le siècle des lumières

Le siècle des Lumières A la mort de Louis XIV en 1715, Philippe DOrléans assure la régence jusqu’en 1723; Louis XV, alors âgé de 13 ans, monte sur le trône. Sa volonté de vouloir conserver l’absolutisme nourrit la méfiance du peuple, les philosophes prônent une plus grande liberté. Le roi décide alors, pour augmenter son pouvoir, de renforcer les censures et d’interdire les parlements en 1771. Quand aux femmes, elles restent considérées comme des êtres inférieurs et faibles. La monarchie absolue, légitimant son autorité par son origine ivine, devient une cible des Lumières.

Voltaire propose Sni* to View Swipe Lo nexL page d’instaurer en France réclame une Républi Le 18ème siècle, autr or 2 ntaire, Rousseau lui, s Lumières, est une révolution de la pens e. Ce courant culturel et philosophique est fondé sur la foi dans la raison, le progrès et le bonheur. Il est né de l’accélération des découvertes scientifiques ainsi que des grands voyages et défend l’idée que la science est une clé du bonheur de l’homme, ce qui ne fera qu’amplifier l’essor de connaissances entreprit au 17è 17ème siècle.

Par exemple, La Condamine fixe le tracé de l’équateur, Herschel étudie le soleil, D’Alembert s’illustre en astronomie mécanique puis Fahrenheit et Réaumur mettent au point le thermomètre. Les frères Montgolfier construisent le premier aérostat, Lavoisier entreprend des travaux sur la science médicale, tandis que Franklin étudie l’électricité. Les sciences naturelles aussi évoluent, Buffon formule l’hypothèse, toute de suite condamnée par l’Église, que Ihomme et le singe aurait un lien de parenté.

Mais les écrivains et les philosophes ne se contentent pas e regarder la science progresser, tous en font une véritable croyance, ils voient en elle la grandeur de l’homme et la garantie du bonheur. Pour eux, la connaissance du monde physique doit s’appuyer sur le refus des dogmes anciens, des croyances, ainsi que des superstitions qui vont à l’encontre des découvertes et de l’avancée de la science, comme l’ont dit Diderot et Condorcet, deux grands écrivains de cette époque. «Seule la raison doit guider la pensée et les actions des hommes, et non pas leurs préjugés religieux».