modernisation du système budgetaire

OUVRAGE ÉCONOMIE ET MARCHE FINANCIER (RÉSUME) INTRODUCTION GENERALE . Ce livre a une motivation : entrevoir l’avenir, d’où la nécessité de comprendre les conséquences de la crise, désigner et apprécier les bouleversements possibles et les perspectives les plus probables sur les marchés financiers, l’économie, mais aussi la société.

Les désordres économiques et financiers apparus au cours de l’année 2008 ne se limiteront pas au seul domaine économique, mais auront des répercussions visibles sur la société tout entière. Dans le cadre d’une c agissent directement la société : l’effondre our la stabilité des L’analyse technique r or 26 to View rtements des agents e menace majeure e méthodes qui ont pour but d’observer les graphiques boursiers pour ensuite anticiper les tendances à venir.

Un des grands principes fondateurs de cette théorie repose sur le fait qu’il existe des configurations spécifiques, clairement identifiables, qui permettent, une fois qu’elles ont été validées, de déterminer des scénarios sur la tendance du marché considéré. Il semble bien que la fin d’un monde bipolaire après l’effondrement du bloc soviétique dans les années 1990 a ermis d’éloigner et de réduire considérablement le sentiment de peur et d’incertitude dans nos sociétés.

Cela a facilité l’amorce d’une folle accélération de phénomènes de société dans un nombre tres important de domaines dépassant le seul cadre éco économique et financier : avènement d’un monde universellement libéral et financiarisation de l’économie (mondialisation et mise en place d’une concurrence rude et implacable entre les économies et la main-d’œuvre salariée, dérégulation des marchés et des contraintes, hyperconsommation, explosion des cours de Bourse… mais aussi de phénomènes politiques (reconnaissance du libéralisme comme seul régime économique possible, montée en flèche de la démocratie à travers le monde. Aujourd’hui, la crise fait s’évanouir cette pulsion de désir au profit de la peur : le monde se met progressivement ? vivre avec la peur. Peur et désir peuvent coexister, mais il semble bien qu’après ces années où le désir était roi, la peur revienne s’installer dans nos sociétés et dans nos esprits. Elle guidera tout un ensemble de décisions et de pratiques, elle affectera tous les niveaux de la société.

L’objet de ce livre est donc de déterminer des scénarios futurs sur les changements qui se manifesteront. PARTIE I : CAUSE PROFONDES DE LA CRISE CHAPITRE 1 : nouvelle crise du capitalisme Critique du capitalisme, rapprochement au système libéral tous les maux de situation de crise. Un capitalisme malade : une soif de profit jamais assouvie. Le problème de l’aléa moral: la finance comportementale considère l’existence d’une asymétrie d’information et de risque entre deux contractants.

Il s’applique à toute situation pouvant révéler un système peruers conduisant à des comportements abusifs. La finance est débordée de situations ou l’aléa moral est manifesté . Les banques a PAGF finance est débordée de situations ou l’aléa moral est manifesté Les banques appliquent un système de rémunération déroutant à de nombreux salariés suite au précepte du profit à court terme, chacun reçoit un pourcentage des profits réalisés à partir des capitaux engagés par la banque en fonction du risque pris.

L’asymétrie entre le risque pris et l’espérance de gain favorisent naturellement des comportements excessifs, dangereux et irresponsables. Le secteur technologique et le ecteur financier sont les secteurs qui ont plus pratiqués ce dérivé, ceux qui ont connu des bulles spécu atives. Dans l’industrie les propriétaires capitalistes exigent par des rendements et des profits le plus élevé posslble. Le système entrepreneurial capitaliste a toujours fonctionné de cette manière sans déclencher des crises économiques majeures.

Ce n’est pas alors ce système qui est en cause mais sa déformation entamée dès les années 1980. Le système capitaliste aurait dérapé par l’excès de générosité, c. à. d par redistribution d’une partie des profits en faveur des irigeants. Or, dans la logique capitaliste, l’entrepreneur prend des risques sur son propre capitale et les profits sont à pour rémunérer cette prise de risque. L’aléa moral a donc en partie rongé le capitalisme, il n’est pas surprenant alors de voir l’acharnement des dirigeants politiques aujourd’hui à règlementé la rémunération des patrons et des traders.

Ils ont clairement identifiés le dérivé pernicieux de ce système de rémunération et là le vrai coupable est celui qui a laissé faire alors qu’il avait l’autorité de contrôle rémunération et là le e contrôle et l’obligation morale. Aveuglement et court-termisme: une des caractéristiques essentielles de l’aléa moral repose aussi sur le conflit d’intérêts qui existe entre le gain à court terme que l’on peut tirer d’une situation et son intérêt effectif à long terme.

Le « court-termisme » a conduit à un aveuglement dans bon nombre de choix stratégiques et sociétaux en renonçant à prendre le temps d’analyser les conséquences à long terme de tout un ensemble de décisions. Cet aveuglement s’est propagé, les décisions de gestion de nombreuses entreprlses et un certain nombre de choix olitiques ont été guidés par ce biais beaucoup de décisions difficiles ont repoussées à plus tard.

Nous pourrions prendre de nombreux exemples pour démontrer que l’aléa moral et le « court-termisme » se sont bel et bien emparés de notre société et que le résultat en est affligeant il n’a fait qu’accroitre l’écart entre les élites et le reste de la population diminuant dans les faits la réalité d’une véritable mixité sociale. Le secteur financier est aujourd’hu la partie émergée de l’aléa moral. Il faudra aussi réagir rapidement et prendre des mesures efficaces pour que notre société ne sombre as dans ce dérivé du « court- termisme ».

Le partage salaire/profit: Les années 1970 avaient été marquées par de nombreuses luttes sociales à travers le monde qui avait permis des augmentations assez sensibles des salaires. A partir des années Reagan, les capitalistes ont reconquis ce qu’il avait lâchés a À partir des années Reagan, les capitalistes ont reconquis ce qu’il avait lâchés aux salaries grâce à la reprise progressive des droits de libéralisme. La hausse des profits s’affirmait d’année en année pour atteindre des seuils de croissance très élevées et le alaries semble être devenu l’éternel oublié de cette embellie.

La période 1980-2008 est marquée par un retour puissant des inégalités, baisse quasi régulière de la part salaire et hausse tout aussi régulière de la part des profits dans le partage de la valeur ajoutée entre salaires et profits. Alors en 1970 les salariés étaient battus pour conquérir leur pouvoir d’achat, ils avaient un accès unique à la grande Consommation et les capitalistes voient leurs profits exploser en relatif. Cette situation est à la source de la création de déséquilibres colossaux. la crise des subpaimes a is en évidence l’insoutenable construction de ces équilibres.

CHAPITRE 2 : le marché immobilier américain et la crise des subprimes : simple déclenche Le marché des mortgages : le marché immobilier américain est caractérisé par la possibilité de renégocier son emprunt auprès des banques de façon extrêmement souple. Mortgage est la facilité que présente le banquier en octroyant un prêt supplémentaire basé sur l’appréciation de l’immobilier, ce sont des prêts aux ménages qui ont causés une augmentation de consommation en moyenne de 5% du PIB américan entre 2005 et 2007.

L’immobilier américain connaissant une formidable bulle spéculative, le collatéral des prêts consentis par les banques avait une base fragile et malsaine. PAGF s OF Aujourd’hui, après l’effondrement de la bulle immobilière, on fustigera aisément l’inconscience des prêteurs et des emprunteurs qui se trouvent égorgés pour certains d’entre eux, la valeur de leur dette dépasse celle de leur biens ils se retrouvent avec une richesse négative.

Les subprimes : c’est les prêts immobiliers consentis à la population américaine la plus risquée, celle qui dispose d’emplois et de revenus précaires, qui souffre d’une tructure familiale instable et dont le niveau d’éducation est des plus restreints. Les prêts à cette population risquée doivent donc être consentis avec la plus grande méfiance et de façon extrêmement mesurée. L’explosion de la bulle immobilière a entrainé l’explosion du secteur subprime avec un véritable désastre humain et financier par pertes colossales des établissements financiers et de nombre d’investisseurs par le monde.

La crise des subprimes n’est pas que le déclencheur d’une crise beaucoup plus large, elle témoigne à la fois de l’effrayante cupidité et de l’incroyable irresponsabilité des rêteurs de subprimes, mais aussi leur imagination sans limites pour distribuer les risques à travers le monde. Elle symbolise ainsi les effets maléfiques d’une finance déconnectée de la réalité et totalement concentrée sur la recherche du profit à court terme, sans maitrise des conséquences à plus long terme.

CHAPITRE 3 : politique monétaire laxiste et endettement massif une politique monétaire laxiste La bulle des instrumen OF laxiste et endettement massif Une politique monétaire laxiste La bulle des Instruments financiers et de rmmobllier est très effectivement au cœur du problème, mais ces ulles trouvent certainement leurs racines dans la politique extrêmement laxiste de la Fédéral Reserve. Il est naturel que les agents économiques essaient de tirer profit de disparités excessives, il revient normalement à la banque centrale d’éviter de telles situations.

C’est pour cela que ron peut considérer que le premier responsable du dysfonctionnement a été la Reserve Fédéral, qui a involontairement initié et stimulé cette bulle du crédit dans de nombreux secteurs et tout particulièrement dans l’immobilier et la finance. Une économie est un système financier abusant de l’effet de levier : Le résultat de la politique monétaire laxiste a donc été l’explosion du recours à l’effet de levier et tout particulièrement dans les banques.

Les taux de rendement de la plus part des actifs ont baissés. Le cout du crédit était un bon marché. Dans ces conditions favorables, les banques n’ont pas hésité ? prendre beaucoup plus de risque de façon ? maintenir et éventuellement augmenter leurs profits. Plus les rendements baissent, plus les banques et les intervenants financiers montaient leur levier pour conserver des profits intacts. Cela explique comment la crise des Subprimes a pu déclencher ne telle panique.

Le bilan de nombreuses banques était impact par les pertes sur les Subprimes et elles ont commencé à prendre beaucoup d’argent. Au même temps : les spreads qui étaient très bas se sont brutalement éca 7 OF prendre beaucoup d’argent brutalement écartés dès l’été 2007 entrainant de nouvelles pertes pour les banques dinvestissement. La plus plupart des banques ont compris que les pertes qu’elles constataient en interne les mettaient dans une position inconfortable et que la situation était potentiellement pire que chez leurs concurrents.

Dans ces conditions, chacune des banques a commencé à se éfier des autres. Elles ont aussi refusé de se prêter entre elles paralysant ainsi le marché monétaire. Cette sltuation a duré plus d’un an et a atteint son sommet après la faillite de LEHMAN Brother. A ce moment-là, les craintes devenaient réalité et personne ne prêtait à personne, banques ménages, banques déclenchant un véritable « crédit Crunch ». Les effets sur l’économie réelle sont devenus tangibles avec une vitesse de transmission etonnante.

La faillite de Lehman : Est la faillite de la deuxième banque d’investissement américaine derrière GOLDMAN SACHS. Il est emblable que la mise en faillite a été une erreur de la part des autorités américaines. La réserve fédérale a été hantée par l’aléa moral : Sauvetage systématique des banques à problèmes, afin d’empêcher le risque systémique qui est l’effet domino sur d’autres banques conduisant à récroulement du système global.

Pour le cas de LEHMAN, la levée de l’aléa moral condamnait le principal conçurent de COLMAN. Le cours des principales banques s’est écroulé entrainant une déroute généralisée. Les principaux états viennent au secours des banques les plus fragil 8 OF u secours des banques les plus fragiles et garantissent des lignes de crédit aux autres pour améliorer le marché monétaire. Mais entre-temps, s’était emparé de l’économie réelle. La récession se confirmait de façon dramatique au quatrième trimestre 2008.

On peut situer le déclenchement de la crise actuelle au démarrage du CRIDIT CRUNCH suivant la faillite de LEHMAN. Un système insoutenable : un schéma de PONZI généralisé . Le développement du système bancaire et financier dépendait de la bonne poursuite des tendances constatées sur les marchés financiers et l’appétit croissant des investisseurs our les produits financiers. La crise des subprimes a été suffisante pour déclencher un ensemble de mécanismes conduisant finalement ? l’effondrement de tout le système . ‘est le schéma de ponzi. CHAPITRE 4 :L’incontournable problème de la dette En 2008 il ne s’agit pas d’un endettement important mais du plus faramineux endettement jamais connu en histoire et pire que celui des années 1930, la résolution de la crise sera donc complexe, longue et synonyme de difficultés économiques durables. Lorsque l’on analyse finement l’évolution de la dette par type ‘agent économique on constate que les agents les plus endettés sont les ménages et les institutions financières.

Le système financier est en risque systémique et menace d’exploser, il serait donc potentiellement en faillite et les éléments sains n’auraient en difficulté venaient à faire défaut. Les états sont dans l’ensemble assez peu endettés . Cest une nonne chose c PAGF q OF venaient à faire défaut. Les états sont dans l’ensemble assez peu endettés . C’est une nonne chose car les états ont une réelle marge de manœuvre pour sauver le système et se substituer aux acteurs privés. Il y a deux possibilités de résoudre le problème de la dette 1 -il s’agit simplement de rembourser ses dettes.

Certes, le remboursement de la dette suppose un cout important, c’est une opération assez longue mais elle est plus efficace. 2-consiste à augmenter le PIB national, deux composants : volume et prix. Le composant prix est très Important s’il y a un peu d’inflation et que l’économie réelle stagne, le PIB nominal augmente et cela permet de résoudre la difficulté. PARTIE 02 : ANALYSE DES CONSECONCES DE LA CRISE SUR LA SOCIETE CHAPITRE 5 : conséquences immédiates des crises : une crlse ?conomique et sociale.

Conséquences économiques : Les plans de sauvetages bancaires, l’injection massive de liquidité ainsi que les différents plans de relance budgétaire devrait avoir une réelle efficacité, de sorte que la crise est assez moins douloureuse que celle de l’année 1930. Toutefois, le démarrage de la crise est à certalns égards plus violents que celui des années 1 930 : La production industrielles et le commerce mondial baissent plus vite ainsi que les bourses mondiales et les effets de structures de la crise seront très mar ués et certainement durables.