LA ELECTICITE • D’ou vient-elle ? A l’occasion de l’Exposition Universelle de 1937 se déroulant à Paris, la compagnie parisienne de distribution de l’électricité demande à Raoul Dufy ( peintre normand ) de peindre une peinture concave pour épouser et horner le hall -concave- du Palais de la lumière et de l’électricité construit par Mallet Stevens, à l’éfigie de l’électricité. Elle est maintenant conservée au musée d’Art Moderne de Paris. • Comment a t-elle été faite ? De quoi est-elle faite Raoul Dufy, avec l’aid e s ora une oeuvre dite la pl grü,••-. o View nextggge t de 624m2 ( 10m x sur contre-plaqué, pr t la fée électricité, lom de hauteur panneaux peint e l’électricité. On remarque 110 personnages -plus grands que nature- éparpillés un peu partout dans l’aeuvre accompagnés de quelques machines. Raoul Dufy utilise la technique de David et dessine d’abord sur une feuille ses personnages nus pour ensuite leur ajouter leurs habits d’époque. une fois le dessin fini il le photographie et le progète agrandi sur les panneaux pour le redessiner à la bonne taille. Il mettra seulement 10 mois pour finir cette immense fresque. • Qui sont ces personnages ?
Sont dessinées 110 têtes plus ou moins connues. 110 têtes qui ont bâti notre connaissance sur l’électricité. Dufy peint comme l’on racontre une histoire, celle de l’é l’électricité. Il retranscrit chronologiquement -avec une incroyable fidélité- les grands personnages de l’électricité. Des savants qui vont des années 600 av. JC aux savants de l’époque de Dufy. Mals peut-être que cette marche dans le temps ne dure qu’une journée pour le spectateur; du soleil levant de la Grèce Antique (? droite) au croissant de lune des années 1900 (à gauche) ? • Des couleurs comme misent au hasard.
Les couleurs utilisées par Dufy sont pures, celles de l’arc en ciel. Quatres couleurs prédominent; un vert de végétation, tout à droite, à coté d’un jaune orangé qui -d’après les paysages dessinés- représente la saison des moissons, suivit par un rouge des plus vifs qui dévoile les premières avancés du monde moderne. Et enfin un bleu d’abord clair qui se fait de plus en plus foncé au fur et à mesure qu’on tourne le tête vers la gauche où l’on trouve des paysages plus familiers. On remarque une décroissance de la lumière et de l’intensité des couleurs; du range/rouge crépusculaire au bleu nuit à la fin du tableau.
Ce phénomène vient renforcer l’hypothèse que ce tableau ne dure en fait qu’une journée. • un tableau en trois parties. Ce tableau est divisé en trois parties, la partie droite, la centrale et la gauche. -Le partie droite représente l’époque d’avant l’électricité avec des scenes où s’enchaînent les évocations des forces naturelles, des travaux prémitifs et agrécoles, des paysages ruraux et urbains. Deux registres sont présents. Le registre supérieur, celu PAG » OF d agrécoles, des paysages ruraux et urbains. Deux registres sont présents.
Le registre supérieur, celui du haut, où prône la nature, des paysages, des hommes anonymes et leurs réactions visiblement positives face aux nouveautés qu’ils rencontrent petit à petit grâce à la toute nouvelle électricité. Et le registre inférieur,celui du bas, résevé aux savants et à leurs nouvelles découvertes. -La partie centrale montre les Dieux de IOlympe tronant au dessus de le centrale électrique de Vitry sur Seine, ultramoderne pour l’époque, créant ainsi un espace de transition entres les temps anciens et les temps modernes.
Sont présents Hera Déesse du mariage, Athena -avec son casque- Déesse de la sagesse, Apollon -tenant sa lyre- Dieu de la lumière, Arès Dieu de la guerre, Hermès Dieu messagé avec ses sandale ailées, Aphrodite Déesse de l’amour, Éole Dieu des vents accroché à un tissue blanc au dessus de lui, comme un petit parachute et Zeus Dieu suprême, dominant. Le fait qu’il y est une parti centrale définie, crée un symétrie (la longueur du tableau est le même à gauche et de cette partie centrale). à droite -La partie gauche dévoile le monde tel qu’il est depuis l’invention e l’électricité.
Dufy montre que l’électricité permet aux Hommes de vivre mieux et qu’elle est aussi la condition de la société de consommation dans laquelle nous vivons. Complétement ? gauche, la fresque s’achève sur une atmosphère musicale avec un grand concert au dessus duquel une femme s’achève sur une atmosphère musicale avec un grand concert au dessus duquel une femme vole: il sagit d’Iris fille de la Déesse grecque Electra, faisant ainsi le lien entre la modernité et l’origine du monde. Cet orchestre occupe beaucoup de place dans ‘oeuvre car le peintre lui accorde une grande importance.
Dufy est aussi musicien et dit que son tableau est comme un mélodie. Le fée est très grande et de taille disproportionnée pas rapport aux autres objets car le peintre veut que le spectateur la voit bien puisqu’elle est le sujet principale du tableau. • un message. Lors de l’exposition de 1937 il y avait, sur la facade extérieure du palais, des films qui étaient progetés le soir et le public entrait dans le pavillon, de chaque coté il pouvait voir la peinture. Le tableau enveloppe le spectateur. Cest un tableau qui se marche.
On se promène tout au long de cette sorte de fer de cheval allongé. On peut aussi se placer au centre du tableau et tourner, tourner pour voir son immensité. Si Dufy s’intéresse tellement à l’industrie de son temps, c’est qu’il veut passer une idée auprès du spectateur qui regarde son oeuvre. Dans son tableau on a vu combien les personnages étaient heureux de vivre dans la nature et grâce à elle. Le message du peintre est que l’étude de la nature par la science permet le progès dans la société et apporte le bonheur des hommes. Un message des plus utopique.