Management – cours 6 (lg 2 14) Le courant des relations humaines et ses théories. 1 – La hiérarchie de Maslow (1954). Hypothèses du modèle • -Chaque besoin est motivant jusqu’à sa satisfaction. -l_a hiérarchie est rigide le besoin inférieur doit d’abord être réalisé pour accéder au besoin supérieur. Besoins inférieurs : physiologiques, sécurité. Besoins supérieurs , Limites du modèle : -Critique de la hiéra onheur. or 2 Sni* to View -Critique du principe universel du mod le (z les hommes sont différents) 2 – La théorie bi-factorielle de Herzberg. Cherche à deflnir les facteurs de motivation au travail.
Pose la question suivante : quand avez-vous été heureux ou malheureux dans votre travail ? 2 types de facteurs : -les facteurs d’influence négative (qui peuvent nuire à la motivation, mais ne constituent pas un facteur motivant) : hygiène, ambiance, salaire… -les facteurs de motivation : intérêt du travail (utilité), reconnaissance, réalisation de promotions… soi, perspectives de autoritaire L’Ü est créatif Il peut se diriger, être autonome Il recherche aussi une utilité, un engagement social. Donner davantage d’autonomie, responsabiliser (organisation moins formelle, décentralisée)
Modèle participatif 4 – Prolongements. a) La théorie de l’équité (Adams, 1963). Les individus estiment leur contribution à l’organisation et comparent avec ce qu’ils en retirent (salaire, reconnaissance… ) Pour comparer, ils peuvent se baser sur une autre personne, interne ou non à l’organisation. b) La théorie des buts (Locke, 1968). Rôle des buts dans la motivation de chacun Les individus sont davantage motivés par des buts difficiles mais néanmoins atteignables. C’est la récompense associée au but qu motive l’individu. Conclusion générale : le courant des relations humaines. ‘Homme est au centre de l’organisation -influence de l’organisation informelle (relations de groupes, leadership interne… ) -question de la motivation relations avec les supérieurs -nature des Partie 2. Les tentatives de synthèse des courants. Chapitre 1. Les Néoclassiques. Leur objectif est de déterminer les principes permettant la performance de l’entreprise. I – Le mouvement empirique. 1 – Alfred p. Sloan et la structure divisionnaire. 30 ans à la tête de GM ; pour lui, le développement doit se faire par la diversification (f Ford T -> naissance d’une gamme (avec différentes marques