement. L’effet de Cliquet empêche la consommation de baisser (ce qui se traduit par une balsse de l’épargne) et frelne on augmentation (ce qui permet de reconstituer l’épargne). Avec la théorie du revenu permanent Milton Friedman veut invalider le principe de la stabilité de la relation consommati our cela il faut distinguer réel n’est jamais régulier et que la consommation des ménages est plus stable dans le temps que ce dernier.

Une baisse de revenu ne correspond pas toujours ? une baisse de consommation parce que la consommation n’est pas seulement fonction du revenu courant, mais des revenus (revenus passés et revenus futurs c’est-à-dire la richesse de l’agent). Donc, les agents ne déterminent pas leur consommation courante en fonction du revenu courant mais plutôt du « revenu permanent », qu’il définit comme étant le revenu qu’un consommateur peut dédier à sa consommation en maintenant constante la valeur de son capital. Autrement dit, le revenu permanent est le revenu moyen qu’il pense percevoir pendant toute sa vie, déterminé par la richesse totale anticipée et le taux d’intérêt.

Le revenu transitoire sera totalement épargné s’il est positif, financé par emprunt s’il est négatif. Une variation du revenu n’affectera la consommation que si elle modifie le revenu permanent. La théorie du cycle de vie proposée par Alberto Ando et Franco Modlgllani repose sur une approche microéconomique (l’analyse du comportement rationnel d’un agent qui cherche ? maximiser sa satisfaction). Cindividu prend en compte l’évolution dans le temps de ses ressources pour décider d’emprunter ou d’épargner. Lorsqu’il est jeune il a peu de ressources, il en à l’âge adulte, et moins lorsqu’il est à la retraite. Sil veut avoir une consommation régulière, voire légèrement croissante il empru