quelle est la différence entre la névrose et la psychose?

Dans la psychopathologie, il existe deux pathologies distinctes : la névrose et la psychose. Selon Lagache, la névrose est un trouble mental qui n’affecte pas la personnalité contrairement à la psychose. La névrose ne résulte pas d’une affection organique tandis que certaines maladies psychotiques ont une origine organique. La névrose peut être soignée par une psychanalyse à l’inverse de la psychose. La névrose se caractérise par des symptômes ou des problèmes liés au stade oedipien alors que la psychose montre des problèmes aux stade or2 1er stade anal.

La névrose n’affecte a rception de la réalité ontrairement à la ps ho Question n02 : Expliquez pourquoi on peut dire que la frontière entre normal et pathologique est imprécise. Quel est ou quels sont, selon vous, le ou les critère(s) permettant de cerner cette frontière ? Réponse . On ne peut pas dire que la pathologie s’oppose à la normalité. Une norme est établie sur une moyenne et un écart-type. les normes établies selon un pays ou les coutumes de celui-ci.

En médecine, le normal se définit par un homme sain, jamais malade. Or, ce n’est pas la cas : tout le monde tombe malade. On peut donc conclure là aussi que nous sommes tous anormaux; un omme qui n’est jamais malade est rare, donc si on reste dans la théorie que le normal s’oppose à la pathologie, cet homme est anormal. Pour définir la pathologie, on peut dire que l’on considère la normalité ayant la capacité de s’adapter et d’affronter les conflits.

Un individu normal s’adapte donc à son environnement, son entourage, aux situations auxquelles il est confronté. Jean Bergeret parle d’individu « bien portant » pour désigner la normalité. Selon lui, chaque individu a ses propres limites ( physiques, psychiques). Elles se définissent par notre éducation, notre environnement, notre sensibilité et notre caractère. Chaque individu a ses propres réactions selon ce qu’il est capable de supporter, d’endurer.

Une situation extrême et peu commune peut engendrer des comportements que l’on n’aurait pas soupçonne. Nous avons, chacun, un seuil de tolérance, un seuil qui, s’il est dépassé peut destructurer l’individu. Face à l’inconnu, des réactions surviennent et selon la pression, elles peuvent être abbérantes aux yeux de la société. Tant qu’un individu n’est pas confronté à des situations qui le dépassent et qui rentre en conflits avec lui-même, cet individu sera considéré comme « bien-portant » (soit normal).