Sommaire Introduction 3 l/ Comment les médias nous influencent-ils ? 3 A)Par la diffusion de masse3 B)Par la publicité/slogans 3 C)Les labels 3 D)Le bio par les médias 3 Il/ La mode bio 3 A)D’où provient-elle ? 3 B)Pourquoi les agriculteurs se mettent au bi03 C)Pourquoi les conso Ill/ L’utilisation du « b , A)Le bio de « contref B)Les labels dans la c C)Mcdo 4 Conclusion 4 Annexes 4 A)Définitions4 B)Sitographie 5 C)Bibliographie 5 or 11 to nextÇ€ge préfèrent-ils le bio ? roduits 3 L’influence des médias sur la consommation de produits bio ? Introduction Aujourd’hui les médias sont omniprésents autour de nous. On ne peut pas passer une journée sans voir un affiche publicitaire, Pour en revenir aux termes et pour ne pas prêter à confusion, nous allons redéfinir le média. Les médias, ce sont les procédés de transmission de la pensée, les supports des technologies de l’information et de la communication permettant la diffusion de messages sonores ou audiovisuels.
Dans un premier temps, on peut constater l’existence d’un grand nombre de média de différentes sortes dans notre société, comme par exemples les journaux, la télévision, les affiches publicitaires, internet, les magazines et j’en passe. Tous ces médias sont présents dans des buts différents et ont un rôle très important dans la diffusion d’idée mais aussi dans la consommation. Cette diversité, permet aussi d’adapté le média à des publics différents selon l’âge, les goûts, ce qui permet d’adapté l’information aux lecteurs qui seront plus sensibles à certaines formes de média.
Dans le dictionnaire des sciences humaines de Jean François Dortier, on trouve une citation de M. McCombs et D. Shaw des années 70 qui dit que « Les média ne disent pas aux gens ce qu’ils doivent penser, mais à quoi ils doivent penser », ce qui signifient que les édia ne sont plus utiliser à la manière de la propagande, ce qui était encore le cas dans les annees 60, mais qu’ils nous donnent des idées de choses à quoi penser pour introduire en nous une idée et nous faire croire que celle-ci vient de nous ce qui crée par exemple chez le consommateur un besoin qui n’est en réalité qu’illusion.
Les média sont donc « rinstrument de diffusion de l’idéologie dominante ». « Leur influence consiste dans une uniformisation des cadres de pensée et des comportements dans le sens de l’acceptation du système capitaliste » comme par xemple ici, dans le cadre de l’al PAG » 1 de l’acceptation du système capitaliste » comme par exemple ici, dans le cadre de l’alimentation biologique. Aux États-Unis, on parle même « d’une toute-puissance des médias sur l’opinion publique cependant Paul F.
Lazarsfeld nous indique que cette influence « dépend des pensée préexistantes et du réseau de relation interpersonnelles du récepteur B) Diffusion de masse Une tels diversité dans les moyens de diffusés les idées, implique le fait que cela touche un large public et que de part cela, l’influence des média est décupler. En effet, les média diffusant en masse leurs informations, on en vient à faire la généralité d’une idée diffusé par ceux-ci. Ces idées sont en général publiées dans un but tout autre que celui de donner des informations objectives.
Ce sont plutôt dans des but d’orienter la population vers une penser (en politique par exemple) ou vers un mode de consommation, ici la nourriture biologique. Tout cela est possible grâce à cette diffusion de masse qui provoque une impression de généralité chez le consommateur, qui donc s’approprie l’idée tout en pensant que celle-ci vient de lui. On remarque cette iffusion de masse par le fait que « la durée moyenne d’écoute [des médias] par jour est de 210 minutes (3 heures 30) Cela nous montre à quel point les médias sont présents dans notre quotidien sans que l’on s’en rende forcément compte.
Cependant il faut souligner que les « mass médias » ou médias de masses « ne reflètent pas la totalité des opinions présentent dans le public » ce qui donne l’impression aux personnes partageant l’opinion des médias d’être une majorité, ce qui facilite leurs expression et ce qui provoque le silence des personnes ne partageant pas les mêmes idées. Cela provoq PAGF30F11 partageant pas les mêmes Idées. Cela provoque chez les « cerveaux vulnérables du public » la suite de l’idée dite « autorisée diffusé par les médias.
C) par les slogans On remarque aussi que les médias utilises des outils de publicités comme les slogans qui ont pour but de nous rentrer dans la tête et d’y rester pour faire connaître une marque un produit ou une idée comme par exemple pour la nourriture biologique « manger bio c’est saint manger durable c’est agir pour deman » ou encore « c’est bon c’est bio Tous ces slogans on un impacte psychologique sur les consommateurs qui les ormates à consommer plus et différemment.
D’après une étude publié dans le journal The Journal of Consumer Research, les personnes exposer à un slogan auront tendances à consommer deux fois plus que ce qu’ils auraient consommer avec le simple nom de la marque. Ces slogans permettent aussi de créé des assimilation aux produits tels que le bio et le vert ou encore bio et locales, alors que le local n’est pas forcément bio puisque l’on peut produire du local sans toutes fos produire du b10.
Cela crée aussi une confusion chez l’acheteur qui finit par préféré les roduits de couleur vertes, car il l’assimile au bio et pense donc inconsciemment que le produit sera meilleur pour sa santé alors que cela est complètement absurde. D) Petit sondage Nous avons réalisé un petit sondage sur des élèves de lycée, en leur demandant de nous dire tous les mots qui leur passent par la tête lorsque l’on parle de bio.
Voici ce qu’il nous on répondu : nourriture fruit légume nature agriculture plante PAGFd0F11 viande marché (local) végétal vert sam frais Il/ La mode bio A) D’où provient-elle ? Le départ de Vexpansion de l’agriculture biologique fut provoqué ar deux scientifiques lors d’une épidémie du virus e coli. un virus très commun chez les mammifères et chez les humains entraînant plusieurs maladies comme la gastroentérite.
Lors d’une prévention de la tuberculose bovine le 23 juin 1963, Raoul Lemaire, l’homme ayant fait « naitre » l’agriculture biologique en utilisant des « algues vivantes dotée d’un véritable pouvoir équilibrant » comme nouvel engrais pour fertiliser les sols, car le fumier est rempli d’azote et de potasse provoquant une sensibilité à la pourriture, et Jean Boucher, un expert en science aisant des travaux sur l’emploi des produits chimiques en agriculture, furent réunis.
Le test n’était pas concluant et la plupart des vaches saines réaglssaient au test tuberculinique entraînant un refus de la part des éleveurs. Les deux scientifiques partagèrent leurs connaissances et suivirent le principe de Claude Bernard « Le microbe n’est rien c’est le terrain qui est tout ». Débuta alors une expansion phénoménale de « l’information en faveur de l’agriculture biologique ». Celle-ci fut tout d’abord un regroupement de « centaines » au de « milliers » de personnes ssistant aux conférences de Lemaire et de Boucher.
En 1964 on a pu assister à la « culture biologique méthode Lemaire- Boucher La grande presse commença alors à « dlvulguer les méfaits de l’utilisation de produits chimiques » par des revues et des livres comme « Printemps silencieux » de Rachel Carson et « Menace sur notre vie » du Dr Pesch. B) Pourquoi les agriculteurs se mettent au bio s 1 Pesch. Les raisons des producteurs bios sont plus en rapport avec leurs intérêt personnel qu’à la vocation. Les producteurs bios sont très fieres d’élever des animaux en bonne santé et élever en plein air, n plus de cela, ils peuvent mieux respecter l’environnement.
On remarque aussi que les agriculteurs on une facilitée de vendre leurs produits, qui sont plus chères, de plus en plus facilement grâce à l’expansion de la consommation bio , car la société nous incite à manger sain. Ce mettre à l’agriculture biologique peu aussi leur permettre d’accéder à des subventions par l’Etat par exemple et en même temps participer à la préservation de la planète car à une diminution de la consommation d’eau et d’énergie , de participer à la protection de l’environnement avec ne utilisation des terres moins intensives ce qui permet d’avoir des terres plus productives.
L’agriculture biologique favorise également les emplois car une plus grande main-d’œuvre est nécessaire environ « 60% de plus qu’une exploitation conventionnelle » , elle facilite donc l’emploi et participe à la diminution du taux de chômage. Les agriculteurs pratiquant cette agriculture arrive mieux à lutter contre la concurrence des entreprises alimentaires internationales. Les agriculteurs se mettent au bio car la demande est croissante, voyons maintenant pourquoi cela à un si grand succès.
C) Pourquoi les consommateurs consomment/préfèrent-ils le Les consommateurs ont différentes raisons de préférer le bio : pour contribuer à « préserver l’environnement », car ils jugent que les produits bios « sont meilleurs pour la santé pour « le bien- être animal car ils jugent que les produits bios 6 1 meilleurs pour la santé », pour « le bien-être animal car ils jugent que les produits bios ont « meilleur goût par « crainte » et pour limiter l’utilisation de « substances toxiques », pour « promouvoir un modèle économque innovant, ou parce que ce sont souvent des produits locaux.
L’environnement est très touché par l’agriculture intensive. La « dégradation des sols » est très importante du fait du manque de variété cultivé sur le même sol. L’arrosage en masse provoque une « perturbation et une pollution des cours d’eau ». Cutilisation de d’engrais provoque une « eutrophication » des rivieres : Les rivières deviennent trop riches en algues et en matière organique, et lorsque ces matières se décomposent on observe des « chutes d’oxygénation » provoquant la mort des poissons. Le traitement des productions nombreuses dégage également des gaz à effet e serre en quantité.
Les médias assimilent toujours le bio à des produits « verts » qui renvoient au vert de la nature en bonne santé influençant les consommateurs à sauver la nature. « 86% des français estiment que le bio contribuent à préserver l’environnement » Le rapport entre l’agriculture biologique et la santé se situe dans l’utilisation de pesticides contenant des « produits toxiques » médlas renvoient souvent au thème de la santé avec des publicité comme les produits Les deux vaches garantissant « de matière grasse Des affiches de pub suédoises représentent des rganes vitaux avec de « magnifiques fruits et légumes b.
L’influence des médias se retrouve différente en fonction des pays. En France, les personnes consomment du bio plus souvent pour leur santé alors que les anglais le consomment plus pou l’environnement. III/ L’utilisa PAGF70F11 santé alors que les anglais le consomment plus pour Ill/ L’utilisation du « blo » pour promouvoir les produits A) Le bio de « contrefaçon » B) Les labels dans la consommation C) Mcdo Changement de couleur mcdo rouge http://lareclame. fr/108227 -musiq ue-mcdo nalds-bigm ac Conclusion
On a pu se rendre compte que finalement le bio compte énormément sur sa publicité intensive. Et que les médias font passer de nombreux messages sur le bio qui peuvent nous influencer et même changer notre consommation. Les labels tirent aussi leur épingle du jeu et influencent notre consommation puisqu’il sont la preuve de l’origine du produit et de la qualité de ce dernier. Malgré cela certaines personnes se servent du bio comme argument de vente et tirent un meilleur profit puisque le bio se vend plus cher.
Mais imaginons que l’on ne fait plus d’agriculture intensive et que l’agriculture biologique evient la seule façon de produire aurons nous assez de nourriture pour nourrir la planète entière ? B1 surface cultivée. Agriculture industrielle : terme correspondant à l’agriculture moderne, utilisant des innovations mécaniques au niveau des machines et de nouvelles méthodes d’agriculture. Média : un média est un support matériel qui permet d’établir une communication (écrite, orale, audiovisuelle) entre différents acteurs (producteurs, diffuseurs, usagers).
Les médias sont des dispositifs complexes à la fois d’ordre sémiotique (langue écrit ou oral, images fixes ou animées), d’ordre technique (encre t papier, écran et ordinateur), d’ordre économique (financier et organisationnel) et d’ordre politique et social (produits par différents par différents acteurs, ils établissent des relations de communicatlon au sein de la société). On peut distinguer les entreprises médiatiques (presse écrite, radio, télévision, cinéma) des dispositifs médiatiques (blog, site internet, téléphone mobile, réseaux sociaux).
Ces derniers permettent de communiquer mais, généralement, n’émanent pas d’entreprises spécialisées dans le divertissement et l’information. Deux facteurs font que les médias ont de plus en plus nombreux dans l’espace social : le premier est lié à l’impulsion des progrès informatiques et le second au fait qu’un nombre croissant d’entreprises, d’institutions ou d’individus cherchent à rendre leur action vislble. Communication de masse : selon N. Fischer lorsque l’on parle de communication de masse cela désigne l’ensemble des techniques de diffusion collective qui permettent de s’adresser à un grand public.
Les principaux types de communications de masse sont la presse, le cinéma, la radio, la télévision, le livre, le disque et l’affiche. Consommateur : personne qui achète pour son usage des biens (denrées, marcha disque et l’affiche. (denrées, marchandises) et des services. Consommation : Opération économique consistant dans l’utilisation immédiate de biens ou de services qui seront détruits dans se processus. Consommer : Consommer consiste, pour un ménage, à dépenser son argent pour acheter des biens.
Destinée à satisfaire la plupart des besoins, la consommation représente, avec la production et la répartition, l’une des principales opérations économiques. Mais la consommation correspond aussi à un phénomène social. Agriculture raisonnée : L’agriculture raisonnée est un système de produ tian agricole dont l’objectlf premier est d’optimiser le résu tat économique en maîtrisant les quantités d’intrants, et notamment les substances chimiques utilisées (pesticides, engrais) dans le but de limiter sur l’environnement. . Sitographie L’agriculture mondialisée, Jean-Paul Charvet, septembre-octobre 2007, Dossier n0059, La documentation française Le dictionnaire des sciences humaines, Jean-François Dortier, octobre 2004, Editlons sciences humaines Dictionnaire d’économie et de sciences sociales, Jean-Yves Capul t Olivier Garnier, avfll 2011, Hatier Capital, Florence Leray, mars 2011, n0222, Groupe Prisma Presse B) Bibliographie La Provence.
La rédaction, 08/02/2013, « des Français ont consommé bio en 2012 », http://w’w/. echoplanete. com/actu / sante-et-environnement-actu/ »-des-francais-ont-consomme-bio -en-2012/ L’auteur de la page et du site n’est pas référencé, http://www. planetoscope. com/Autre/1 86-ve e-pro duits-bio -en-france. html Le Point. Jacques Dupont, 06/09/2012 «Europe, le bio sort du bois », http://www. lepoint es/europe-le-bio-sort-du 11