MODULE 2 : MACROECONOMIE La macroéconomie s’intéresse au fonctionnement global de l’économie, et raisonne en termes de circuit. Economie = science qui étudie de la production, la consommation et la répartition des richesses (biens et services). Appréhender la macroéconomie : on s’intéresse au fonctionnement global. Ces trois domaines sont interdépendants. L’activité économique est une activité relationnelle ou les agents entretiennent des relations nombreuses et variées circuit.
Historiquement cette volonté de comptabiliser va être actée par les guerres et la crise de 29. Idée de ne pas vouloir faire les mêmes erreurs. Tabl faciliter la décision. Idée de vouloir synth ser au quotidien entre le ne peuvent pas être portants afin de or 11 des hanges se réalisant outes ces relations ent. Chapitre no 1 : La comptabilité nationale Au quotidien, tous les a. e. entretiennent de relations multiplies quantifiables car elles sont en grande partie exprimée monétairement parlant. Toutes ces relations contribuent au fonctionnent de l’économie.
Objectif depuis la 2nde GM quantifier ces relations. Approche synthétique et chiffrée. Ensuite, raisonnement en termes de circuit, de réciprocité. Leontief : tableau des inputs et des outputs qui met en évidence les interdépendances (servira de modèle à tous les autres Swlpe to vlew nexr page tableaux de la comptabilité nationale), Kuznets, Perroux (connu pour sa définition de la croissance économique). La France a adopté le système de CN en 1976 au sens de l’ONU. SCN (système de CN) puis SECN (élargi) et SEC (européen). – L’activité économique enregistrée dans les comptes de la nation A) Le circuit économique L’activité économique est réalisée par des agents économiques qui sont appelés « unités institutionnelles Elles ont une unicité e décision et une autonomie de décision. 1. La logique de circuit Interdépendance Travail contre salaire. Un flux monétaire est un flux qui exprimé monétairement. Un flux réel illustre l’échange concret qui se réalise entre deux agents. La CN s’intéresse aux flux monétaires. Raisonnement : emploi/ressource, recette/dépense.
MENACES ENTREPRISES Emplois Ressources Consommation Salaire Achat de biens et services Vente de biens et services Toute production va générer des revenus qui vont être redistribués par les ménages, qui vont être à leur tour dépensés en faveur d’une production nouvelle. Flux monétaires divers qui vont se faire entre les différents agents. Cette logique de circuit qu’on vient de voir met en évidence l’idée de réciprocité entre agents. Objectif de la comptabilité nationale avoir une approche synthétique mais quantifi s.
On va s’intéresser plus PAG » 1 quantifiée des relations. On va s’intéresser plus particulièrement aux secteurs institutionnels. 2. Les secteurs institutionnels : Ménages TRAVAIL Entreprises Marché du travail Les secteurs institutionnels regroupent les unités institutionnelles en fonction de leur fonction principale et de leur ressource principale. Construire des secteurs cohérents. Dès qu’un ménage reçoit sont salaire, ce qu’il ne dépense pas est l’épargne. La banque récupère l’épargne de ménages. Intérêts.
Les entreprises pour investir vont avoir recours au crédit, en échange de quoi elles verseront des intérêts. Société non financières ont besoin de financement. Secteurs : Entreprises : sociétés non financières Banques : sociétés financières Administrations publiques (APU) – centrales (ministères, préfectures, – locales (départementales, régionales, municipales) sécurité sociale Administrations privées (ISBLSM) Le reste du monde : toutes les unités qui ne sont pas nationales. Comptabilité nationale simplifie la réalité en groupant 6 secteurs.
On va enregistrer dans les différents secteurs les activités opérées par les résidents qui sont les unités qui résident dans le territoire dep PAGF30F11 activités opérées par les résidents qui sont les unités qui résident dans le territoire depuis au moins 1 ans. Tous les achats qu’effectuent les ménages au cours de l’année sont considérés comme étant fait au cours de l’année en question. Seul le logement est reconnu comme un investissement de longue durée. Apporter quelques précisions à l’égard des entreprises et des ménages. Le comptable national va estimer que les secteurs réalisent 3 groupes d’opérations. . Les opérations des SI : Sur les produits : Sphère réelle de Pécanomie. Production, consommation, investissement, exportation et importation. Opérations sur les produits vont concerner tout ce qui va toucher à la création de richesse (biens et semces). – De répartition : Financières : Ce que font les agents à capacité ou à besoin de financement. Flux qui concerne les actifs, les prêts,. B) La mesure de l’activité enregistrée dans les comptes de la 1. L’approche par la production : le PIB Le PIB est un agrégat qui mesure de l’activité économique au cours d’une période donnée.
Agrégats = unités qui sont exprimées monétairement et qui sont à valeur globale. Cette vision globale est importante car elle va permettre de mesure la richesse créée au cours d’une année, et de savoir quelles sont les sources à l’origine de cette richesse. Le PIB mesure la richesse crée en 1 chiffre, et son évolution mesure la croissance économique. Production = activité destinée à créer des richesses. Elle doit être organisée donc activité socialement organisée de création e biens et de services à partlr de facteurs de production qui s’échangent sur le marché.
Activités socialement organisées : activités qui supposent des droits et des devoirs. Activité légale. Quand on mesure la product PAGFd0F11 activités qui supposent des droits et des devoirs. Activité légale. Quand on mesure la production, on va d’abord mesurer la production officielle (qui donne droit à des prélèvements comme les cotisations sociales). Les activités illégales sont peut être organisées, mais pas socialement. Productions marchandes et non marchandes : Production archande = production destinée à être vendue sur le marché, au prix du marché.
Production non marchande = production qui n’est pas destinée à être vendue sur le marché. On dit souvent qu’elle est fournie économiquement non significatif (qui ne couvre pas de son coût de production). Toute production non marchande fournie par les APU est financée grâce aux prélèvements obligatoires (ex : santé, éducation,… ). On estlme dans nos pays que tout le monde doit avoir accès à ces services. On distingue trois productions non marchandes : * Production à usage propre : autoproduction agricole, logement pour un ropriétaire, entreprise qui se fournit un bien à elle-même sans qu’elle ait recours au marché. Services non marchands collectifs. *Services non marchands individualisables. La production non marchande participe donc à la création de richesses. Producteur (point de vue comptable national) = celui qui prend possession de la chose au moment où elle est produite. PIB=VA WA – droits de douanes + impôts sur les produits – subventions : Ensemble des richesses crées en valeur monétaire par les unités résidentes (nationales ou étrangères) au cours d’une année. VA = valeur ajoutée = chiffre d’affaire – onsommations intermédiaires.
Création de richesse nette d’un producteur. En 2012 : 2 613 milliards s 1 En 2012 : 2 613 milliards de $ de PIB en France. totalité de la richesse créée dans une économie. (PIB en 2012 : 2032 milliards d’euros, et C +1 1500,6 + 401,8 = 1901,14). Moteur externe balance commerciale On fait apparaitre l’état à travers un autre agrégat : les dépenses publiques PIB = c I VAR STOCK+X – M + G – T (prélèvements obligatoires). Analyse conjoncturelle de 2012 : (qu’est ce qui a favorisé la croissance ? ) Taux de chômage chômeurs/actifs * 100 Consommation = O. Pourquoi ?
Première fois depuis 1983 que le pouvoir d’achat des ménages diminue (Deleg pouvoir d’achat lexpress. com). On va être attentif aux prix des biens qu’on consomme au quotidien. Qu’est ce qui explique l’augmentation du pouvoir d’achat en 2012 ? Impôts, hausse des prélèvements obligatoires. Puis confiance en l’avenir est nulle. CAE : synthèse rapport ministre – insee premiere eco flash CDI C) Le tableau entrées sorties synthétise les opérations sur les produits Le TES : tableau qui appréhende l’économie de manière globale, de manière synthétique. Résume toutes les opérations sur les produits.
Idée d’avoir à disposltion un tableau de bord qul donne des indications aux gouvernants. Outil macroéconomique. Appréhender l’activité économique Document comptable. Objectif : quantifier. TES : 6 1 Document permet d’intensifier la conjecture 1 . Le TES chiffre la circulation des produits TES = tableau qui raisonne selon la loglque emploi ressources de la comptabilité nationale. Similaire à l’équation emploi ressources. Ce tableau va ajouter les emplois intermédiaires : consommations intermédiaires. Le TES va représenter le système productif et permettre une analyse de l’économie en termes de produit.
On ne raisonne pas en termes de secteurs d’activités, mais ‘t » Unités de productions homogènes qu de branches d’activi e fabriquent le même rype de produit). une même entreprise peut être définie dans plusieurs branches d’activités. A travers le TES, on peut appréhender le système de production, mais aussi les relations qu’il y a entre les différentes branches dactivité. Les produits apparaissent en ligne, et les branches d’activité en colonne. Si on raisonne que sur les ressources (partie gauche du tableau) d’où vient la richesse. On voit qu’elle vient de la production et des importations.
Mais, sauvent on rajoute deux éléments : les marges commerciales et les marges de transport. Marge commerciale : Le commerçant se contente de mettre un produit à disposition, il ne la transforme pas. Il se fournit chez un fournisseur et le vend. Un acheteur ne s’adresse jamais au producteur. On l’évalue à travers la dimension de marge commerciale. MC = Chiffre d’affaire – coût d’acquisition (ce qui lui a couté pour se fournir) Marge de transport : au moment de l’achat, il faut que le produit soit livré à l’acheteur. Question du transport qui se pose.
Le comptable national va fair PAGF70F11 aire des corrections territoriales : les seuls chiffres qu’on ait ? l’échange internationaux frais douaniers. Le tableau entrée/sortie met en évidence l’égalité qu’il y a entre ressources et emplois. 2. e TES permet de faire des prévisions Grâce à la matrice des coefficients techniques dire de Leontief=> il va mettre en évidence les interactions entre les différentes branches d’activité en construisant la matrice des coefficients techniques. Appréhender à travers la matrice, une modification de la demande adressée à une branche technique faire des prévisions.
Effet d’entrainement. Anticiper les choses. Outil très intéressant, prévisionnel. Fixité des coefficients techniques est acceptable à court terme et vertueuse car ces coefficients permettent d’appréhender les choses. Noircir la matrice = faire tous les ratios. Industrie industrialisante Goulots d’étranglements ll- La logique de répartition du revenu Raisonnement emploi ressources à travers les secteurs institutionnels. A) Les comptes des SI 1. Les comptes PERRIJC Ces comptes relatent la répartition des revenus d’un agent selon la logique emplois ressources PERRUC = production . nregistrer d’où provient toutes les ichesses, la valeur ajoutée brute en est le résultat Exploitation : utilisation de la richesse, valeur ajoutée qui se répartit entre salaires + cotisations, impôts, EBE. Excédent brut d’exploitation = profit. Affectation des revenus primaires : Rémunération de ceux qui ont contribué à la mise en place du capital technique ainsi que ceux qui ont utilisés ce capital (travailleurs) et ceux qui ont prêté l’argent pour mobiliser ce capital, ainsi que les propriétaires distribution secondaire du revenu : impôts sur le revenu, prestations et B1 les propriétaires prestations et transferts divers .
Revenue Dispo Brut = Revenu prlmaire brut – PO – R de transferts Utilisation du revenu : épargne brute, consommation C S (épargne : partie non consommée du revenu) Capital : donne la possibilité qu’à une économie pour se financer (besoin ou capacité de financement) Compte financier : dettes passif, ressources actif 2. Les ratios significatifs A partir des comptes des secteurs institutionnels on peut calculer des ratios significatifs.
Taux d’épargne : EB/RDB ; S/RDB = propension moyenne ? épargner ; épargne de précaution (keynes : fuite) : baisse de l’épargne aujourd’hui = garder le mm niveau de conso, payer es impôts, retirer son épargne car trop taxée ; a court terme l’épargne est néfaste car baisse de la demande, et long terme bénéfique car elle engendre de l’investissement.
Taux d’épargne financière : capacité de financement/RDB SNIF Taux de marge = taux de profit : EBE/VA 28,6% de 2011 contre aux salaires et 3,6% aux impôts 0 indicateur de performance, question du partage de la richesse, de la VAD ce que l’on donne à l’un on le prend à l’autre Taux d’épargne brute : investir ou placer. Eb/VA Taux d’investissement : FBCFNA Taux d’autofinancement : EB/FBCF ; donne l’état de santé de l’entreprise.
Effet de levier : moins cher d’emprunter que sans le faire Indique le dynamisme d’une économie APU TGPO : PO/PIB en FR EN 2011 33,996 dans l’OCDE en 2010 Les dépenses publiques s’accroissent de plus en plus par rapport aux recettes, état provide cours d’une année. Tableau complet, exhaustif. Tableau de bord par excellence d’une économie. Secteurs apparaissent en colonne et comptes apparaissent en ligne. Tous les comptes des secteurs institutionnels. Permet de déterminer globalement le chemin d’une économie, la capacité de financement ou le besoin de financement d’une nation (51 milliards pour la France).
Dimension particulière du TEE par rapport au TES : l’exhaustivité. Document TEE : Les dépenses des uns sont les ressources des autres. (Aller voir un TEE de l’INSEE). Tableaux essentiels aux dirigeants, synthétiques mais complets. B) Le partage de la valeur aputée (VA) Arbitrage stratégique pour les E. Que vont-elles faire de leur épargne ? En général, idée du partage de la VA : 2/3 de la richesse créée va aux salaires, 1/3 va à l’EBE. Tableau du partage de la VA : Il est normal que la rémunération de salaires augmente dans le partage de la VA lorsqu’ il y a des crises. Des disparités
Un quart des SNF (=entreprises) consacrent plus de 89% de leur VA aux salaires quart des SNB consacrent moins de 44% de leur VA aux salaires Derrière le partage de la VA classique, il y a d’énormes disparités. Variabilité du ratio salaire/VA 67% en moyenne pour les PME, + de 73% pour la moitié des E et 1 PME sur 10 n’a pas de salarié et a un ratio supérieur à 100% (sortir énormément d’argent pour assurer les salaires et les charges). Tout cela nous montre la diversité des E en France. pays où il y a beaucoup de TPE (entre O et 9 salariés). Flash éco, Natixis. Patric Artus. Quand on regarde par secteur ai 11