INTRODUCTION Sujet amené : Nom de l’auteur : Pierre Corneille Titre de l’œuvre : Le Cid Titre de l’extrait : «Un débat intérieur» Lieu et date de création ou de publication : publié à paris en mars 1 637 Courant littéraire : Baroque ou préclassicisme Genre et forme littéraires : Genre dramatique, tragédie en 5 actes Propos ou mise en situation : Les stances de Rodrigue Lien avec le contexte : Espagnolisme et querelle du Cid Sujet posé : Démontr stances permet au h trancher le conflit en Sujet divisé : l. Il. La recherche tour ‘veloppé par c’est t. intérieur destiné ? us honorable Ill.
Une prise de décision lib ratrice DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF Il. La recherche tourmentée d’une solution A. L’amour et l’honneur sont en dilemme 1. Deux champs lexicaux de l’honneur et l’amour a) «Mon père» (v. 12), «honneur» (v. 15), «gloire» (v. 26) – honneur b) «Feu» (v. 10), «amour» (v. 15), « Chimène» (v. 13) = amour à Démontre deux valeurs essentielles coexistant chez Rodrigue 2. Phrases exclamatives et une Synecdoque a) «Mourir sans tirer ma raison! » (v. 44), «Recherchez un trépas si mortel à ma gloire! » (v. 45), «D’avoir mal soutenue mon onneur! ? (v. 47), L’un m’anime le cœur, l’autre retie retient mon bras» (V. 1 7) àLes phrases exclamatives, nous permettent de remarquer la force des émotions ressenties par Rodrique pour maintenir son honneur et la synecdoque nous montre que l’être est en proie du conflit C. A. :Rodrique est tourmenté face au choix du dilemme B. Conséquences dramatiques d’un choix 1 . Juxtaposition dans la 2e strophe a) «L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour» (v. 27) à Rodrigue est face au choix qu’il est prêt à sacrifier 2. Pléonasme et répétitons a) «trépas» (v. 45), «mourlr» (v. 42-44), «mourons» (v. 43) C. B. : rodrigue doit faire face à une triste réalité C. II. : Rodrigue doit faire un choix déchirant entre l’honneur et l’amour [Ill] une prise de décision libératrice A. Rodrigue accepte son destin 1. Phrase déclarative a) «Que je meure au combat, ou meure de tristesse, je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu» (v. 55-56) àCette phrase insiste sur le fait que Rodrigue accepte sa mort inévitable. 2. Enjambement a) «Allons, mon bras, sauvons du moins l’honneur, puisqu’après tout il faut perdre Chimère. ?? (v. 52-53) àL’enjambement explique que peu importe la situation, il perdra Chimère. Ce que Rodrique accepte malgré lui. C. A. :II se plie à son destin, en acceptant la perte de Chimère, dont sa mort est inévitable. B. Il se libère de ses sentiments négatifs 1. Personification a) «N’écoutons plus ce penser suborneur, de ses sentiments négatifs a) «N’écoutons plus ce penser suborneur, qui ne sert qu’à ma peine» (v. 50-51 ) à Cette personification redone vie à ses pensées trompeuses qui le rendent malheureux et qu’il veut absolument fuir. . Phrase courte ) «Ne soyons plus en pleine» (v. 61) C. B. : rodrigue n’en peut plus de ressentir de la peine, donc d’avoir des sentiments négatifs C. III. : Alors, en ayant plus de peine et de pensées qui s’avèrent trompeuses, il se libère de ses sentiments négatifs. CONCLUSION Confirmation : C’est dans le renoncement librement consenti de ses passions en faveur de l’exigence la plus conforme à sa gloire que le héros instaure un débat intérieur, afin de trancher le conflit en faveur de la solution la plus honorable.
Synthèse : Rodrigue doit faire un choix déchirant entre Ihonneur t l’amour Alors, en ayant plus de peine et de pensées qui s’avèrent Ouverture : L’opposition de l’amour héro(que de Corneille et la passion destructrice de Phèdre. Rédaction (Introduction) Au XVIIème siècle, les œuvres littéraires se multiplient, Le cid publié à Paris en 1637, par Pierre Corneille était à la base une tragi-comédie qui ne correspondait plus à l’époque. Après quelques petites modifications, elle est devenue une tragédie de 5 actes d’inspiration espagnole.
Le Cid est une romance modifications, elle est devenue une tragédie de 5 actes ‘inspiration espagnole. Le Cid est une romance de la vie d’un grand seigneur castillan. Cette œuvre extrêmement différente des pièces baroques à la mode, marque la naissance vérltable du classicisme. L’extrait «lJn débat intérieur », présente Rodrigue Diaz de Bivar, s’illustrant au 1 le siècle dans la guerre contre les Maures. C’est à l’aide de ce monologue composé par les stances qu’il sera possible de démontrer que le héros instaure un débat intérieur destiné à trancher le conflit en faveur de la solution la plus honorable.
Nous verrons que le héros est à la recherche ‘une solution et qu’il essai de prendre une décision qui sera libératrice pour lui. (Développement argumentatif) Pour commencer, Rodrigue est la recherche tourmenté d’une solution pour contrer son dilemme entre l’amour et Ihonneur. En effet, la présence d’un double champ lexical de l’honneur comprenant des mots tels «Mon père» (v. 12), «honneur» (v. 15), «gloire» (v. 26), ainsi l’amour avec les mots suivant «feu» (v. IO), «amour» (v. 15), «Chimère» (v. 13). Rodrigue demontre l’importance de ses valeurs essentielles coexistant en lui.
De plus, l’utilisation bondante de phrases exclamatives et d’une synecdoque «Mourir sans tirer ma raison ! » (v. 44), « Recherchez un trépas si mortel ? ma gloire (v. 45), « D’avoir mal soutenue mon honneur (v. 47), «L’un m PAGF trépas si mortel à ma gloire ! » (v. 45), «D’avoir mal soutenue mon honneur ! » (v. 47), «L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras» (v. 17). Les phrases exclamatives permettent de remarquer la force des émotions ressenties par Rodrigue pour maintenir son honneur et la synecdoque montre que [‘être est une proie du conflit.
Rodrigue est donc tourmenté face au choix du dilemme. De plus, il fera un choix qui ne sera pas des plus fructueux et qui lui apportera des conséquences dramatiques. Par le fait même, l’utilisation d’une juxtaposition dans la 2e strophe «Cun me rend malheureux, l’autre indigne du jour» (v. 27) Rodrigue fait face au choix qu’il est prêt à sacrifier. De plus, avec le pléonasme «trépas» (v. 3445), «mourir» (v. 4244), «mourons» (v. 43) Rodrigue prouve qu’il doit affronter une dure et triste réalité. Alors, il dolt faire un choix déchirant en l’honneur et l’amour.
Par la suite, Rodrigue doit prendre une décision qui sera ibératrlce et acceptant logiquement son destin. Cependant, il y a une phrase déclarative «Que je meurs au combat, ou meure de tristesse, je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu» (v. S6-S7) Cette phrase insiste sur le fait que Rodrigue accepte la mort qui est inévitable. Ensuite, l’enjambement «Allons, mon bras, sauvons du moins l’honneur, puisqu’après tout il faut perdre Chimère» (v. 52-53) L’enjambement explique que peu importe la situa puisqu’après tout il faut perdre Chimère» (v. 52-53) L’enjambement explique que peu importe la situation, il perdra Chimère.
Ce que Rodrigue accepte malgré lui. Il se plie à son destin, en acceptant la perte de Chimère, dont la mort est inévitable. Puis, Rodrigue se libère du mieux qu’il peut de ses sentiments négatifs. La personnification « N’écoutons plus ce penser suborneur, qui ne sert qu’à ma peine» (v. 50-51 ) Cette personnification redonne vie à ses pensées trompeuses qui le rendent malheureux et qu’il veut absolument fuir. Également, la phrase courte «Ne soyons plus en peine» (v. 61) Rodrigue n’en peut plus de ressentir de la peine, donc d’avoir des sentiments négatifs.
Alors, en ayant plus de peine et de pensées qui davèrent Conclusion Pour conclure, l’extrait de cette œuvre est le renoncement librement consenti de ses passions en faveur de l’exigence la plus conforme que le héros instaure un débat intérieur, afin de trancher le conflit en faveur de la solution la plus honorable. Nous avons pu définir qu’il doit faire un cholx déchirant. Donc, ayant plus de peine et de pensées trompeuses, il est libéré de ses sentiments négatifs. Or, l’opposition de l’amour héroi@ue de Corneille qui est positive et la passion destructrice de Phèdre.