la révolte du sonderkommando

Titre : La Révolte de Sonderkommando Genre : peinture Auteur : David Olère Lieu d’exposition : musée de la résistance national à Champigny Ce tableau appartient au courant expressionniste allemand comme les auteurs Edward Munch et Otto Dix. Il est d’ailleurs le seul de David Olère à être exposé en France tous les autres sont exposés aux Etats unis d’Amérique. L’AUTEUR : David Oler est né en Janvier 1902 dans une famille juive ? Varsovie en Pologne. A Pâge de 13ans, grâce à son talent pour la peinture il entre à l’é crise et au mouveme 1930 il épouse une fr un fils prénommé Al t fait changer son n orf arsovie.

Suite à la à Paris en 1923. En te Venture, dont il a nt citoyens français il perd son emploi et est astreint au statut de juifs. Le 20 vrier Swipe to Wew next page 1943 il est arrêté par la police française en tant que clandestin du communiste et juif. II est donc envoyé à Auschwitz avec 1000 juifs par le convoi numéro 49. Matricule 106144 il est choisi pour être Sonderkommando « commando spécial » son rôle est de sortir les corps des chambres de gaz.

Le 18 Janvier 1945 il réussit à se mêler aux prisonniers de camps lors de Pévacuation e Birkenau et Auschwitz et part pour une marche de la mort jusqu’au camp autrichien d’Ebensee. Il ne sera libéré que le 6 mai par l’armée Américaine. I Le Sujet : Le camp d’Auschwitz-Birkenau est le seul dans le système concentrationnaire nazi qui soit à la fois un camp de concentration dont les déportés travaillent comme esclaves dans l’usine chimique proche, et un centre de mise à mort pour les populations que le IIIème Reich souhaite exterminer.

Le 7 Octobre 1944, les déportés membres de Sonderkommando (équipe « spécial ») affecté au Krematorium IV se soulèvent ar pour eux il est hors de question de laisser tuer sans combattre même si ils sont conscients de l’issue fatale de l’entreprise. Ils passent à l’action, ils tuent plusieurs gardes de la SS et font sauter le krématorum IV. Le sonderkommando Il réussie à s’enfuir dans les bois. Les allemands tuent alors tous les membres du sonderkommando Il, IV et V.

Membre du sonderkommando Ill, David Olère n’a pas participer à cette insurrection, mais en a été directement témoin ainsi répression qui s’en suivit. C’est donc son témoignage sur cet évènem en a été directement témoin ainsi répression qui s’en suivit. C’est donc son témoignage sur cet évènement qu’il rapporte au travers ce tableau réaliser dans les années 1950. Avec son tableau il veut déclencher une réaction émotlonnelle aux spectateurs, ce qui est réussi à l’aide des couleurs violentes et du dessin cru et agressif.

Il Composition : La composition du tableau est classique, de forme pyramidale. Il ya un triangle central (que les personnages formes), on retrouve aussi la forme du triangle dans les entres jambes et aussi sur la veste du personnage central (ce triangle signifie « juifs opposant politique français Les personnages centraux reposent sur une ase composée d’un homme mort, d’un drapeau et d’un casque. A chaque coin du tableau on a des décors différents. Dans l’angle en haut à gauche il a peint l’Usine chimique lg- Farben où les déportés travaillaient toute la journée.

Dans l’angle en haut à droite il ya une rupture chromatique. Il a peint Jérusalem qui pour les juifs est un rêve comme le paradis. Dans l’angle en bas à gauche il a peint rentrée du camp de concentration. Dans l’angle en bas à droite il a peint les cheminé des fours crématoires du centre de mise à mort de Birkenau. Il Etude des couleurs : Il fa une opposition brutale des couleurs froides et des couleurs chaudes , on trouve aussl des couleurs crues, vives, agressives et des bleus froids dominants comme les uniformes des déportés.

Le bleu donne au person agressives et des bleus froids dominants comme les uniformes des déportés. Le bleu donne au personnage une couleur cadavérique, et donne au tableau une ambiance morbide. Ill Description et analyse : La scène centrale a lieu là où les déportés viennent de se révolter et s’emparent des armes mais ils sont encore dans le centre de mise à mort. David Olère ne respecte donc pas le ieu car la scène se passe dans le centre de mise à mort donc dans l’angle en bas à droite. Les déportés ont gagné la révolte mais la répression n’a pas encore commencée.

Les personnages sont pétrifiés et hébétés car ils savent qu’ils vont mourir. Les personnages représentent le cadre famlliale, le symbole de toute l’humanité. L’homme est David Olère, on le remarque par les traits du visage et par le numéro de matricule qu’il fa sur la veste. Il porte le triangle rouge avec un « » à l’intérieure qui signifie « juif opposant politique français Il est armé d’un fusil et ‘une fourche, qui servait à déplacer les corps des déportés mort. Pourtant il n’a pas participé à cette révolte il n’a été qu’un témoin.

La femme est représenté entièrement nu mais et asexué, c’est pour montrer que les nazis leurs enlevaient leurs pudeur et qu’elles avaient une perte total de féminité ou presque, elle porte juste un foulard sur sa tête qui était l’accessoire des juif PAGF féminité ou presque, elle porte juste un foulard sur sa tête qui était l’accessoire des juifs polonaises. La petite fille est maigre, décharné, famélique. Elle a des cheveux alors que l’on rasait les éportés (les cheveux sewaient à flndustrie allemande). C’est une liberté de David Olère.

Les cheveux sont d’un blond rare, c’est pour briser le morphotype des nazis. Le petit garçon fait déj? parti des équipes de travaille, on le remarque par son uniforme. Il a une expression hébéter et effaré par ce qui se passe. Le regard des enfants est très important car ils regardent le spectateur. Le petit garçon a un regard interrogateur, d’incompréhension, il nous regarde comme pour avoir des réponses. La petite fille a un regard accusateur, elle sait qu’elle va ourir et nous accuse d’avor rien fait pour les aider, le fait qu’elle regarde que d’un seul œil accentue son regard.

Les parents eux regardent en l’air avec la bouche grande ouverte (référence au cri). Leur regard cherche de l’aide, ils appellent à dieux ou ils appellent les avions alliées anglo-américain qui passait au-dessus des camps pour bombarder les villes allemandes. On dirait qu’ils veulent dire « venez nous bombarder pour nous sauver et mettre fin à notre cauchemar. A leurs pieds, un drapeau nazi déchiré, comme une flaque de sang dans lequel ils pataugent, et un déporté mort avec son ?me qui s’échappe par une auréole.

Ils fa, de chaque côté des âmes de mort qui s’envole pour montrer que même pendant la révolte l’activité des usines et des chambre de gaz ne s’est pas arrêter. A droite il ya une femme avec un bébé qu’elle porte dans ses bras, sa tête apparait à travers la fourche comme si on l’avait peint après. La femme n’a pas de marque de faim, elle n’est pas marqué, cela montre la vitesse d’exécution. Ils étaient, des fois ? peine arrivés qu’ils mouraient. Le fait que ce soit une femme et un enfant montre également que les nazis n’avaient pas de pitié t que tout le monde y passaient.

La femme et l’enfant sont aussi des symboles de civllisation, la femme représentant la vierge et l’enfant jésus, pour montrer que même eux ils y seraient passé. IV Conclusion David Olère a peint se tableau pour montrer a tout le monde a qu’elle point la vie était horrible dans les camps de concentration. Il a peint beaucoup de tableau sur les camps de concentration, pour lui s’était comme une thérapie, un moyen d’évacuer toute les horreurs qu’il avait vu et qu’il avait dans sa tête. En peignant se tableau il sauve la mémoire des déportés.