répondant à cela, Knight avance ici le protit comme étant donc une rémunération de l’entrepreneur pour sa prise de décision en situation d’incertitude. L’incertitude justifie alors le profit. Ainsi, dans leur mise en place Différence entre incertitude et risque Premium gy MioraTanteIyI ceHTR6pq CE, 2014 4 pages 5.
Entrepreneuriat, risque et incertitude Entrepreneuriat, risque et incertitude : l’apport de Péconomiste Frank Knight Frank Knight introduit une distinction entre les notions de « risque » et d’ « incertitude » en relatant trols cas de figure Le premier type de risque concerne un futur dont la distribution ‘états possibles est connue.
Le deuxième type de risque s’agit quant à lui d’un futur dont la distribution d’états possible n’est pas connue mais pourra être estimable sur la base d’un certain nombre de tirages Enfin, le troisième type de risque est un futur dont la distribution Swp to page d’états est inconnue, d’incertitude « knigthi ne » par ces concepts, ila é ti. : étant les situations in d’historiques sur leq aître, ici nous parlons ‘incertitude comme n ne dispose pas r une probabilité.
En place, les startups font face à une situation d’incertitude ? knightienne L’entrepreneur devra alors agir même si le marché n’existe pas encore, ni même si les produits pourraient y être vendus, car les marchés n’attendent pas d’être découverts mais créés de toute pièce par les entrepreneurs. Dans cet environnement incertain, nous pouvons observer trois caractéristiques distinctes : La prédiction est impossible, ceci a été démontré par Frank Knight, comme nous l’avons vu précédemment ; Les buts ne sont pas encore prédéterminés.
Selon James March, savoir comment et pourquoi on a fixé un but est tout aussi important que l’atteindre. Par la suite, ils seront définis progressivement avec les parties qul décident de s’engager dans le projet ; L’environnement ne sélectionne pas les situations indépendamment des acteurs. D’après Karl Weick, l’acteur ici l’entrepreneur devra déterminer l’environnement sur lequel il se trouve tout comme ce dernier le détermine (phénomènes naturels).
Incertitude et prévision Sur un raisonnement historique, chaque année supplémentaire n’est pas fondamentalement différente des années précédentes. En effet, la probabilité que les ventes soient du même ordre est très élev PAG » OF d années précédentes. En effet, la probabilité que les ventes soient du même ordre est très élevée, et à l’inverse, une variation extrême, est faible. Cette hypothèse est appelée hypothèse gaussienne est se base sur [‘observation du passé. ar contre, sur un raisonnement théorique, vu dans le livre « Cygne noir » de Taleb, les ventes ne sont pas caractérisées par une distribution gaussienne. La théorie de la distribution est inconnue, et ne peut pas l’être, donc la variation de la valeur peut changer radicalement d’une annee à une autres, prenons xemple sur reffondrement du système monétaire Européen en 1992. Taleb désigne par le mot « Extrémistan » une valeur qui peut changer radicalement [‘échelle même de la distribution, et ? l’inverse, « Médiocristan » l’univers des faibles variations d’écart type.
Gaston Berger, ou les racines françaises de l’hostilité à la prévision Tiré de l’ouvrage « De la prospective- textes fondamentaux de la prospective française 1955-1966 » par Gaston Berger, Pierre Massé et Jacques de Bourbon-Busset démarre la phrase « L’avenir n’est pas ce qui vient après le présent, mais celui qui est ifférent de lui De là Pierre Massé émet une définition de l’incertitude c celui qui est différent de lui De là Pierre Massé émet une définition de l’incertitude comme étant l’impossibilité de calculer des probabilités.
Selon Berger, l’une des conséquences de cette incertitude et la difflclle distinction entre la fin et les moyens, mais souvent, ce sont les moyens qui dictent les fins possibles. La science du XIX siècle fondée sur la prévision, Berger voit que le positivisme ne s’intéresse avant tout qu’à l’efficacité, prenant l’univers comme donné et inchangeable. Or le positivisme est u comme étant contradictoire car il suppose que l’on peut agir librement et rend alors les prédictions obsolètes, alors que la prévision suppose le déterminisme universel et entend que l’on devra s’y adapter.
Mais si l’avenir ne peut être prédit, il doit être construit, et il doit alors s’ensuivre des actions. C’est dont aux entrepreneurs et innovateurs qu’il faut fournir des outils de décisions. Gaston Berger n’a donc pas su répondre aux attentes de la prédiction de l’avenir que par des actions de construction, car il lui manque la brique entrepreneuriale. Cest ce qu’offre l’effectuation.