La Parure

L’AUTEUR Possibles rapports de l’écrivain avec le contexte… -politique -social -littéraire : voir s’il fait partie d’un groupe, d’un mouvement ou d’un école littéraire, s’il a participé à des manifestes. 1. 2. 2. Intentionnalité de l’auteur face à son projet d’écriture. -Existe-t-il un dessin, un point de départ, un a priori esthétique, littéraire et/ou idéologique, avoués par l’auteur, concernant l’écriture de l’œuvre ? À cette époque de la Révolution Industrielle, c’est la bourgeoisie laquelle est au contr prolétariat.

Il existe e ore PACE 1 t l’argent est très va isé. Les différentes révol donnent lieu un syst sociale : le lités entre les sexes précédentes la Commune se soulève. Donc, il y a un sentiment de pessimisme collectif qui s’installe dans la société française. Les écrivains éprouvent alors un souci du réalisme, un besoin de représenter la réalité la plus crue et de défendre les plus faibles, les exploités du système. Le courant littéraire de cette époque est le réalisme et cherche une représentation du réel, une vralsemblance.

Et, les écrivains font preuve d’un regard essimiste dans leur récit. Maupassant est l’un des grands représentants de ce genre réaliste (et fantastique). Il écrit plusieurs nouvelles décrivant des fresques sur tous les milieux sociaux, a participé à la guerre franco-prussienne et n’est pas croyante. Il a publié sa première œuvre dans une revue dans laquelle Zo Zola était le directeur. Cet écrivain est précis et concis, cherchant toujours la vraisemblance mais influencé aussi par le pessimisme de Schopenhauer.

L’œuvre que nous étudions, La parure, est une nouvelle réaliste, t parue pour la première fois le 1 7 février 1884 dans le quotidien Le Gaulois, puis intégrée au recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Le XIX è siècle sera donc l’époque du grand succès pour le genre de la nouvelle. II se caractérise par différents éléments : texte court, histoire qui se focalise sur une action et/ou sur peu de personnes, évolution rapide et la présence parfois d’une chute. L’importance aussi des journaux, qui se développent à cette époque. Ils vont permettre une large diffusion de ces textes au format court.

Il est remarquable la définition que Maupassant fait du réalisme dans la préface du roman « Pierre et Jean b, il le définit en ces termes : « Le réaliste, s’il est un artiste, cherchera non pas ? nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même. » Montrez que Maupassant, dans la nouvelle « La parure », présente effectivement une vision à la fois vraisemblable et complète de la réalité qu’il a ciblée, tout en faisant réfléchir le lecteur sur cette réalité.

Le narrateur -Morphologie : est-t-il doté d’une certaine « consistance » ? A-t-il une entité ? * Simple instance ou voix narrative. * Émergence du pronom « je » ou d’autres pronoms : on, vous… Il présente une entité ou une épaisseur : physique, psychologique, idéologique, morale PAG » OF d vous… * Il présente une entité ou une épaisseur : physique, psychologique, idéologique, morale (à partir de l’analyse de ses digressions, commentaires, jugements… ). *Cest un personnage de l’action. -Focalisation *Focalisation zéro : le narrateur omniscient.

Ce narrateur n’est amais un personnage. Il a la possibilité de tout savoir, de tout raconter. * Focalisation externe : le narrateur s’identifie à un observateur extérieur qui raconte les événements perçus de rextérieur, comme s’il les décrivait. *Focalisation interne : le narrateur personnage. Ce narrateur s’identifie à un seul personnage et délivre les seules informations que celui-ci puisse connaître. Cette focalisation peut-être fixe lorsque le personnage-narrateur est toujours le même ou variable lorsque le personnage-narrateur change. Narrateur = héros de l’action (par ex. écits de mémoires, autobiographies… ) -Narrateur = autre personnage (par ex. récits de témoignages) Le statut du narrateur dans cette nouvelle est extérieur ? l’histoire qui Maupassant décrit. Le narrateur se trouve à un niveau hiérarchique « supérieur » par rapport à l’histoire du bijou perdu, donc, il est un narrateur extradiégétique. Il n’y a pas aucune référence au pronom de la première personne ; il est un narrateur hétérodiegetique. ? propos de la visibilité du narrateur on peut dire qu’il s’agit d’un narrateur perceptible à travers de a description du milieu, l’identification des personnages, divers commentaires, etc. Exemples de commentaires explicites sur l’histoire serait : « Cétait une de ces jolies et charmantes filles [ commentaires explicites sur l’histoire serait : « Cétait une de ces jolies et charmantes filles » ou « car les femmes n’ont point de caste no race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille » ce dernier comme une généralisation.

Déterminer le point de vue (1), c’est déterminer l’angle selon lequel le narrateur raconte ; la focalisation. Dans La parure, e narrateur change le point de vue, mais le dominant est le narrateur omniscient, c’est-à-dire lequel fournit au lecteur de nombreuses informations sur les personnages, leurs pensées, leur situation, leur passé, etc. Ainsi, par exemple la phrase « il réservait juste cette somme… » fait référence au passé. parfois il peut nous dire ce que pensent les personnages, il délivre les seules informations que Mathilde connais, c’est ce qu’on appelle un point de vue interne : « Elle réfléchit… ongeant… » Et, aussi le point de vue externe que consiste à décrire physiquement un ersonnage : « Il avait un peu pâli ». Seul le narrateur nous permet d’aller au-delà de ces apparences. Il nous donne à voir la façon de penser de Mme Loisel, avec une focalisation interne. Mais, il est aussi un narrateur juge, c’est- à-dire, il n’est pas du tout dans une posture emphatlque par rapport à son personnage quand il décrit en gros la « distinction » non pas comme donnée sociale, mais comme capacité innée, naturelle, qui serait propre aux femmes et rien qu’è elle (point de vue sexiste dans le deuxième paragraphe)