Macro Economie 3 2

Macro économie 3 TITRE Equilibre économique global keynésien Quand on «évoque l’analyse économique keynésienne pure, on partait de plusieurs outils : principe de demande efficace qui permettait de voir comment un équilibre pouvait s’établir. Dans le raisonnement du producteur on fait l’hypothèse que la demande globale devrait se situer à tel niveau, en réalité la demande d’un produit dépend du reste de l’économie. En fonction de la demande prévue on détermine un investissement et un niveau d’emploi.

Si mon investissement semble rentable et que taux Swipe View next page d’intérêt est inférieur ‘investis, ceci déterm 1 Trois cas sont alors p iE: , Réalité = prévisions Réalité prévisions Réalité > prévisions révisionnel alors Rencontre offre demande : rencontre entre la droite à 450 et la demande effective 1937 modèle ISLM de hicks qui a été crée pour construire une analyse du modèle de keynes pour réintégrer keynes dans le monde néoclassique mais le modèle de hicks est très bien construit donc le problème vient du fait de sa simplicité et sa souplesse, on peut l’interpréter de différentes manières, Chapitre 1 le modèle ISLM ( Investment Saving Liquidity Money) Introduction : le modèle ISI_M a pour objectif la détermination du niveau de revenu global Y et du taux d’intérêt « r » de telle façon que les marchés des biens et services IS et le marché de la monnaie LM soient en équilibre simultané. La courbe IS représente rensemble des différentes combinaiso combinaisons du taux d’intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre sur le marché des biens et services, la courbe LM représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux d’intérêt et du niveau de revenu compatible avec l’équilibre sur le marché monétaire.

Section 1 la représentation de l’équilibre réel keynésien par la droite IS ou diagramme de Hicks paragraphe 1 : c=CY+C0 Y=ax+b C est le coefficient directeur de la droite, la propension marginale à consommer c=Dc/DY ou Dc/DR, c’est une variable de comportement 1 Paragraphe 2 : la fonction d’investissement L’investissement global est une fonction décroissante du taux intérêt Taux marginal d’investissement : fonction d’investissement : le- br+10 -b=Di/ Dr Paragraphe 3 : les équations de IS YZC+I cz cy + CO CO -br + IO Y-cy= -br IO + CO -br + IO + CO (1/1 -c) (-br+ IO + CO) Y- k(-br+10+ kbr + K(IO + CO) équation de IS Quand intérêt augmentent Y baisse IS est décroissante C=cy + O,8Y+ 100 -2500r 300 Paragraphe 4 le déplacement de la courbe IS, on part d’une situation d’équilibre et on ariation de la valeur 2 1 forme spéculative afin de de spéculer, q Quand le taux r est au maximum, LO vaut O Quand le taux r est minimum, LO vaut M qui est l’offre de monnaie elle dépend de la banque centrale voir de l’état, on décide de son niveau et aura une influence sur le reste L est la demande de monnaie, de liquidité, L est divisé en deux parties LI qui est le motif de transaction précaution et L2 qui est e motif de spéculation Céquation de féquilibre LM est l’équation d’équilibre sur le marché de la monnaie : MZL M=LI+U LO-M +(LO-M/-I) Y est de la forme ax+b et c’est une fonction croissante, le revenu augmente quand le taux d’intérêt augmente MO=200 L2=-10r+ 100 100 00-200 Y=-10r-1 00/-0,25 yz40r+400 Section 3 ISLM et l’équilibre économique globale ly a équilibre si le marché IS et le marché LM s’équilibre IS M +(M-LO/I) =-50r+700 3 1 Importé par les structures économiques Structures politique Paragraphe 1 1’inflation par la demande ly a inflation par la demande si la demande est supérieure ? ‘offre alors les prix augmentent, on constate donc que cette analyse pourrait expliquer beaucoup plus la hausse de certain prix plutôt que la hausse de tous les prix. On peut expliquer la hausse de la demande de biens de consommation par les éléments suivants : Consommation augmente du fait d’une déthésaurisation ‘augmentation des revenus, notamment des salaires raugmentation des dépenses publiques L’augmentation du crédit liée à une anticipation d’une croissance future de la part des consommateurs ou des producteurs dans certains cas.

Caugmentation des exportations qui provoque l’augmentation des prix D’autre part on peut expliquer l’inflation par la demande en analysant l’aspect offre, en effet la demande peut être supérieure à l’offre parce que roffre est Insuffisante ainsi il peut y avoir un plein emploi des facteurs de production qui rend impossible une augmentation de l’offre, car l’offre domestique ne peut pas augmenter mais les importations peuvent en partie augmenter, de plus on suppose que les stocks sont limités Paragraphe 2 1’inflation par les couts La hausse des couts de production serait une cause de l’inflation, ces couts concernent les éléments suivants : Les matières premières Les salaires

Les charges sociales es charges financières Les charges fiscales Donc si ces éléments enregistrent une hausse de leurs prix supérieure à leur productivité alors cette hausse est répercutée sur le ni 4 1 leurs prix supérieure à leur productivité alors cette hausse est répercutée sur le niveau général des prix Paragraphe 3 1’inflation de productivité La différence de productivité des entreprises et des branches peut être une cause d’augmentation des prix, le processus est le suivant L’économie est composé de deux branches A et B, A à une productivité supérieure à celle de B, les couts de B sont supérieur ? ceux de A mais A peut décider d’aligner ses prix sur ceux de B et les prix seront à la hausse si B veut augmenter sa production, et donc au même moment les profits de A augmenteront Paragraphe 4 1’inflation par les structures oligopolistiques des marchés Les différents marché sont souvent des marchés oligopolistiques dominés par quelques acteurs ou agents et donc les prix sont fixés par ces acteurs pour accroitre leurs revenus et ce au détriment des autres, les oligopoles sont dans ce cas des « Price makers » Paragraphe 5 1’inflation et l’oligopolisation des structures sociales t institutionnelles Les associations comme les syndicats jouent un rôle dans la hausse des couts et des prix et les structures mentales, psychologique des groupes sociaux peuvent jouer un rôle dans la rigidité des prix à la baisse.

Ces groupes ne veulent pas voir leurs pouvoirs d’achat diminuer d’autant que joue un effet d’imitation qui pousse chaque groupe social à vouloir imiter celui qui lui ait supérieur, d’autre part, chaque groupe pense que l’inflation va augmenter et qu’il a intérêt à accroitre sa part dans le revenu global au détriment des autres ne serais-ce que par anticipation, ‘interventi s 1 part dans le revenu global au détriment des autres ne serais- ce que par anticipation, l’intervention de l’état et des institutions publiques dans la création de bien public et dans la répartition primaire et secondaire des revenus et aussi dans la fixation des prix de ces biens publics ainsi que la fiscalité joue un rôle important dans la hausse des prix ou tout au moins dans la rigidité des prix à la baisse. Paragraphe 6 1’inflation importé Les prix des biens Importés peuvent augmenter et accroitre le taux d’inflation des pays importateurs, la hausse des prix de ces iens peut être provoqué soit par la hausse des couts des biens dans les pays exportateurs, soit parce que le taux de change est en défaveur du pays importateur, soit parce que la demande de ces biens est supérieure à l’offre Paragraphe 7 inflation par la monnaie et le crédit ‘analyse de l’inflation par monnaie et le crédit a été présentée par l’analyse quantitative de la monnaie par les quantitativistes M. V=P.

T A V et T constant, si M masse monétaire augmente, les prix augmentent Paragraphe 8 mondialisation et inflation L’analyse des importations des produits manufacturés des pays ndustrialisés de l’OCDE, en provenance des pays à bas couts salariaux auraient due provoquer une baisse significative du taux d’inflation dans ces pays industrialisés, pour les pays de la zone EURO on pense que pour la période 2000-2005 les prix ont subi une baisse de l’ordre de par an et aux USA de % par an sur 96-05, en c qui concerne les matières premières on constate une augmentation du prix des matières premières et du p 6 1 les matières premières on constate une augmentation du prix des matières premières et du prix des énergies et au total la mondialisation pour le moment qui a ses effets direct à la hausse t à la baisse des prix aurait ralentit la hausse des prix à la consommation de par an de 2000 à 2005. La mondialisation joue un rôle contradictoire dans l’évolution de l’inflation, avec la mondialisation il y a concurrence entre les producteurs d’où une tendance à la baisse des prix et des couts, mais il y a une augmentation de la demande de matière première et d’énergie supérieure à l’offre qui tend à provoquer une hausse des prix, à terme le marché du marché mondial pourrait être dominé par quelques grands groupes mondiaux qui fixeraient des prix et on assistera à une nouvelle rigidité des prix à la baisse.

Section 2 le chômage, le travail, le marché du travail Un chômeur est une personne en âge de travailler disponible pour travailler au taux de salaire en vigueur et qui n’a pas d’emploi Le taux de chômage est le rapport du nombre de chômeur sur la population active, la population active est les personnes employées plus les chômeurs Le taux d’activité est le pourcentage de la population adulte totale qui participe à la population active Paragraphe 1 les différents types de chômage e chômage frictionnel : il est lié aux délais d’adaptation du marché du travail, c’est le temps de recherche d’un emploi, il est ié à une information imparfaite ou une mobilité imparfaite Le chômage conjoncturel : chômage keynésien, lié à une demande globale insuffisante face à une offre rentable excédentaire 1 conjoncturel : chômage keynésien, lié à une demande globale insuffisante face à une offre rentable excédentaire Le chômage naturel : chômage structurel ou d’équilibre, l’expression taux naturel de chômage est présentée par Milton Friedman cela ne signifie pas que ce taux est intangible immuable, il signifie qu’une politique monétaire ou budgétaire de relance peut modifier momentanément le taux de chômage mais ela ne peut pas durablement le modifier, il est lié à une offre inadéquate, un marché du travail imparfait et une information imparfaite et pour réduire ce taux naturel du chômage il faut une offre plus compétitive, plus efficiente au niveau quantitatif ou qualitatif Chapitre 3 la courbe de Phillips La courbe de Phillips est créée par l’économiste néo-zélandais Phillips, il publie son article en 1 958, relation entre le taux de chômage et le taux de variation des salaires monétaires au R-U de 61 à 67. La relation de Phillips montre qu’il existe une corrélation négative ntre le taux de chômage et le taux d’inflation, en 1960 P. A Samuelson et R. Solow montrent que cette corrélation permet d’établir qu’un taux faible de chômage est associé à une demande globale forte et des revenus salariaux élevés et une hausse des prix.

A partir de là des principes de politique économiques en sont tirés que l’on peut résumer ar un arbitrage entre l’inflation et le chômage. Phillips me ce une corrélation 8 1 par la suite on établit une corrélation positive entre le taux d’inflation et les salaires nominaux. ne première approche de cette relation pourrait signifier qu’il U existe un taux de chômage compatible avec un taux d’inflation nul Les analyses économétrique réalisés lors de plusieurs périodes montrent que cette relation peut être instable ou ne as existée La relation de Phillips est remise en cause lors de certaines périodes, ainsi les périodes de stagflation, caractérisé par la hausse du taux d’inflation, de récession et du chômage.

Ex : année 72. par la suite, les années 80, la situation sera caractérisée par une baisse du taux d’inflation et une hausse du chômage, c’est une période qui est caractérisé par la désinflation compétitive. Cette instabilité a été utilisée par les libéraux comme Milton Friedman pour critiquer les politiques macroéconomiques discrétionnaires consistant à utiliser les instruments budgétaire et monétaire en fonction de la conjoncture, d’une manière générale, la courbe de Phillips peut apparaitre comme un outil afin de conduire les politiques à partir de choix, de combinaisons possibles de taux d’inflation et de taux de chômage.

Les débats entre économistes comme Samuelson, Solow, Friedman porte sur la capacité d’un politique monétaire et budgétaire à être efficace dans la lutte contre l’inflation et la lutte ontre le chômage, selon que l’analyse porte sur le long terme ou le court terme, l’analyse sera différente Section 1 1’analyse de la courbe de Phillips de long terme Cette analyse fait référence à celle de friedman et à la vision classique de I 41 Phillips de long terme classique de l’équilibre économique, la théorie classique, ce qui ne peut influencer les prix et les revenus nominaux et donc influence seulement l’inflation mais la monnaie et la croissance monétaire n’influence pas les facteurs réels qui comme la production les salaires d’efficience, joue un rôle dans la détermination de ’emploi et du chômage. Dans cette logique d’une distinction économie réelle et monétaire, le taux d’inflation et le taux de chômage ne sont pas liés à long terme A la courbe La courbe de Phillips de long terme exprime l’analyse sur laquelle le chômage ne dépend pas de la monnaie et de la croissance de l’inflation à long terme, ce schéma exprime l’analyse de friedman et phelps.

La banque central et son action sur les quantités nominales et sur les variations sur les quantitées nominales, la banque centrale peut fixer Une quantité nominale, le niveau des prix et du revenu nominal lobal et le taux de change La variation d’une quantité nominale Les limites de la BC La BC ne peut influencer les valeurs réelles à long terme donc elle ne peut pas fixer, les quantités réelles suivantes : Réelle de monnaie Le niveau réel du revenu global Le taux de chômage Les variations des quantités réelles : Taux de croissance du revenu réel global, Taux de croissance de la monnaie D les limites de la politique monétaire es limites se retrouvent dans le schéma de la courbe de Phillips de long terme , c’est lié à une théorie quantitative, si la banque centrale accroit la quantité de monn 0 1