Synthèse de français : La place envahissante des objets Ce corpus est composé de quatre documents, à savoir une chanson, d’un essai, d’un roman et d’un extrait d’interview. Le Document 1, chanson de Boris Vian, s’intitule « la complainte du progrès » et a été écrite en 1956. Le second document, « la société de consommation a été écrit par Jean Baudrillard en 1970. Le document 3 est un livre écrit par Paul Ariès et Bernadette Costa-Prades qui s’intitule « Apprendre à faire le vide » écrit en 2009.
Le document 4 est l’extrait de l’interview e Philippe Starck paru sur le site internet Paris-art. com en Juillet 2011. Le thème commun à ces quatre documents est la prolifération des obj De nos jours, les obje Il existe un véritable tel point que l’on peu Cela est d’autant plu sa or7 nsommation. nsables à l’homme. t le lien matériel ? ent) de sentiment. echnologies (smartphones.. ). Dans la societ d’aujourd’hui, les objets nous sont nécessaires. On pourrait parler de revers de position.
En effet, l’homme, initialement créateur de l’objet, devient peu à peu sous contrôle des objets et devient ainsi lui-même un objet. Ce renversement peut être décrit en « trois temps » : De l’objet outil à Vobjet culte puis à l’objet aliénant. Par le biais de ce corpus nous nous poserons deux questions. Dans un premier temps nous verrons à quel point les Swipe to nex: page les objets nous rendent aujourd’hui dépendant et addicts. Le côté « inutile » de robjet ou encore l’achat compulsif et l’effet d’imitation seront mis en avant.
Dans un second temps nous analyserons pourquoi notre existence et notre identité est- elle formée par des objets. Nous verrons ainsi les changements e notre société d’aujourd’hui en parlant notamment de l’obsolescence programmée de ceux-ci. L’objet est avant tout au service de l’homme son concepteur. II existe par le biais d’une utilité exclusivement matérielle. L’objet est le dépositaire d’un savoir et d’un usage. L’usage est en partie ce que l’on trouve dans le mode d’emploi. En ce sens, les objets nous proposent des usages.
Les objets exercent sur nous une action qui forme notre action ou même notre vie et notre personne. On distingue plusieurs formes d’objets : l’objet outil, de culte ou encore l’objet aliénant. Le premier est avant tout au sewice de l’homme son concepteur. Il existe par le biais d’une utilité exclusivement matérielle. Le second peut-être investi d’une valeur affective qui le porte au-delà de sa simple matérialité. Le dernier peut avoir une charge affective trop forte, robjet prend une place de plus en plus grande, jusqu’à nous envahir physiquement mais aussi mentalement. ne dépendance qui peut aller jusqu’à une forme d’aliénation qui déshumanise l’homme pour en faire un objet Il peut se créer une dépendance aux objets en tant qu’outils dont n n’arrive plus à se passer. Cest une tendance qui conduit à ne plus pouvoir vivre sans être entouré PAG » rif 7 n’arrive plus à se passer. C’est une tendance qui conduit à ne plus pouvoir vivre sans être entouré d’objets qui a priori ne sont pas vitaux ou nécessaires. L’homme adopte à l’heure actuelle et plus que jamais un comportement addictif.
La societé contemporaine, avec l’électronique a favorisé le développement de ce type de déviance. Notre mode de vie a radicalement changé depuis le début du 21 ème siècle avec l’explosion des objets connectés t leur utilisation permanente et excessive. Ils ne sont plus simplement utilitaires ou bien démonstratifs mais sont devenus le prolongement de nous-mêmes. Ils sont également des moyens de se réconforter, de se rassurer. Le meilleur exemple est l’utilisation d’un téléphone portable. Il joue bien souvent le rôle d’une peluche comme chez les petits enfants.
La Complainte du progrès est célèbre pour ses énumérations de biens de consommation fantaisistes, avec des jeux de langage et des inventions comme : « Mon armoire à cuillères, mon cire- odasses, mon repasse-limaces, mon tabouret à glace, et mon chasse-filou, la tourniquette à faire la vinaigrette, le ratatine- ordures, et le coupe-friture P, « l’efface-poussière, le lit qu’est toujours fait, le chauffe-savates, le canon à patates, l’éventre- tomate, l’écorche-poulet La chanson est une critique satirique de la société de consommation qui commence alors à se développer en France à l’époque.
Boris Vian y déplore le matérialisme d’une compagne qui, en guise de témoignage d’affection, réclame des objets. Alors qu' » Autrefois pour faire sa cour, On pa PAGF3C,F7