Discour De La Me Thode TE1

René Descartes, Discours de la méthode (1637) René Descartes a écrit le Discours de la Méthode, pour montrer que son savoir n’était pas fait de sources sûres et certaines. Des doutes sont nés en lui par rapport à ce qu’il savait ou plutôt sur ce qu’il croyait savoir. Sa méthode décrit son parcours pour justement supprimer ce savoir plein d’erreurs, pour le reconstruire avec des constituants totalement vrais et dont personne ne peut plus douter.

Pour s’aider dans cette démarche, il s’est imposé quatre préceptes qu’il devait suivre pour ne pas se perdre dans s peuvent être utilisés ur or7 nouvelle chose appri pz Sni* to débat qui nous sont vie de tous les jours au courant de ce qu’il se passe quatre préceptes sujet, pour chaque pas sûrs d’être mis réellement. Nous nous laissons peut-être tout simplement manipuler par ce qui nous entoure, car nous n’essayons pas de chercher plus loin, nous voulons tout simplement connaitre le plus de choses possible sans vraiment nous y intéresser. _Jn débat qui nous a touché énormément, est celui de la grippe A (Hl NI) de 2009. J’utilise le « nous », pour représenter toutes les personnes, qui comme moi, s’informent dans les journaux, à la télévision, à la radio et sur internet. Mais il est possible que toutes ces informations, relayées par les Swlpe to vlew next page médias, soient modifiées ou transformées avant d’arriver jusqu’? nous. Ils sont là, pour nous permettre de nous tenir au courant de ce qul se passe autour de nous.

Nous pouvons essayer d’utiliser ces quatre préceptes pour mieux comprendre ce débat et si cela est possible de faire comme René Descartes, d’utiliser ses préceptes pour transformer un débat flou, en un débat plus clair et qui nous permettrait de mieux cerner la discussion. Selon Descartes, il faut tenir compte de quatre préceptes. Le remier consiste à ne recevoir que ce qui est absolument vrai et évident, ne prendre que les idées claires et distinctes. Le deuxième est que justement ce qui est complexe devient clair et distinct lorsque nous déduisons les difficultés.

Le troisième nous dit de partir des idées simples, celles dont le doute n’existe plus, pour aller de plus en plus dans les idées complexes. Et dans le quatrième, nous devons recommencer l’analyse, le découpage, revérifier pour ne rien oublier, déconstruire pour reconstruire, pour bien voir si nous n’avons rien omis. Les grippes sont normalement des maladies très faciles à guérir t dont nous n’avons pas réellement peur, tout simplement parce que ce sont des maladies qui se soignent très bien et dont personne ne se sens en danger comme avoir un rhume ou de la fièvre.

Certaines grippes par contre, sont redoutées de tous, comme la grippe espagnole de 1918-1919, qui surgit en Europe après la première guerre mondiale et qui ava PAG » rif 7 grippe espagnole de 1918-1919, qui surgit en Europe après la premiere guerre mondiale et qui avait causé la mort de millions de personnes, et en 2004, le virus H5N1, touchant les oiseaux, va être médiatisé. Les médias ont énormément présenté cette grippe et ont insi répandu la peur qu’elle contamine l’homme et qu’elle fasse de nombreux morts.

Après les deux cas de grippes présentés ci-dessus, parlons de celle de 2009, la grippe Hl NI. Elle a été détectée au Mexique en mars-avril 2009 comme étant une grippe de la famille de la grippe espagnole. Elle suscita rapidement la crainte d’une épidémie mondlale. Cette crainte fut crée par les médias, moyen de communication rapide sur terre, car ce sont eux qui ont présenté la grippe telle qu’ils la voyaient. Ils ont joué un rôle dans la perception que les gens ont eu de cette épidémie. Ils l’ont présentée omme un danger de mort et ont semé la panique dans les populations.

Devons-nous croire tout ce qu’ils racontent? Si nous devons prendre seulement les idées claires et distinctes, ici nous n’en voyons aucune, car les médias ont le pouvoir d’influencer les opinions publiques en faveur de leur point de vue, en diffusant des informations sanitaires mais aussi des craintes qui sont peut-être inutiles. Nous ne devons pas prendre en compte toutes les informations qu’ils nous transmettent car il se peut qu’ils vulgarisent le savoir scientifique, qui lul est à ce jour un outil dont nous ne doutons presque plus. Au PAGF3C,F7