Deuxième proposition Énoncé de la proposition : a) Destination finale des dispositions rationnelles (naturelles) de l’humanité réalisable seulement au niveau de l’espèce. Développement b) Définition de la raison. c) Développement pr res individuelle. d) Nécessité d’une sé Initude de l’existence e) Idée d’un développement complet des dlspositions rationnelles (naturelles) de l’humanité comme but. f) Rappel du principe de la sagesse de la nature comme principe d’un jugement sur ses productions.
Troisième proposition Enoncé de la proposition : ) L’autocréation par l’homme de sa propre perfection comme fin conversion de l’accord social pathologiquement extorqué en un tout moral. e) Critique du mythe des bergers d’Arcadie. f) Caractère providentiel de la discorde et valeur du travail. g) L’ordonnance d’un SAGE créateur révélée par le jeu des passions. Cinquième proposition Enoncé de la proposition . a) Le problème de l’établissement d’une société civile universelle comme problème fondamental imposé à l’homme par la nature.
Développement : b) Rappel de la quatrième proposition : l’antagonisme social et ‘ordre légal qui s’ensuit comme facteurs de développement des dispositions humaines. c) Précision de la tâche suprême de l’espèce humaine : trouver un système de lois extérieures contraignantes parfaitement justes. d) Explication par Fimage de la forêt du rôle de l’antagonisme social dans l’institution progressive du droit. Sixième proposition PAG » OF d parfaite au problème du droit. e) Conditions et difficultés de la réalisation de cette tâche qui expliquent le caractère tardlf de sa mise en oeuvre.
Septième proposition – Alinéa 1 ) Le problème de l’établissement d’une société CIVile universelle dépend de celui de l’instauration d’un droit international. b) L’antagonisme entre les Etats comme facteur de paix et de fédération internationale. c) Légitimité de « dée d’une conférence des nations, comme issue obllgée de la guerre. – Alinéa 2 d) Trois hypothèses sur l’histoire : le hasard, le progrès, la compensation réciproque du progrès et de la chute. e) Réduction des trois hypothèses à une seule question : peut- on affirmer la finalité dans le détail de la nature sans l’affirmer du out, et donc de l’histoire ? ) Rappel du principe de la discorde bienfaisante. g) Limite de l’idée cosmopoliti ue : nécessité de maintenir un danger d’affrontement ent Ion une loi d’équilibre de PAGF3œFd politiques intérieures et extérieures d’un complet développement des dispositions humaines dans un état cosmopolitique universel. b) Idée d’un millénarisme philosophique. c) Valeur du recours à l’expérience pour appuyer cette idée. d) Valeur de l’espérance pour Pavènement de l’âge d’or espéré. e) Imbrication des VISÉES expansionnistes des Etats et du développement des Lumières. Rôle pacificateur des relations économiques internationales. Neuvième proposition a) posslbilité de lire l’histoire selon ridée d’un dessein cosmopolitique de la nature, et valeur de cette lecture pour l’accomplissement de ce dessein. b) Possibilité de passer de l’agrégat des actions historiques au système de l’histoire humaine. c) Recours aux historiens antiques et à l’influence civilisatrice de la Grèce puis de Rome pour attester un progrès politique. d) Possibilité d’une perspective consolante sur l’avenir de l’humanité. e) La théodicée comme m oire philosophique.
