Les écarts technologiques entre la mobilité et la Business Intelligence

La BI mobile transforme la façon dont les cadres et autres employés accèdent aux données stratégiques de leur entreprise. Les technologies de 31 et les périphériques mobiles présentent certains écarts. À ce sujet, les leaders du secteur de la BI souhaitent faire part de leurs réflexions.

J’ai discuté avec Quinton Alsbury, co-fondateur de Roambi ; Francois Ajenstat, directeur en charge de la gestion des produits chez Tableau Software ; Dan White, responsable produit en chef chez TIBCO Spotfire et Ran Van Riper, vice-président des services globaux chez GoodData, à propos de l’état actuel des écarts technologiques et culturels ntre la mobilité d’entreprise et la BI. Dans mon précédent article sur TechRepublic, co écarts culturels.

Dan écarts technologique Voici quelques-uns d ors Sni* to View a BI, j’ai abordé les concentrerai sur les qui se réduisent entre la mobilité d’entreprise et la BI 1- Plates-formes sur site ou dans le Cloud La BI a ses racines dans l’informatique sur site et reste le domaine de spécialistes. Les cadres devaient soumettre une demande au service informatique pour pouvoir générer un rapport sur un ensemble précis de données d’entreprise. Un membre du service informatique devait alors créer un rapport et, souvent, le réviser our répondre aux besoins du cadre. M.

Van Riper considère que la migration des plates-forme page plates-formes de BI vers le Cloud a contribué à réduire les écarts entre la BI et la mobilité. En effet, le Cloud accélère l’acquisition et la transformation des données. Il supprime également la nécessité d’acquérir une plate-forme matérielle. 2- Matériel pour périphériques mobiles Chez Roambi, M. Alsbury s’est investi dans la BI mobile depuis le début. Cest pourquoi il cite certaines améliorations au niveau du périphérique mobile qui lui permettent aujourd’hui de présenter et d’interagir avec des données.

Normalement, vous deviez vous servir d’un desktop ou d’un ordinateur portable, ce qui n’était pas réalisable dans tous les scénarios. 3- Applications mobiles ou applications web Selon M. Alsbury, Roambi, qui existe depuis 2008, a vu le jour explicitement pour l’iPhone. L’entreprise a commencé par une application pour iPhone, puis l’a adapté pour l’iPad, et a dernièrement lancé une application pour Android. « Tout d’abord, vous ne pouvez pas avoir une solution basée uniquement sur navigateur », affirme M.

Alsbury. « Il est facile de dire que lion propose un outil de génération de rapports en Flex ou en HTML 5 et que tout le monde peut y accéder depuis n’importe quel appareil ce qui n’est pas forcément vrai. » Une application mobile native permet également à l’utilisateur de continuer à travailler en cas de signal fable, voire de perte de connexion. Cela n’est pas possible avec une application web. 4- Interface utilisateur De par leur complexité et leurs application web.

De par leur complexité et leurs interfaces cryptiques, les premiers outils de création de rapports de BI sont restés le domaine des spécialistes informatiques et des rédacteurs de rapports qualifiés. M. Van Riper considère que les améliorations apportées aux interfaces utilisateurs ont facilité la détection et l’utilisation des données par l’utilisateur fonctionnel. Même si les analystes peuvent toujours créer des rapports, les utilisateurs finaux peuvent également en générer, ce qui n’était pas le cas avant les applications mobiles de BI. ? Tout a commencé par le problème de l’interface explique M. Alsbury. « La question s’est posée lorsque nous avons lancé l’entreprise avec comme mission de creer une interface vraiment incroyable pour interagir avec des données sur un iPhone équipé d’un écran e 3 pouces sur 2 Selon lui, l’entreprise a pris en compte la puissance et le stockage des données, mais quelqu’un devait encore conceptualiser la nouvelle navigation tactile. « Mais par la suite, nous avons vraiment dû nous interroger sur la vraie signification de la création d’une solution mobile », poursuit M. Alsbury. ? Cela nous a fait réfléchir sur la façon dont les utilisateurs interagissent avec leurs mobiles et dans quelles situations ils se trouvent quand ils disposent de leur téléphone mobile et non de leur ordinateur portable. » 5- Développement des outils sociaux Les plates-formes de mobilité d’entreprise et de BI dans I des outils sociaux Les plates-formes de mobilité d’entreprise et de BI dans le Cloud intègrent désormais des outils soclaux, qui permettent aux utilisateurs de commenter les données de l’entreprise. « Nos clients estiment que le composant social de Spotfire a permis de transformer leur entreprise explique M.

White. « Soudain, les données d’entreprise se sont réellement démocratisées. Elles sont accessibles par tous, et non uniquement par les pontifes de la gestion des données. Spotfire Mobile Metrics permet un contrôle total sur les autorisations elatives à l’accès et à l’insertion de commentaires. Cependant, certains de nos clients, davantage tournés vers l’avenir, ont décidé de garder la solution complètement ouverte, ce qui octroie aux employés une voix (ainsi que des responsabilités) concernant les indicateurs les plus stratégiques de l’entreprise.

Les idées les plus prometteuses peuvent venir de n’importe où. 6- Réalisation d’un écosystème ? « Combler l’écart, ce n’est peut-être pas le terme que j’utiliserals », précise M. Ajenstat. Ce dernier n’est pas d’accord avec mon opinion sur l’état actuel de la mobilité d’entreprise et de la BI et ropose une perspective nouvelle. Selon lui, il s’agit surtout de la mise en place d’un écosystème. « La mobilité est un élément vraiment important dans nos vies quotidiennes, mais elle n’est qu’une partie de l’écosystème », explique-t-il. ? Pour cette raison, le mode de consommation actuel en tout lieu rend le pérphérique transparent dans ce d PAGF cette raison, le mode de consommation actuel en tout lieu rend le périphérique transparent dans ce déploiement « Il y a différents cas d’utilisation en entreprlse où les tablettes servant aux analyses mobiles font partie de la suite pour cadres joute M. Ajenstat. « C’est le principal appareil qu’ils utilisent. Ensuite, il y a le scénario des commerciaux mobiles, qui ont besoin d’accéder à leurs données pendant leurs déplacements. ? « Nous le voyons également dans la vente au détail, où intervient un responsable de magasin continue M. Ajenstat. « L’entreprise tente de le mettre davantage au contact des clients et moins souvent dans les bureaux, à l’arrière du magasin. La tablette est en fait un excellent moyen pour le rendre mobile et le connecter à ses clients, tout en lui permettant l’accès à l’ensemble des nformations cruciales de l’entreprise. » Selon M. Ajenstat, il faut juste que le périphérique fonctionne. – Dernières réflexions Les écarts entre la mobilité et la BI se rédulsent au fur et ? mesure du développement et de l’évolution des plates-formes de données, des applications mobiles et des interfaces utilisateur pour répondre aux besoins des utilisateurs. Un jour, nous parviendrons au point ou « la tablette deviendra le support de référence » pour les données. La rédaction traditionnelle des rapports de données rejoindra alors l’Histoire des technologies de l’information.