Tout d’abord revisitons l’histoire du roman : Le roman est un genre littéraire, caractérisé pour l’essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue. Le roman, d’abord écrit en vers assonantiques au XIIe siècle avant de l’être en prose au début du XIIIe siècle, se définit aussi par sa destination à la lecture indlviduelle, à la différence du conte ou de l’épopée qui relèvent ? l’origine de la transmission orale.
Le ressort fondamental du roman est alors la curiosité du lecteur pour les personnages et pour les péripéties. Prenons comme exemples pour le roman la saga « Harry Potter » qui c’est vendue à plusieurs milliers d’exemplaires selon moi, ce qui lui a fait avoir un tel succès n’est autre que le fait que Swipe Lo nexL page le lecteur soit pris par cette fiction tel que « or4 cette histoire rempli e Sni* tc iew que donnait envie au On cite parfois pou énouement de magie ».
Selon moi dissement ne peut uite. e Somerset Maugham : « il y a trois secrets pour ecrire un grand roman. » Donc je pense que la question que nous pouvons nous poser maintenant n’est autre que : Qu’elles sont les critères d’un bon livre ? Nous allons donc étudier, la maitrise du sujet par l’auteur et son endu personnelle. Puis le jeu de l’intrig l’intrigue. Enfin nous allons voir l’application d’une fin inattendue et ingénieuse. L’auteur dot savoir de quoi il parle.
Il faut qu’il connaisse ce milieu, qu’il sache nous le rendre « vivant », qu’il puisse agrémenter son récit d’anecdotes vraisemblables aux yeux de ceux qul travaillent dans ce domaine. Selon moi un auteur à deux solutions pour bien maîtriser son sujet soit il a inventé de lui même, soit il va sur le « terrain » pour faire son enquête. Prenons comme exemple Émile Zola qui a écrit la Bête Humaine. Zola pour écrire ce roman a était étudier le monde du rail en faisant du travail de documentation, il a même voyagé dans un train au côté de mécaniciens, de chauffeurs.
Cest donc après tout ce travail de recherche que l’auteur a pu nous rendre par son écrit personnel sa vision du sujet L’intrigue d’un récit est Penchaînement des événements qui forment le nœud de l’action. On demande souvent aux écrivains où ils trouvent leurs idées. Je pense qu’elles viennent de partout SI on reste à l’affût, elles peuvent être inspirées par un article de ournal, un film, une situation particulière, une tournure de phrases intrigante, une réflexion saisie au vol… Mais de cette idée ne jaillit pas toute l’intrigue.
Et si vous pensez que l’intrigue consiste simplement à imaginer une histoire et à y placer des personnages, vous allez droit au mur ! Georges Polti, écrivain français, a t PAG » OF d des personnages, vous allez droit au mur ! Georges Polti, écrivain français, a travaillé sur l’intrigue. En 1916, il exposait une théorie selon laquelle il existerait 36 sltuations dramatiques de base applicables à n’importe quel cénario. Aujourd’hui, ce postulat sert toujours de base ? l’apprentissage de la dramaturgie.
Nous pouvons donc penser que même avec l’idée puisé dans la vie de tout les jours Ihistoire ne ce fait pas toute seule car Polti après avoir trouver ces 36 situations dramaturgique a du trouver la suite de ses histoires de lui même et de ses recherches. L’intrigue est ce que les personnages font pour gérer la situation dans laquelle ils se retrouvent. C’est l’enchaînement logique des événements qul partent d’un incldent initial venu modifier la situation des personnages. Ainsi pour qu’il y ait une intrigue, bien sûr, il faut qu’il y ait des personnages mais il faut également qu’il y ait un conflit.
Un retournement final est une structure narrative, dans laquelle une fin inattendue amène le spectateur à vair l’histoire sous un angle différent et le pousse vers une nouvelle interprétation de l’ensemble. L’intérêt d’un retournement final est le fait que le spectateur ne s’y attend pas, et se retrouve estomaqué lors de la révélation, bien que parfois, le réalisateur parsème des indices tout au long du film. Comme le livre « Horns » écrit par Joe Hill L’histoire nous fait avancer