En 1857, Madame Bovary de Gustave Flaubert et Les fleurs du mal de Charles Baudelaire ont étés publiés au même moment et sont considérés, encore aujourd’hui, comme étant des chefs- d’œuvre de la littérature française du XIXe siècle probablement puisqu’il est question d’évasion vers un lieu dont nous avons déjà tous voulu être.
Cela dit, l’extrait de Madame Bovary et le poème « Moesta et errabunda tiré des Fleurs du mal, offrent à la fois des ressemblances et des différences quant au désir ‘évasion vers « l’Alleurs Ainsi, dans les deux textes, « l’Ailleurs » est l’endroit rêvé pour y trouver la joie et le plaisir, puis il est vu comme étant un lieu lointain. Par contre, les textes se distinguent quant au thème de Madame Bovary esp nt En conclusion, Mada « Moesta et errabun or2 puisque le poète et ces différentes. ubert et le poème al, de Charles Baudelaire comportent quelques ressemblances et différences quant au désir de l’évaslon page vers l’ailleurs. En effet, ils sont semblables au fait que « HAilleurs » est un lieu de joies et de plaisirs et il s’agit aussi d’un lieu lointain. Pour Baudelaire « l’Ailleurs » est un endroit inaccessible où la personne qui s’y trouve est envahie d’un bonheur à la fois intense et pur. Pour Madame Bovary, Paris lui semble trop loin pour pouvoi y aller un jour, mais elle y voit un lieu où la panoplie de divertissements qu’offre cette ville pourrait rendre sa vie plus joyeuse et plaisante.
Par ailleurs, les deux textes sont différents uant au thème de l’évasion vers « l’Ailleurs » puisque Baudelaire espère pouvoir y vivre avec la pureté et la naiVeté d’un enfant et Madame Bovary souhaite vivre la vie d’une personne au sommet de l’échelle sociale. Bref, le thème de « l’Ailleurs » est toujours présent cent cinquante ans plus tard puisqu’un jour ou l’autre tous désir se trouver à un autre endroit où il croit pouvoir trouver un bonheur interieur, c’est le cas, entre autres, du groupe populaire Nickelback et de sa chanson « Far Away b.