Psychologie

Développement social À l’adolescence Dès son tout jeune âge, madame Manon s’était créé un cercle d’amis plutôt nombreux, mais qui ne contenait que de bonnes personnes, car selon elle, ses parents n’auraient pas toléré qu’elle ait des amis ayant une mauvaise influence sur elle. Selon Baumrind, les parents de Manon seraient du style autoritaire. Surtout dans le cas de la mère, elle avait beaucoup d’attente envers sa fille et lui dictait ses faits et gestes. C’est à l’âge de 14 ans qu’elle fit la rencontre de son premier amour.

La rencontre se fit par l’entremise de son père, car le jeune homme se trouvait ? ?tre le fils d’un nouvel employé du magasin. Par la suite, à l’âge de 21 ans, Manon a eu ? son nouveau copain or 20 cision, choisir entre la mènera vers la phase jeune adulte d a • Sni* to View À l’âge adulte La décision prise l’a fait quitter la maison pour aller vivre avec cet homme qui deviendra son mari. Elle a donc reporté l’attachement central qui la liait à ses parents vers son amoureux. Cette phase fut très difficile pour elle. Après être partie, elle a perdu tout contact avec sa famille.

Sa mère ne voulait plus qu’aucun membre de la famille ne lui adresse la parole. Face à ces réactions et plusieurs difficultés, elle s’est donc ret page retrouvée seule après le divorce, surtout qu’elle l’a vécu difficilement puisque son mari l’a laissé pour son amie. Entre- temps, elle avait eu un enfant avec cet homme, qu’elle a donc dû élever seule. À ce moment, madame Manon a subi une tension de rôle, elle ne croyait plus répondre aux exigences de son rôle de femme. par chance, elle était encore en contact avec ses amis qu’elle avait connus avant l’acquisition de ses rôles sociaux.

Ces personnes qu’elle appelle soigneusement ses «Old Timer», ces ersonnes avec qui elle aime souper, jouer aux cartes et faire du ski de fond. Malgré l’aide apportée par ces personnes, elle a dû appeler son père pour qu’il l’aide, car la conciliation travail et parent devenait difficile. Depuis ce temps, elle a repris contact avec sa famille. Quoiqu’elle n’habite plus avec ses parents depuis son départ à l’âge de 21 ans, elle ne s’est pas sentie libre avant l’âge de 37-38 ans, car lorsqu’elle était en couple et mariée, elle n’était pas vraiment libre selon elle.

Cest seulement 5 ans plus tard qu’elle a commencé à ressentir ce sentiment, lorsqu’elle demandé à son ex-mari si elle avait fait quelque chose de mal pour qu’il la laisse. Elle ressentait donc un sentiment d’impuissance jusqu’au moment où il lui a répondu que ce n’était pas de sa faute, elle a donc quitté ce sentiment pour le sentiment d’optimisme. Quelques années plus tard, elle a r OF a donc quitté ce sentiment pour le sentiment d’optimisme. Quelques années plus tard, elle a rencontré un autre homme.

Ils étaient comme un couple, mais ils ne vivaient pas dans la même maison. Lui, étant plus vieux qu’elle de 13 ans, elle dit qu’il lui a beaucoup appris sur la vie. À l’âge adulte avancé Rendue aujourd’hui à l’âge de 70 ans, madame Manon travaille encore beaucoup, soi-disant pour se tenir en forme, mais également pour rencontrer des gens. N’ayant pas encore pris sa retraite et ne voulant même pas y penser, elle est également ? l’opposé de ce que les recherches disent sur la retraite qui est rendue pour la plupart des gens pris à 65 ans et moins.

Selon Peck, elle aurait donc des problèmes d’adaptation au stade de «la différence de l’ego plutôt que la préoccupation du rôle de travailleur», car elle a de la difficulté à modifier son concept de soi afin d’inclure d’autre rôle que celui de travailleuse. Elle ne veut pas arrêter, lorsqu’elle devra prendre sa retraite, elle veut aller faire du bénévolat pour s’occuper. Elle n’aime pas rien faire, même lorsqu’elle est en congé, elle pense aux autres et leur fait des muffins. Madame Manon a une amie qui reste à deux maisons de chez elle et a encore un réseau social étendu.

Son cheminement de vie lui a appris à ne plus faire entièrement confiance aux gens. C’est peut-être pour ça qu’elle assume jugé au premier regard faire entièrement confiance aux gens. Cest peut-être pour ça qu’elle assume jugé au premier regard, mais qu’elle laisse une hance par après, c’est une façon de se protéger. Pour ce qui est de ça notion de la mort, elle n’en a pas peur, mais elle préfère ne pas y penser. Elle ne vit pas le sentiment unique d’invulnérabilité, elle croit plutôt qu’il y a une injustice face à la mort.

Elle croit que certaines personnes qui sont encore jeunes et qui leur reste des choses à vivre ne devrait pas mourir avant les personnes âgées qui ne leur reste plus que ça comme cheminement, mais ils s’entêtent à ne pas mourir. Si elle pouvait avoir le choix, elle voudrait mourir sans souffrir. Une mort dans son sommeil serait l’idéal pour elle. On peut donc en déduire qu’elle n’a pas encore atteint le stade de l’intégrité selon Erlkson. Développement cognitif Tout d’abord, déjà très jeune, madame Manon avait une idée assez claire de ce qu’elle voulait faire dans la vie.

En effet, elle souhaitait par-dessus tout faire des études à récole des Beaux- arts. Malgré son désir, comme mentionné précédemment, ce sont ses parents, notamment sa mère qui est d’origine italienne, qui lui a tracé son parcours. par ailleurs, cette période de sa vie nous donne un exemple bien précis de ce qu’est la période des opérations formelles, en particulier la caractéristique de la révision des conséq période des opérations formelles, en particulier la caractéristique de la prévision des conséquences à long terme.

En effet, madame Manon comprenait très bien les conséquences et les implications posslbles du fait que sa mère avait le pouvoir sur ses décislons. De plus, en ce qui concerne cette période, il y a de nombreuses transformations graduelles des habilités cognitives, la personne interrogée nous a mentionné que bien malgré elle, elle a dû apprendre le métier de fleuriste et de participer dans la boutique assez tôt dans son développement. Ce changement s’est effectué ans sa perception du monde qui ventoure ainsi que dans la façon dont elle a dû affronter le monde suite aux décisions prises par ses parents.

Premièrement, la pensée post formelle se développe surtout au niveau des expériences éducatives. Selon Labouvie-Vief, le jeune adulte doit développer de nouvelles habiletés et apprendre ? résoudre des problèmes associés au nouveau rôle, socialement et professionnellement. De ce fait, lorsque madame Manon a dû quitter la maison, elle devait acquérir de nouvelles habiletés par elle-même en ce qui concerne tout autant son travail que les habiletés qul concernent la vie quotidienne.

Autant comme femme de ménage que comme gardienne de plusieurs enfants alors qu’elle était très jeune, ses nouvelles tâches professionnelles devaient faire partie de son cha PAGF s OF qu’elle était très jeune, ses nouvelles tâches professionnelles devaient faire partie de son changement cognitif. La nouvelle forme de pensée dont fait preuve madame Manon à ce moment est la validité contextuelle. Durant cette période, le type d’intelligence que présente madame Manon est l’intelligence fluide. Ce dernier est expliqué par le fait qu’elle ne dépend pas seulement des études ainsi que des expériences.

En effet, la mémoire, la rapidité des réactions ou encore le raisonnement abstrait font partie des aspects du développement cognitif développer dans sa vie quotidienne. Par ailleurs, elle croit que sa capacité intellectuelle est « restée au même niveau De plus, elle n’a pas énormément le temps de faire ces activités, car son emploi occupe une grande partie de son temps. Ceci démontre que malgré le fait que les activités intellectuelles diminuent, à l’âge adulte elle ne perd pas la majorité de ces habiletés de mémorisation qui lui sont essentielles pour son travail quotidien.

En écoutant son récit de vie, force est d’admettre que la mémoire sémantique est davantage présente. Les évènements de sa vie lui sont plus faciles à se rappeler, notamment les évènements tragiques comme la situation entre son fils et la gardienne de l’époque. En ce qui concerne l’âge adulte moyen, il est possible de remarquer le modèle de croissance-décroissance du développement cognitif. Selo moyen, il est possible de remarquer le modèle de croissance- décroissance du développement cognitif.

Selon son témoignage, il est facile de comprendre que les capacités suivent une courbe. De plus, puisque la présence d’activités physiques influence en tant que facteur important la santé cognitive, il est possible de remarquer que les deux sont liés. Les activités physiques de Manon ont diminué avec le temps, tout comme son intérêt et son temps pour les activités cognitives. Finalement, pour l’âge adulte, une étape importante de la vie de la personne interrogée, la productivité et la créativité sont deux facteurs assez importants.

De par son métier en tant que fleuriste, il s’agit de deux capacités qui sont travaillées quotidiennement. Il n’est pas possible ‘affirmer que la productivité est à son sommet, mais elle en est non loin. Il est évident que la mémoire et l’attention font partie intégrante des inquiétudes en ce qui concerne la vieillesse. Pour madame Manon, elle nous a clairement expliqué que sa memoire et son attention diminuent avec le temps. Il est facile de constater qu’elle a une bonne attitude optimiste envers la capacité de sa mémoire et qu’elle accepte le fait que ses capacités ne sont pas inatteignables.

Même si à l’âge d’adulte avancé de déclin de la plupart des habiletés s’accentue, cela ne l’empêche pas d’être vive d’esprit et 7 OF e la plupart des habiletés s’accentue, cela ne rempache pas d’être vive d’esprit et d’avoir un certain niveau d’attention et de mémoire à l’égard de ce qui lui est nécessaire. Lorsque l’on parle d’attention, il s’agit d’une attention divisée notamment en grande partie car elle doit exécuter différentes tâches au même moment dans les fonctions de son emploi.

Malgré tout, lorsqu’elle exécute plusieurs tâches en même temps, il lui est beaucoup plus facile qu’auparavant de faire des oublis. Pour se tenir en forme intellectuellement, elle pratique des activités seule, tout particulièrement les mots mystères. De ce fait, la mémoire de travail est énormément stimulée lors de son quotidien. Avec les connaissances, les expériences et les habiletés qu’elle a acquises tout au long de sa vie, elle regarde sa vie de façon rétrospective et elle y voit des éléments qui auraient pu être améliorés.

Certains facteurs de protection comme la grande quantité d’activité physique et intellectuelle ainsi que sa bonne santé sont en faveur de sa mémoire et de son attention. La sagesse lui permet de connaître les possibilités de la vie, notamment lorsqu’elle nous parle de la confiance qu’elle avait envers son ari et qu’elle serait beaucoup plus méfiante aujourd’hui. Il lui est facile pour elle d’accepter les évènements qui sont derrière elle et d’accepter ce qui est prévu pour elle dans le futur. Il s 8 OF les évenements qui sont derrière elle et d’accepter ce qui est prévu pour elle dans le futur.

Il s’agit de l’acceptation de l’imprévisibilité. Finalement, sa créativité est énormément stimulée de plusieurs façons. En partlculier avec son travail et aussi avec son passe-temps quotidien que sont les mots cachés. Quand elle ne s’occupe pas, elle pense constamment à ses « bobos Y, alors que lorsqu’elle s’occupe, cela lui permet ‘oublier les problèmes. L’augmentation de la créativité peut également augmenter chez les adultes d’âge avancé. En effet, pour elle il est nécessaire de toujours être occupé.

Elle n’envisage même pas la retraite à l’âge de 70 ans. Son potentiel créatif se développe à tous les jours. À ce moment elle se situe dans la phase de récapitulation, car tout en cherchant une cohésion dans les évènements passés, elle prévoit déjà ses prochaines performances comme le bénévolat car elle ne veut pas arrêter de se développer cognitivement. Développement physique D’abord, madame Manon a remarqué que ses changements corporels ont débuté vers l’âge de 1 1 ans, de même que ses premières menstruations, qu’elle trouve avoir eu trop tôt.

Sa puberté a donc été précoce, par contre elle pense que sa poussée de croissance a été graduelle et n’a pas été marquée de façon significative. Le fait d’avoir eu sa puberté si jeune n’a pas eu d’impact négatif sur sa perc PAGF OF façon significative. Le fait d’avoir eu sa puberté si jeune n’a pas eu d’impact négatif sur sa perception d’elle-même. Ensuite, ? 14-15 ans elle travaillait déjà 6 à 7 jours par semaine pour aider u commerce famillal, elle a donc dû qu tter l’école assez tôt.

Elle n’a pas vécu son adolescence comme elle [‘aurait voulue. À ce même âge, elle commence à sortir avec des amis et elle vit son premier amour. Sa mère étant très sévère elle ne pouvait vivre cette période de sa vie à sa guise. Elle n’a donc jamais rien fait qui aurait pu nuire à son développement physique. Comme à 18 ans, elle trouve une certaine liberté, elle dit avoir vraiment pu profiter de la vie davantage à partir de cet âge. C’est à cet âge qu’elle pense avoir amorcé sa vraie adolescence.

De plus, elle ffirme avoir commencé à se sentir plus femme à ce moment, car la nature avait été généreuse avec elle, la minceur et de beaux attribus lui ont donc permis de se sentir bien dans sa peau. Après l’adolescence, madame Manon ne s’identifie pas aux critères de beauté, en ce qui a trait à l’apparence physique, même si elle les respecte amplement, tout comme à l’adolescence elle se trouve plutôt jolie. Comme elle nous Pexplique : « À l’époque, il fallait être bien mise, maquillée et coiffee. » Toutefois, selon elle, son métier ne lui permettait pas d’adopter ce «look». Elle s’est toujours perçue plutôt