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Université du Québec en Outaouais Gestion de stress, coping et adaption PLS1453 – Grol Travail de session Les conséquences physiques et psychologiques du stress org Sni* to View Session Été 2014 Sommaire Introduction Qu’est-ce que le stress l) Les conséquences physiques du stress I. A) Le cerveau I. B) La peau I. C) L’appareil cardiovasculaire I. D) Les poumons I. E) Les muscles IF) Le foie I. G) Les glandes surrénales I. H) Les articulations 1. 1) L’appareil digestif IJ) L’appareil reproducteur Il) Les conséquences psychologiques du stress II.

A) Stress cognitif traiter porte sur les conséquences du stress sur le plan sychologique et physique. Nous connaissons tous à priori et de façon général cet état d’esprit puisque nous y avons tous été confronté à un moment ou à un autre de la vie. Mais nous sommes nombreux à ne pas réellement savoir sa pleine signification, puisqu’il peut autant être provoqué par un bon évènement qu’un mauvais qui nous arrive. Je pense même qu’une vie sans un minimum de stress n’est pas digne d’être vécu (juste mon opinion).

Le stress devient un problème lorsque nous ne savons pas comment aborder une situation, c’est alors que l’inquiétude entre en jeu. Dès lors dans 1 ere partie de mon travail ‘aborderais les conséquences physiques du stress et dans une seconde partie les conséquences au niveau psychologique. Quand on est stressé tout notre corps le ressent, du cerveau aux articulations des orteils car presque tout notre organisme est touché. Tout le système, tous les organes ainsi que toutes les cellules sont affectées par le stress et le corps en entier en subit les conséquences.

Voici quelques organes qui peuvent être touché et les conséquences sur notre santé C’est là que tout commence quand on reçoit un message stressant. Une fois le message arrivé, la région qu’on appelle ‘hypothalamus émet un signal qui déclenche une réaction dans le système nerveux autonome. Celui-ci agit comme un centre d’échange qui reçoit les signaux de stres système nerveux autonome. Celui-ci agit comme un centre d’échange qui reçoit les signaux de stress provenant du cerveau et envoie presque instantanément des signaux à toutes les parties du corps provoquant des réponses spécifiques.

Dans ces conditions il ne faut pas s’étonner d’avoir des sautes d’humeurs rapides et intenses. 1. 3) La peau Il est étonnant de voir à quel point l’état de notre peau peut refléter notre état émotionnel. Ainsi, en période de stress intense ou prolongé on pourrait avoir des troubles cutanés. Dans des situations de stress intense comme une crise de panique on transpire plus qu’à l’habitude. Mais toutefois, c’est lorsque ces troubles sont provoques par le stress, ils disparaissent rapidement après la résolution du problème. Mais une personne omni stressée peut paraitre au fil du temps plus vieux que son âge réel.

La tension artérielle augment et le cœur bat plus vite, cette réaction peut aggraver toutes sortes de troubles cardiovasculaire. À noter aussi que le débit sanguin change car il est redirigé de ertains organes vers les muscles. En situation de stress, le rythme respiratoire s’accélère de sorte que les poumons travaillent plus fort. Mais la respiration devient plus superficielle et incomplète. Donc si une personne asthmatique, le stress peut aggraver les troubles respiratoires. Les muscles se contractent durant la réaction de la fuite ou de la lutte.

Le Les muscles Les muscles se contractent durant la réaction de la fuite ou de la lutte. Le fait d’avoir des muscles tendus pendant des périodes prolongées peuvent provoquer des douleurs généralisées, des maux de tête, des maux de dos ou des troubles de sommeil. Personnellement c’est surtout au niveau de la nuque, il s’agit d’une raideur qui descends jusqu’aux épaules très souvent. Une douche bien chaude permet aux muscles concernés de se détendre. Durant un stress intense, le foie produit plus de glucose pour fournir de l’énergie ce qui entraine une hausse du taux d’insuline.

Ceci est problématique pour un dlabétique car son taux de sucre et d’insuline doivent être équilibré. Ces glandes jouent un rôle important en nous préparant à réagir à des demandes subites. Elles sécrètent des hormones comme l’adrénaline et le cortisol qui agissent sur les principaux systèmes u corps. Elles sont secrétées lorsqu’on se sent en danger, ces hormones provoquent une réaction de lutte ou de fuite lorsque c’est nécessaire. Cependant quand le corps est constamment en état de stress et que les concentrations de ces hormones n’ont pas [‘occasion de diminuer, cela devient nuisible pour la santé.

L’adrénaline élève la fréquence cardiaque et la tension artérielle tout comme le cortisol. Le stress peut avoir des conséquences fâcheuses sur les troubles inflammatoires car il peut aggraver une affection arthritique existante fâcheuses sur les troubles inflammatoires car il peut aggraver une ffection arthritique existante occasionnant au passage plus de douleur et de raideur. 1,1) L’appareil digestif Le stress peut également avoir un effet sur le tube digestif car la digestion ralentit.

Alors si on subit par exemple un stress chronique alors qu’on est en train de manger, on peut souffrir d’indigestion ou de brûlure d’estomac. À court terme la production d’hormones sexuelles est réduite pendant une réaction de stress, parce qu’elles sont inutiles durant une lutte ou une fuite. À la longue le stress peut jouer un rôle important dans l’infertilité et la dysfonction érectile, et peut avoir ne incidence sur le syndrome prémenstruel et la ménopause. L’interprétation, aux événements stressants de la vie, est très importante car elle détermine la durée et l’intensité des effets multiples.

On reconnait cinq manifestations perceptibles et réelles : le stress cognitif ou intellectuel, le stress comportemental interne ou externe, le stress physiologique ou physique, le stress psychologique ou moral et le stress social ou psychosocial. Les manifestations du stress cognitif sont une capacité limitée à résoudre les problèmes, une complexité à se remémorer ? ourt terme, une réduction de la concentration, une déformation de la pensée, une utilisation faible des moyens de défense. Le DSM. 4 (Amer concentration, une déformation de la pensée, une utilisation faible des moyens de défense.

Le DSM-4 (American Psychiatric Association, 1996) décrit trois types de troubles cognitifs: le délire, la démence et les troubles amnésiques. Le délire se caractérise par un déficit de la mémoire récente et immédiate, une désorientation, ainsi que par une perturbation des perceptions et du langage, le tout s’installant en un temps court. Les troubles mnésiques se caractérisent par une perte totale ou partielle de la mémoire telle que les individus qui en souffrent ont du mal à enregistrer des informations nouvelles ou à évoquer des informations antérieures.

Toutefois, aucune autre régression des fonctions cognitives n’est associée à ce type de troubles. Le délire et les troubles amnésiques sont souvent dus aux effets physiologiques d’une pathologie générale (traumatisme crânien ou hyperpyrexie), ou à la consommation de toxiques. II. B) Stress comportemental Les manifestations stress comportemental sont une agressivité hysique ou verbale, une conduite compulsive ou à risque, un désintéressement de l’emploi du temps, l’impossibilité de détente ou de sommeil, une fuite d’activités ou d’initiatives etc.

Certaines attitudes ou certains comportements peuvent être l’indice d’une trop forte dose de stress, comme nous Flndique C. Gervais dans son livre « comprendre le burnout » . une tendance à s’isoler de la société, s’absenter du travail ; éviter les situations trop tendance à s’isoler de la société, s’absenter du travail ; éviter les situations trop exigeantes avoir du mal à s’organiser ; ercevoir une réalité toujours négative ; consommer plus de tabac, de caféine, d’alcool, de drogues, de sucre, de chocolat changer ses habitudes alimentaires.

II. C) Stress psychologique Les manifestations du stress physiologique sont des douleurs gastriques ou musculaires, des engourdissements ou étourdissements, des infections urinaires ou visuelles, de la fatigue ou maux de tête, de l’arythmie cardiaque ou palp’tations démesurées etc. Les manifestations du stress psychologique sont l’angoisse ou l’anxiété, l’incertitude ou l’inquiétude face à des choix, l’intolérance ou l’irritabilité, un regard négatif des irconstances et des gens, le sentiment d’abandon ou de rejet.

II. D) Stress social Les manifestations sociales ou psychosociales sont la communication difficile en couple ou en famille, la dépréciation de soi-même, la froideur ou la tiédeur des sentiments affectifs, le manque d’intérêt ou d’intimité dans ses relations sociales, l’isolement ou le ressentiment volontalre etc. Ill) Vaincre le stress pour arriver à gérer son stress il faut d’abord le gérer physiquement, en utilisant la relaxation ou la méditation. Une bonne hygiène physique est également nécessaire.

De plus il faut apprendre à gérer psychologiquement son stress. Dans son livre « Des stratégies pour apprivoiser son stress » J. Lafleur nous apprends que p son livre « Des stratégies pour apprivoiser son stress » J. Lafleur nous apprends que pour cela il faut d’abord prendre conscience de la manière dont on raisonne et en apprendre à développer d’autres raisonnements, qui permettent de demeurer tout aussi efficace mais en baissant le niveau émotionnel. Il faut commencer par prendre du recul et relativiser.

Identifier les pensées stressantes je ne vais pas y arriver b) et se demander ce qui me fait dire cela. Ensuite, ne pas rester seul avec son stress, ne pas se laisser pas submerger par les émotions ou les idées négatives. Au contraire, dans une stratégie d’ajustement externe, il faut chercher à éradiquer la cause du stress. En s’appuyant sur des techniques de résolution de problèmes, exprimez son désarroi et s’affirmez : dlre ce qui ne va pas, négocier un délai, etc…

Si les situations stressantes s’annoncent inévitables, apprendre à y faire face autrement, par une stratégie d’ajustement interne : quelques techniques de relaxation et de respiration, notamment, peuvent aider à gérer ses reactions hysiologiques et émotionnelles. Il faut aussi pratiquer des exercices physiques permettant de réguler les effets désagréables du stress tel que barre sur l’estomac, mal être, douleurs intestinales.

Concluslon Je suis d’avis à penser qu’une vie sans stress n’est pas du tout possible, nous avons été créés, certes pour jouir de notre existence, mais aussi pour être éprouvé à certains moments par le biais de nos enfants, d notre existence, mais aussi pour être éprouvé à certains moments par le biais de nos enfants, de notre travail, de nos amis ainsi que tout autre aspect faisant partie de notre vie. La seule différence est comment allons-nous appréhendez une situation fâcheuse pour la rendre moins difficile à vivre à défaut d’en faire un tremplin pour notre bienêtre.

J’ai connu des moments très difficiles dans ma vie à tel point que je voyais la mort comme étant l’unique porte de sortie. J’ai connu les travailleuses sociales, les psychologues, les psychiatres mais aucun ne disposaient d’une solution miracle à mes maux. Certes, leurs conseils et leurs aides m’ont été d’une grande utilité mais j’ai surtout compris que c’était à moi d’embellir ma vie, que personne n’allait vivre ma vie ? ma place, que j’étais seul à trouver cette équation à multiples inconnus.

Aujourd’hui, marié et père de 3 enfants, j’appréhende la vie différemment, peu de choses me stressent fortement car à chaque fois que je fais face à une situation dont je n’ai pas le contrôle, je ne fuis pas mais je me mets tout simplement en retrait en attendant de trouver une solution appropriée. Je refuse catégoriquement de me ronger les ongles ou de perdre man sang froid, hors de question. Je ne compte pas retomber dans cette enclave dépourvue de toute reconnaissance humaine et je m’en porte tellement mieux, AKI_JNA MATATA