ECONOMIE 2ANNEE

Rentabilité des investissements 4- LeDRCI Le délai de récupération du capital investi est utilisé pour savoir si l’on doit lancer le projet ou non. Cette méthode peut être utilisé que les flux soient actualisés ou non. FNT 1:250000 FNT2:310000 FNT3:300000 FNT4:350000 investissement:690000 2 4 Fnt cumulé 250 000 560 000 860 000 1 210000 or 12 Sni* to View Investissement+fnt -690 000 + 250 000 : -440 000 On constate que le projet est rentable au bout de deux ans et 1 56 jours Dans le cas ou les flux sont identiques, il suffit de divisé le montant de l’investissement par le FNT annuel.

Chapitre 1 : L’organisation mondiale du commerce Introduction domaine de la résolution des conflits commerciaux pouvant apparaitre entre deux membres signataires. C’est pourquoi lors du dernier round de négociation, les Etats membres se sont mis d’accords pour mettre sur pied une véritable institution internationale, chargée de prendre le relais du GATT dans le domaine de la promotion des échanges internationaux. l.

Les fonctions de l’OMC L’OMC s’inscrit dans la continuité des négociations menées dans le cadre du GATT et cherchent donc à favoriser le développement ‘un commerce libre et équitable entre les nations, en fixant les règles de fonctionnement du commerce international, et en les faisant respecter par les Etats membres. A. L’OMC administre les accords commerciaux L’ensemble des accords commerciaux qui ont été définis par le GATT, ont été repris par l’OMC, qui se charge de les faire appliquer par les Etats membres : Les règles de l’OMC en matière internationale, sont notamment le fruit de négociations menés dans l’Uruguay round B.

L’OMC est un lieu de règlement des différends commerciaux Les accords commerciaux conclus dans le cadre du GATT ont pour ut de mettre sur pied un système commercial aux règles égales pour tous et qui énonce les droits et devoirs des pays membres. La création de l’OMC constitue donc une étape essentielle dans l’émergence d’un droit international du commerce puisqu’il sert de lieu de résolution des conflits commerciaux. C.

L’OMC analyse les politiques commerciales nationales De même que FOMC peut ement lors d’un conflit 12 pour s’assurer qu’elles respectent bien les règles en vigueur, notamment dans le domaine de la non-discrimination. D. L’OMC fait la promotion de la libéralisation des échanges Cette promotion est essentiellement tournée vers les pays en développement auxquels l’OMC offre une assistance technique dans le domaine de la politique commerciale et passe aussi par une coopération avec les autres organisations internationales. Il.

Les domaines d’intervention de l’OMC Du fat de l’évolution du commerce internatlonal, les accords commerciaux définis dans le cadre du GATT se sont progressivement étendus à rensemble des secteurs d’activité, alors qu’ils se concentraient initialement sur la libéralisation des échanges. A. La libéralisation des échanges de marchandises Ce secteur a été depuis le début des négociations commerciales le principal secteur de libéralisation des échanges. Ce qui s’est traduit par une diminution significative des droits de douane, en ce qui concerne l’échange de marchandises.

L’OMC ne fait que reprendre les règles définies dans le cadre des négociations du GATT, en ce qui concerne le secteur des marchandises. Néanmoins, l’OMC tient aussi compte d’un certain nombre de secteurs spécifiques qui échappent aux règles de fonctionnement du commerce, tel que le secteur du textile, mais surtout celui des produits agricoles. B. La libéralisatlon des échanges de service Le fort développement des échanges internationaux de service, au cours des dernières années traduit au niveau international, la tertiarisation croissante d’un certain nombre d’économie qui échangent de plus en plus 19 en plus de services.

Les échanges internationaux, dans ce domaine, relèvent essentiellement des services aux entreprises qui se concentrent dans les secteurs de la finance, de l’assurance ou des télécommunications. L’OMC a mis sur pied un système de commerce qui n’existait dans le cadre du GATT et qui permet un échange plus libre et plus ?quitable. L’Accord Général sur le Commerce des Service (AGCS) Les pays membres, dans le cadre de cet AGCS, doivent s’engager à ouvrir un certain nombre de secteurs de services ? la concurrence internationale, en favorisant l’ouverture de ces marchés.

C. La protection de la propriété intellectuelle L’avantage compétitif d’un pays se faisant de plus en plus grâce aux investissements immatériels, il a été nécessaire d’élaborer un ensemble de règles garantissant la protection de la propriété intellectuelle lorsqu’il y a échanges commerciaux dans les omaines des droits d’auteurs, des marques Car la non-protection des droits intellectuels risquerait à terme de freiner les investissements dans le domaine de la recherche et de l’innovation.

Ce domaine d’intervention de l’OMC est une nouvelle extension des règles de fonctionnement du commerce international. D. La prise en compte des spécificités des PVD La majorité des pays membres de l’OMC, faisant partie des PVD ou des PMA, et dans le souci de mettre en place un développement équitable des échanges, les accords conclus dans le cadre de l’OMC prennent en compte la spécificité de ces pays, n mettant en place des dispositions spéciales.

Celles-ci prévoient, notamment un accroissement des délais accordés à ces pays pour en œuvre certaines des 9 accordés à ces pays pour qu’ils mettent en œuvre certaines des dispositions visant à accroitre l’ouverture des économies nationales. par ailleurs, les pays membres ont l’oblgation de garantir les intérêts commerciaux de ces pays, et l’OMC aide ces pays dans un certain nombre de domaines pour aborder dans de bonnes conditions l’accroissement des échanges internationaux, liés ? l’application des règles du commerce définies par l’OMC.

E. Le règlement des différends commerciaux L’OMC a mis sur pied une procédure unique de règlement des différends commerciaux, pouvant apparaitre entre plusieurs Etats membres, qui permet à tout Etat estimant que ses droits sont bafoués par un autre Etat de déclencher une procédure auprès de l’OMC afin d’obtenir le respect de ses droits.

Cette procédure en plusieurs étapes marque l’émergence d’un véritable droit international dans le domaine des échanges internationaux, et plus de 150 différends ont été portés à la connaissance de l’OMC depuis sa création. Conclusion En définitif, l’objectif poursuivi par l’OMC vise non seulement ? définir les règles régissant le commerce international mais aussi à les faire respecter par les Etats membres.

Cet objectif s’est traduit par l’accroissement des domaines d’intervention de cette institution qui ne pouvait être mis en œuvre dans le cadre du GAIT. La recherche d’un développement équitable des échanges et de leur plus grande libéralisation s’est donc accompagnée de la mise en place d’une nouvelle institution internationale, l’OMC, chargé de géré un système commercial non-discriminatoire dans lequel haque Etat membre se voit attribué des droits et devoirs. Chapitre 2 : Le système monétaire européen PAGF s 2 membre se voit attribué des droits et devoirs.

L’instauration, le 1er Janvier 1999, de la monnaie unique européenne a constitué un évènement important dans l’histoire de l’Europe économique et monétaire. Avant d’arriver à l’euro, le cheminement fut long depuis la mise en place du système monétaire européen. l. Le système monétaire européen A. La création du SME La création du système monétaire européen s’est faite dans un environnement monétaire international perturbé. Mise en place en mars 1979, il avait comme objectif de créer une zone de stabilité monétaire en Europe.

B. Les principes du SME Le SME repose sur les principes suivant : Les parités des différentes monnaies sont définies les unes par rapport aux autres par un cours : le cours plvot. Il s’aglt d’un système de change fixe mais ajustable avec possibilité de modifier les cours pivots. Il existe des marges de fluctuation de +1- mais les bandes de fluctuation peuvent être élargies, comme se fut le cas à 1 après la crise de 1993. Les banques centrales doivent intervenir lorsqu’une devise ‘écarte de leur cours pivot.

Création d’un « fond européen de coopération monétaire » le FECOM, qui effectue des prêts aux banques centrale pour intervenir sur le marché des changes. Création de l’ecu (Eureopean Currency Unit), qui est l’unité de compte déterminée en fonction d’un panier de monnaie (l’ecu n’était donc pas une véritable monnaie) PAGF 19 change (à la différence du dollar, de la livre et du yen) Désinflation et convergence des taux d’inflation (l’inflation est passée de 11,2% en 1980 à 2,2% en 1987 Convergence des taux d’intérêts nominaux

Malgré ces résu tats positifs, le SME a été l’objet de critiques Le taux de croissance du PIB des pays membres est passé entre 1980 et 1987 de ? Les efforts de coordination des politiques monétaires n’ont pas été également répartis Il. L’union économique et monétaire A. Les étapes de PIJEM 1 Première phase Elle a débuté le 1er juillet 1990 et s’est achevée le 1er janvier 1994. Son objectif était de faire converger les politiques macroéconomiques afin de faire baisser l’inflation et les déficits publics. 2.

Deuxième phase Du 1er janvier 1 994 au 31 décembre 1998, elle a institué les ègles suivantes : Création d’un institut monétaire européen (IME) chargé de mettre en place la future banque centrale européenne Indépendance des banques centrales Impossibilité de revenir sur la liberté de circulation des capitaux Respect des 5 critères de convergence pour être admis en phase 3 (taux d’inflation, taux de change, taux d’intérêts, déficit budgétaire et la dette publique) 3. Troisième phase A partir du 1er janvier 1999, elle devait permettre d’achever la mise en place de l’OEM.

B. Les caractéristiques de l’UEM L’union économique et m PAGF 7 9 uté le 1er janvier ubstitué aux monnaies nationales sur la base des parités fixées le 31 décembre 1998 (1 655957 Frs). Chapitre 3 : Le commerce mondial des biens et services l. L’organisation des échanges internationaux Après la Seconde Guerre mondiale, un fantastique essor des échanges a été obsepu’é : leur croissance étant toujours supérieure à celle de la production mondiale. Cette évolution du commerce mondial s’accompagne de profondes mutations dans la nature des produits échangés.

Le commerce international apparait également comme un lieu d’affrontement des puissances, d’affirmation des suprématies. A. L’expansion du commerce mondial 1. Sur le période 1950-1979 1950 à 1973 : Les Trente Glorieuses, âge d’or de la croissance mondiale et du commerce international 1973, 1er choc pétrolier : Les membres de IOPEP s’accordent pour augmenter le prix brut du pétrole de 70%, puis de 1 (en quelques mois le prix du baril est passé de $2 à $14) 1979, 2ème choc pétrolier (en plus de la guerre Iran/lrak) : Le prix du baril passe de $12 à $35.

A ces deux crises s’ajoute le dérèglement du système monétaire international, l’émergence de nouveau pays exportateurs et le éclin des vieilles industries européennes. 2. Depuis les années 80 On assiste à une reprise des échanges. 3. Aujourd’hui Nous sommes dans ce que certains économistes appellent l’économie monde, caractérisée par une forte croissance des échanges mondiaux. B. L’interdépendance commerciale des économies d’ouverture d’un pays Le taux d’exportation Le taux de pénétration du marché intérieur 2.

La contrainte extérieur Définition Il. La structure des échanges De 1985 à 1993, le commerce mondial de marchandises a plus progressé que la production mondiale, et cet écart semble ‘accentuer. Les économies deviennent donc de plus en plus interdépendantes. A. La structure par produit Plus de 60% des échanges mondiaux portent sur des produits manufacturés La part des échanges de services augmente de plus en plus B. La structure par pays Les pays développés dominent les échanges mondiaux. . Les principales puissances commerciales Suprématie de la riade (Etats-Unis d’Amérique, Japon et Union européenne) Montée en puissance des BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) 2. Les principaux courants Le commerce international s’éloigne de plus en plus d’un type de ommerce Nord/Sud, au profit d’un commerce tripolaire (Triade). Jusqu’en 1980, l’axe principal du commerce international était l’Atlantique (échanges entre Amérique du Nord et Europe).

A partir de 1980, c’est la Pacifique (échange entre Amérique du Nord et Asie/Japon). 3. Le cas de la France 2 Français sur 5 vivent d’u PAGF 12 l’exportation. insuffisantes. a. Les points forts des échanges extérieurs français Le secteur agroalimentaire est au 2ème rang mondial pour les exportatlons de produits agricoles, derrière les Etats-lJnls L’industrie automobile Les biens d’équipement L’industrie civile (construction navales, génie civil, aviation) Mode et produit de luxe b.

Les points faibles des échanges extérieurs français Déficit énergétique malgré la réduction de la dépendance Les biens intermédiaires (électroménager) L’électronique et l’informatique Chapitre 4 : les déséquilibres sociaux dans les pays développés l. La mesure du chômage A. La mesure effectuée par le Pôle Emploi (ex-ANPE) Pôle Emploi retient les demandeurs d’un emploi durable à temps plein et qui n’ont pas d’emploi : « Le chômage est la situation des personne en âge de travailler, isponlbles, sans emploi, mais à la recherche d’un emploi. ? B. Définition selon le BIT (Bureau International du Travail) L’INSEE se réfère à la définition du BIT : «Est chômeur celui ou celle qui, actuellement sans emploi, en recherche effectivement un, en étant disponible pour l’occuper. » C. La diversité des chômeurs Les chômeurs « récurrents » : Ils retombent régulièrement au chômage (les salariés précaires, les jeunes, les femmes et les immigrés) et constituent le nouveau volant de main d’œuvre permettant aux employeurs d’auster à tous moment la production à la demande