LE SILENCE Si nous prenons la définition du mot « silence », on peut s’apercevoir qu’il y a plusieurs définitions, il possède plusieurs Slgnificatlons, car le silence à un sens. Le premier est de ne pas parler, donc de se taire, absence de parole, absence des mots. Il peut refléter les humeurs des personnes, par exemple l’embarras traduit par le silence lorsqu’une personne n’a pas compris quelque chose, et se demande ce que cela veut dire, ou encore la peur de parler devant un groupe de personnes que l’on Snipe to ne connait pas. ? La minute de silenc orts. Ce sllence per Le silence permet au confidences secrètes ndons hommage aux • mmage rendu. e ne pas trahir des i fécoute de l’autre et de pouvoir montrer l’attention que l’on peut y porter. Le silence est aussi une préparation à pouvoir s’exprimer plus tard. Le silence est la base de toute discipline initiatique. On le retrouve dans toutes les traditions. La première leçon de Bouddha est . Fais silence en toi, et écoute. Les discples de Pythagore observés sept ans de silence.
Rabbi Akiba, fondateur du judaïsme rabbinique, grand maître de a Tora allait lui aussi faire abstention de silence pendant douz Swipe to nex: page douze ans. Dans le Tao, bouddhisme Japonais, Lao Tseu donne une haute valeur au silence et à sa portée lorsqu’il dit : « Ceux qui connaissent ne parlent pas, ceux qui parlent ne connaissent pas. » Les Peuls, peuple de pasteurs de la région du sud Sahara considèrent que la parole est comme un fruit dont l’écorce est le bavardage, la chair est l’éloquence et le noyau le bon sens, c’est-à- dire le retour sur soi pour mieux percevoir le monde, préparer la arole.
Dans la F. M. l’apprentie que je suis doit observer le silence pour apprendre et méditer avant d’affirmer. Pour apprendre à penser, il faut s’exercer à s’isoler et à s’abstraire. C’est uniquement dans le silence que l’on peut faire une introspection, un retour sur soi meme_ Cette étape est une obligation pour l’apprentie, c’est notre premier devoir. Quand nous rentrons dans le Temple cela se fait en silence. Nous sommes obligés de se conformer à cette conduite. Cela parait aisé, mais il n’en est rien. Cela demande de la discipline.
Mais lors de mon initiation, dans le cabinet de réflexion, par l’épreuve de la Terre, j’étais déjà dans le silence. Sensation de pesanteur au début qui se transforme en élément essentiel pour pouvoir atteindre son moi profond. Peut être que ce silence vécu dans le cabinet de réflexion était là pour me signifier la séparation avec le monde profane. Car dans ce mo de réflexion était là pour me signifier la séparation avec le monde profane. Car dans ce monde profane tout est bruit, tout est son.
Quand je travaille sur mes planches et que je lis des lectures açonniques, je sus dans le silence et j’ai besoin de lui pour gravir mon éveil, stimulée mes réflexions, guidée mon travail. Les apprenties observent le silence en loge, durant tout leur apprentissage, il ne faut pas le voir comme une privation de communiquer, mais simplement comme un moyen de favoriser l’écoute. Le silence maçonnique est imposé à l’intérieur du temple mais aussi à l’extérieur. Tout maçon a un devoir de silence et de discrétion sans distinction de grade.
Le silence permet une qualité d’écoute qui va permettre de épondre véritablement à [‘autre. Lors d’une tenue, nous sommes invitées à écouter nos sœurs ave fraternité. Si nous ne pratiquons pas l’écoute fraternelle par le silence, nous n’arriverons jamais à parler avec calme et justesse. Le silence permet de comprendre que le rite est essentiel, il s’impose comme un moyen merveilleux de connaissance. Le silence est une façon de se préparer à mieux être, pour soi et donc pour les autres. « Quand on a entendu du Mozart, le silence qui sult est encore du Mozart….. » J’ai dit.