AnalyseBarbaraDeAlencar

Sommaire Introdution P. 01 p. 02 La Pléiade au 16ème siècle P. 02 Versification Segmentation Interprétation L’expression damour poétique P. 05 Le jeu du langage no Allusions mythologiq Conclusion Bibliographie p. 03 p. 04 p. 05 org to View nextÇEge p. 07 mme et le je artenaires Pierre de Ronsard, né 1524, a écrit entre 1 552 et 1 584 le livre « les « Pléiade fait référence aux sept fils d’Atlas de la Mythologie grecque.

Ils sont à faveur de l’imitation inventive des auteurs gréco-latins en prennent leurs inspirations de ses textes et la valeur culturelle de la langue française, qui était en premier plan. Ils utilisent l’alexandrin, l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures. 2 Leurs textes rassemblent des manifestes, « défense et illustration de la langue française » (texte de du Bellay). Pour la Pléiade, il est important que la poésie « parle » la même langue que le poète.

Ils ont créé des néologismes issus du latin, du grec et des langues régionales pour augmenter le vocabulaire et enrichir la langue française et la faire plus adaptable pour la langue française. C’était un nouvel art d’écrire. Ils critiquaient la forme de la poésie traditionnelle. Les quatre hèmes principaux sont l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature comme on constate dans les Sonnets de Ronsard. Leur inspiration venait des poètes grecs mais aussi de Dieu et des poètes de la renaissance italienne, par exemple Pétrarque. On peut observer la Pléiade comme une révolution littéraire. 1 .

Versification du texte IX 01 L’au/tre/ jour/ que/ j’es/tois/ sur Ile/ haut/ dun/ de/gré, 02 Pas/sant/ tu/ m’ad/vi/sa/s, me/ tour/nant/ la/ veuè, 03 Tu/ m’es/blou/ys/ le/s yeux], tant/ j’a/vois/ l’am/e es/meuë 04 De,’ me me/ tour/nant/ la/ veuë, 03 Tu/ m’es/blou/ys/ le/s yeuW, tant/ j’a/vois/ l’amie es/meuë 4 De/ me/ voi/r en/ sur/saut/ de/ tels yeux /ren/con/tré. 05 Ton/ re/gard/ dans/ le/ cœur,/ dans/ le/ sang/ m’es/t en/tré 06 Com/me u/n es/clat/ de/ fou/dre a/lors/ qu’il/ fend/ la/ nue 07 J’euz/ de/ froi/d de/ chaut/ la/ fi/évre/ con/ti/nue, 08 D’un/ si/ poig/nant/ re/gard/ mor/tel/le/men/t ou/tré. 9 Et/ si/ ta/ belle/ main/ pas/sant/ ne/ m’eust/ fat/ sig/ne, IO Main/ blan/che,/ qui/ se/ van/te es/tre/ fille/ d’un/ Cyg/ne, 1 1 Je/ fus/se/ mort,’ He/le/ne, aux/ ray/ons/ de/ tels yeux : 12 Mais/ ton/ sig/ne/ re/tint/ Palme/ pres/que/ ra/vie, 13 To/n œil/ se/ con/ten/ta/ d’es/tre /vic/to/ri/eux, 5 Ta/ main/ se/ res/jou/yt/ de/ me/ don/ner/ la/ vie. [sonnets pour Hélène, pans, GF Flammarion, 1981 p. 265] Synérèse diérèse e muet qui compte e caduc qui tombe On a ici quatorze vers, quatre strophes, deux quatrains et deux tercets, c’est un schéma typique pour les Sonnets pour Hélène de Ronsard.

Tous les vers sont des alexandrins classiques (douze syllabes), donc c’est un sonnet isométrique. Les strophes sont horizontales car le nombre de vers et plus petit que le nombre de syllabes. Dans les alexandrins la place de la césure est fixe. Ils sont divisés par la césure en hémistiches, découpant les vers en eux partie des six syllabes chacune. Les rimes so césure en hémistiches, découpant les vers en deux partie des six syllabes chacune. Les rimes sont constellées « AbbA AccA ddE fEf La richesse des rimes dépend du nombre de phonèmes en communs.

On a les rimes féminines et masculines, entre elles des rimes pauvres (b), des rimes suffisantes (A, c, E, f) et des rimes léonines (d). C’est important de savoir distinguer les rimes : les rimes pauvres ont un seule phonème commun, les rimes suffisantes ont deux homophonies, les rimes riches ont trois homophonies et les rimes léonines sont sur deux syllabes u plus. On a ici des rimes embrassées (AbbA, AccA), des rimes plates (dd) et des rimes croisées (EfEf). On trouve quelques synérèses et deux diérèses.

Les diérèses ici sont utilisées pour accentuer les deux mots qui sont importants pour le Sonnet. 2. Segmentation du texte On peut segmenter le Sonnet dans quatre segments. Le premier segment commence au premier vers et termine au vers quatre. L’auteur raconte ce qui s’est passé avec lui et Hélène. Elle lui a tourné la vue 3et le captivée avec ça4. Dans cette première partie la première personne singulière (le je-lyrique) est très importante. Il s’adresse directement à la « femme de ses yeux », mais jusqu’au vers 11 (troisième strophe) on ne sait pas son nom.

Au premier vers le je poétique gagne une place fixe, « sur le haut d’un degré » et il observe la fem premier vers le je poétique gagne une place fixe, « sur le haut d’un degré » et il observe la femme en passant. Donc, il est supérieur aux autres et de cette position il est le factotum et il nous donne un peu de son savoir. On a un contact seulement oculaire. Le deuxième segment consiste du vers cinq au huitième vers. On a ici la réaction du contact oculaire. Le je-poétique nous aconte comme il s’est senti quand cette femme l’a regardé Il sent froid et chaud au même temps, il se sent fébriles.

Ici le je poétique est encore important, parce qu’il parle seulement de ses sentiments. Il dit aussi que le regard de cette femme est plus fort que lui. Le je-poétique est poignant et mortellement outré. 6 Le troisième segment est même temps la troisième strophe. Ici le je poétique perd un peu son importance, et la femme gagne plus d’espace. En effet, la femme gagne un nom dans ce segment, « Hélène Il la compare avec un cygne. On va parler de cette métaphore plus tard. Le quatrième et dernier segment est la quatrième strophe.

Là, le je poétique perd presque toute son importance. Il parle de comment Hélène se sent. Elle se sent une victorieuse, sa main peut donner la vie au je poétique. On a ici aussi une assonance au « Aussi importants sont les comparaisons qu’il fait, comme par exemple : la main veut dire la vie, l’oeil le tue. Il se sent malade et vie, l’oell le tue. II se sent malade et il compare la maladie avec un foudre, qui surgi brusquement. La liaison entre les quatre parties est quand même très forte. un segment ne ferait pas du sens sans les autres.

Quand on lit le remier segment on veut savoir plus, parce qu’on voit que une chose plus forte vira. Et on parle beaucoup de la porte de l’âme : les yeux. 3. Interprétation a. L’expression d’amour et la relation entre la femme et le je poétique La relation entre la femme et le je poétique est très étroite. Ils ne sont pas un couple, mais il est amoureux d’elle. Le je poétique se situe sur un escalier et observe la femme aimée. Au début, le je poétique prend un rôle plus importante que la femme. Mais cette situation change au cours du Sonnet.

Plus en plus la femme gagne de l’importance. Tout le sonnet est bâti utour de la femme. Elle est plus supérieure à lui. Les thèmes principaux du sonnet sont l’amour, les yeux7 où on a une grande métaphorisation dont va parler plus tard, Fême8, la vie Set la mort 10. Selon le je-poétique, Hélène a le pouvoir de donner la viel 1, mals aussi de la prendre12. On parle de la mort déjà dans la deuxième strophe. Le regard du je-poétique est mortellement outré13. Il pense que si elle ne le salue pas, il va mourir. Mais elle lui fait signe outré13.

Il pense que si elle ne le salue pas, il va mourir. Mais elle lui fait signe 14 et ça lui donne de nouveau la vie. Il compare ‘amour avec une maladie et l’emploie comme une métaphore de l’amour. Il se sent fébrile et proche de la mort. A la fin le narrateur dit que l’œil d’Hélène a l’air de triomphe, parce qu’elle la le pouvoir de le tuer et de lui redonner la vie. b. Le jeu du langage non-verbal entre les deux partenaires Même si le je poétique est sur l’escalier et Hélène n’y est pas, on a la sensation qu’ils se connaissent bien.

Cette liaison entre les deux semble plus forte qu’elle peut être réellement. Le poète utilise le proverbe qui dit que les yeux sont la porte de l’âme en les métaphorisent . Avec ses yeux Hélène peut entrer dans le œur et dans le sang du je poétique. Avec son regard elle cause la sensation de fièvre au narrateur. Avec son regard elle peut le tuer. Avec son regard elle est violente: « De me voir en sursaut de tes yeux rencontré. »15 Néanmoins on a aussi les mains d’Hélène qui sont blanches et belles.

Ses mains peuvent lui redonner la vie. Au premier moment on a l’impression qu’ils vont se toucher. La couleur blanche représente la paix et la pureté. Donc on peut déduire qu’Hélène lui donne avec sa main la paix d’esprit, elle lui donne la vie avec son signe. Sans son signe, seulement avec son regard, il aurait ét ui donne la vie avec son signe. Sans son signe, seulement avec son regard, il aurait été mort. Blanc montre aussi la pureté d’elle. Il montre la beauté de sa main, qui est une représente la vie. Etil montre la noblesse.

On y trouve en chasme dans les vers neuf et dix « belle main/main blanche ». Cela souligne l’importance de la man. On y trouve donc une progression vers le détail des descriptionsl 6. Le narrateur commence en décrivant les yeux, les mains et termine avec la description d’un seul œil. Ça nous donne une sensation de proximité. c. Allusions mythologiques La femme aimée est comparée avec un Cygne. La main blanche ressemble au blancheur d’un cygne. Le cygne est un symbole de l’amour. Mais c’est aussi une métaphore venue de la mythologie grecquel 7. ? La fille d’un Cygne »18 peut être aussi la fille de Zeus, le roi des Dieux. On dit que Zeus avait nombreuses liaisons avec des femmes, une d’elle représentée en cygne. Une autre référence à la mythologie grecque est « l’éclat de foudre ». 19 Dans la mythologie, Zeus est représenté avec un éclair dans la main20. Une autre allusion mythologique est Hélène de Troie qui représente une femme fatale comme l’Hélène qu’on parle dans les Sonnets. On voit ici une fois en plus que Hélène dont le je-poétique est tombé amoureux a deux faces.

Elle est la femme douce comme un cygne, qui donne la vie, ma est tombé amoureux a deux faces. Elle est la femme douce comme un cygne, qui donne la vie, mais elle est aussi la femme fatale, qui le mise à mort. Ronsard reste très fidèle aux idées de la Pléiade. Les alexandrins, l’amour, les métaphores de la mythologie grecs, etc. sont tous des idéaux de son groupe révolutionnaire des poètes. Quand il parle d’Hélène il décrit ses sentiments très précisément. En comparent le Sonnet IX avec le Sonnet Il on voit des différences, même uand il parle beaucoup de la mort et de la vie.

Dans le Sonnet IX Hélène est supérieure à lui, Ronsard parle beaucoup d’elle, cependant dans le Sonnet Il le poète semble un peu narcissique, il ne dit aucune foi le nom de la femme et tout le Sonnet est bâti autour de lui. Sonnets pour Hélène, Paris, GF Flammarion, 1981, p. 265 et p. 266 Auteur inconnu : L’autre jour que j’étais sur le haut d’un degré… URL : http://bacdefrancais. net/l-autre-jour-ronsard. php Auteur inconnue: La France au XVI e siècle : La Pléiade (2008) URL : http://rahxvi. blogspot. ch/2008/1 Illa-pliade-la-pliade-est-un -groupe. html (état: 08. 10. 2014)