weber

l’homme du point de vue de leur subjectivit , et non seulement ? partir des contraintes extérieures. Cela revient à définir la société en tant qu’agrégat d’individus (contrairement à Durkheim qui la défini en « tout indivisible Pour expliquer les actions humaines, Weber va proposer 4 idéaux types : • L’action traditionnelle se rattache à l’habitude et à la coutume. • L’action affective est guidée par des passions (exemple de la mère qui gifle son enfant). • L’actio weber Premium gy zitaaaaziz I aarycTa 07, 2014 | 14 pages l.

Max Weber Max Weber est né en Allemagne (1864), où il mène des études de roit, d’histoire, d’économie et de théologie. Il a publié plusieurs ouvrages : le savant et le politique, l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, essais sur la théorie de la science, économie et société, sociologie de la religion Comme Durkheim, Weber est run des fondateurs de la sociologie. par contre, il s’oppose à Durkheim et à Marx en refusant toute optique déterministe de l’histoire (les individus ne choisissent pas les faits sociaux, ils s’imposent à eux).

La démarche de Weber est différente, elle est individualiste Swipe to nex: page alors que celle de Ma déterminent l’histoir or 14 Il propose d’envisage hist. ‘,. Snipe to individuelles L’histoir le monde social, il fa t les Individus qui liqué le cap’talisme. roduit des actions et pour comprendre ension de l’action de L’action rationnelle par rapport à une valeur (ce sont les ordres éthiques, esthétiques ou religieux qui la déterminent). • L’action rationnelle par rapport à un but (calculs et utilités déterminent cette action, c’est-à-dire une adéquation entre moyens et fins). L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme.

La remarque de départ de Max Weber est que le capitalisme est né dans les pays occidentaux et principalement dans les pays ? confession protestante. Il remarque aussi qu’en Allemagne où se côtoient catholiques et protestants. Ce sont ces derniers qui, en majorité, détiennent le pouvoir industriel et commercial. Donc, pour Weber, si le capitalisme n’est pas apparu plus tôt, cela revient au catholicisme qui l’a empêché puisque, selon cette religion, le salut réside dans la fidélité à l’église alors que pour les protestants, le travail est le salut ou le chemin du salut (=être sauvé dans l’au-delà).

Il remarque en même temps que se sont les entrepreneurs calvinistes qui sont les plus actifs. Le rotestantisme puritain que développe Calvin (le réformateur de la religion protestante) encourage un comportement économque partlculier. Selon cette confession, la profession est un devoir, une épreuve de la foi. Les comportements calvinistes sont marqués par un ensemble de valeurs, comme le goût de l’épargne, le refus du luxe, la discipline au travail, et la conscience professionnelle.

Cette manière de vivre ordonnant au croyant de se comporter tel un moine toute sa vie se propage en Europe et 12 ordonnant au croyant de se comporter tel un moine toute sa vie se propage en Europe et aux Etats-Unis. Weber se pose la question : pourquoi le puritain est-il économe, et comment devient-il capitaliste ? Contrairement à la doctrine catholique, l’individu n’a plus de compte à rendre devant une autorité terrestre (qui est dans ce cas Péglise), mais il se trouve seul devant Dieu et Dieu seul connaît les élus, d’où l’interrogation permanente et angoissée sur le devenir (suis-je élu ? ).

Pour les calvinistes, plus on accumule des richesses, plus on a des chances d’être élu. Pour Calvin, la vie du chrétien doit être orientée vers un fort investissement dans l’ici-bas. Ainsi, la réussite terrestre ans une activité professionnelle est un moyen de glorifier Dieu. Mals surtout, parce que Dieu n’agit qu’à travers ceux qu’il a élu, la réussite est donc pour les calvinistes un signe d’élection. C’est ainsi que Weber explique que le travail, le sens de l’épargne sont survalorisés par les protestants, non pas pour eux-mêmes, mais comme moyen de confirmer par la réussite sur Terre un salut tant espéré.

Changement social et valeur, la sociologie de Max Weber LA sociologie de Weber est avant tout historique. Son obsession, son énigme est celui de l’originalité, de la singularité de l’occident moderne. S’interroge sur ce qui explique cette singularité. Sa question : Pourquoi, en dehors de l’Europe, le développement de la science, de l’art, de l’Etat, du droit, de l’économie… ne s’est pas engagé dans les voies de la science, de l’art, de l’Etat, du droit, de l’économie… ne s’est pas engagé dans les voies de la rationalisation propre à l’occident ?

Nous voyons donc apparaître une thèse ; il y a une spécificité culturelle de roccident moderne. Weber dit qu’en occident, la rationalité envahi tous les aspects de l’existence humaine, elle est systématique et présente partout. Ce n’est qu’en occident que ‘on trouve qu’il existe une science systématiquement rationnelle. On y voit se développer l’algèbre la géométrie, il y a une volonté de dégager des lois générale afin de rationaliser le monde. SY développe également un droit systématiquement rationnel qui prend une forme logique. Pour Weber, le capitalisme est l’expression du rationalisme économique.

Ce n’est pas avant tout la quête du gan (ceci exlstalt dans toutes les sociétés humaines). Weber cherche donc a comprendre l’obsession de l’occident moderne rationnel. Point de départ de la sociologie : étudier les activités sociales, ermettent le développement de certaines institutions (Etat bureaucratique, capitalisme rationnel). Pour rendre compte des actions, il faut les rapporter à des significations. Au 16 et 17ème se développe une nouvelle mentalité économque, une autre façon de concevolr son métier qu’il appelle l’esprit du capitalisme.

Ethique protestante : développe fesprit du capitalisme. Il y a des éléments qui favorisent une nouvelle conception de l’économie. Terme de « beruf » (allemand), signification : vocation au travail Weber dit : « cette 2 Weber dit : « cette révolution qu’a constitué le capitalisme oderne ne dépend pas d’un afflux d’argent frais, elle dépend d’un esprit nouveau » l. Pourquoi les protestants sont-ils devenus capitalistes ? La démonstration de l’éthique protestante et de l’esprit capitaliste.

Weber n’a pas conçu cet ouvrage comme un livre (l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme). Il ne vise pas à dégager une thèse générale. Il essaye de se demander quelles ont été les influences possibles. L’originalité de Weber consiste dans le fait qu’il essaye de présenter deux aspects du capitalisme : un aspect matériel (structure, forme, système économique) et un aspect ui présente un système de valeurs et une mentalité. Ce dernier aspect joue, pour Weber, un rôle très important. Pour lui, tout phénomène social ou historique est le produit d’une multiplicité de causes.

Il va mettre l’accent sur l’une de ces causes : le facteur religieux. C’est pourquoi il établi un lien entre l’éthique protestante et le capitalisme. 1) Du capitalisme à l’esprit du capitalisme : un travail de redéfinition. TEXTE WEBER DEUXIEME POLY Le problème : il pointe le lien qui existe entre telle ou telle activité religieuse et l’activité professionnelle pour arriver à l’esprit du Point de départ de l’analyse de Weber : n’est pas original, il n’a pas découvert le lien entre protestantisme et capitalisme, il s’agit ? son époque d’un lieu commun.

PAGF s OF Il ne fait de doute pour personne que les grands financiers et entrepreneurs en Europe sont protestants. Cette relation n’est pas établie par Weber, mais il essaye de la comprendre et de l’expliquer. Weber part de trois constats statistiques : les chefs d’entreprises sont majoritairement protestant, la main d’œuvre aussi, au niveau de l’enseignement secondaire les enfants catholiques sont orienté dans des établissement traditionnels et sont ous représentés dans les établissements qui préparent aux professions industrielles et commerciales.

Ces professions étaient interdites aux juifs, ils vont donc s’engager dans l’activité économique moderne. Les protestants sont minoritaires mais s’intéresse à l’activité économique moderne, contrairement aux catholiques qui restent dans l’activité économique traditionnelle. On va maintenant s’intéresser à une nouvelle difficulté : tout ce que signifie le capitalisme, il renvoie a un certain hédonisme (tout ce qui renvoie au bonheur et au plaisir), alors que le rotestantisme est une religion ascétique (maîtrise des tentations).

Il y a donc un paradoxe. Weber donne un certain nombre d’éléments pour montrer que cette opposition n’est pas si évidente. 2) L’esprit du capitalisme Weber va cheminer conformément a la méthode suivante : le capitalisme n’existe pas en soi, c’est le résultat de l’activité économique des capitalistes. A l’origine, qu’était la mentalité éc 6 2 résultat de l’activité économique des capitalistes. A l’origine, qu’était la mentalité économique capitaliste ? Weber essaye de cerner cette question.

Il va donc s’intéresser à un petit texte (ni théorique ni religieux, mais brochure rédigée par Benjamin Franklin qui a pour titre : des nécessités qui s’imposent à ceux qui veulent devenir riches). Il veut dire qu’il ne s’agit pas seulement d’une manière de faire son chemin dans le monde, il s’agit d’une éthique particulière, c’est une sorte de catalogue de vertu. Ce qui est enseigné dans ce texte n’est pas simplement le sens des affaires c’est un « ethos » (une éthique pratique). Ce document va nous permettre de comprendre l’esprit du capitalisme dans sa forme la plus classique.

En Ilsant ce texte, on remarque que le capitalisme a avant tout un aspect moral. Ce qui est nouveau est que la quête de profit doit être organisée méthodiquement, elle suppose donc tout un ensemble de qualités morales et éthiques. Extrait du texte : « songe, souviens-toi, que le temps c’est de l’argent. Celui qui pourrait gagner IO chilling par jour grâce à son travail et passe la moitié de la journée à vagabonder ou traîner dans son lit ne doit pas compter qu’il à dépenser 6 pense mais 6 chillings…

Souviens-toi que le crédit c’est de l’argent, si quelqu’un laisse chez oi son argent alors qu’il doit lui être rendu, il me fait cadeau d’un intérêt Songe que l’argent est de nature productive et prolifique, l’argent peut engendrer l’argent, 5 chillings qui travaillent en donnent 7 2 productive et prolifique, l’argent peut engendrer l’argent, 5 chillings qui travaillent en donnent 6 et ainsi de suite jusqu’à 100 livres sterling Tuer une truie c’est éliminer toute la descendance, assassiner une pièce de 5 Chilling c’est tuer de manière criminelle tout ce qu’on aurait pu produire avec ces 5 chillings.

Songe que les bons payeurs son maître de toutes les bourses, elui qui est connu pour payer ponctuellement peut emprunter en tout temps et aujourd’hui ce que ces amis ne dépensent pas. Outre l’ardeur à la besogne et la tempérance, rien ne contribue mieux à l’ascension d’un jeune homme que la ponctualité et l’honnêteté dans ses affaires. Ne garde jamais l’argent que tu as emprunter une heure de plus que ce que tu as promis. Il faut prêter attention aux actes les plus insignifiants.

Si ton créancier t’entend frapper des coups de marteaux des 5 du matin ou à 8h du soir, il repoussera de 6 mois ton échéance. Si ton créancier te vois à la table de billard ou entend ta voix ? a taverne à l’heure ou tu devrais être au travail il réclamera son argent dès le lendemain. Tiens précisément le compte de tes dépenses et de tes revenus. Tu te rendras compte que l’accumulation de minuscules dépenses représente une grosse somme. ? Nous lisons donc un sermon moral, il s’agit de l’idéal d’un homme d’honneur et de confiance. Il faut être conscient que chacun a un devoir d’augmenter son capital, mais non pas pour le dilapider. On voit ici quelque chose qui peut nous paraitre totalement irrationnelle le dilapider. On voit Ici quelque chose qui peut nous paraitre totalement irrationnelle. C’est en ce sens que Weber nous dit qu’il veut ainsi montrer que l’esprlt du capltalisme n’est pas l’hédonisme, il y a une dimension morale fondamentale (le travail, la vertu).

Le but de Weber était de définir une sorte de portrait robot de l’esprit du Weber nous dit « nous emploierons provisoirement le terme d’esprit du capitalisme moderne, pour caractériser la recherche rationnelle et systématique du profit par l’exercice d’une profession, attitude qui illustre l’exemple de Benjamin Franklin Travailler n’est pas la volonté de s’ouvrir aux jouissances de la vie, mais plutôt une obligation morale. Le travail et le métier apparaissent comme un but en soi.

Le métier doit être considéré comme une sorte de vocation (beruf)_ L’idéal de l’entrepreneur capitaliste est décrit par une dimension ascétique, il a un côté triste et gris. Ce qu’il veut montrer est que cette éthique du capitalisme peut se résumer avec cette maxime : « gagner de l’argent, toujours plus d’argent, tout en se gardant des jouissances spontanées de la vie Le capitaliste redoute l’ostentation (ne veut pas se montrer) et la dépense inutile tout autant que la jouissance consciente de sa puissance. Il se sent gêné des signes extérieurs de considération sociale dont il fait fobjet.

Il ne tire rien de sa richesse pour lui même en dehors du sentiment irrationnel d’avoir bien fait son travail. Weber rajoute « voilà ce qui semble absolument PAGF sentiment irrationnel d’avoir bien fait son travail. Weber rajoute « voilà ce qui semble absolument inconcevable, qu’un être humain puisse choisir pour tache l »idée de descendre dans la tombe les mains remplie d’or et d’argent sans les avoir dépensés h. Les gens qui se comportent ainsi sont des obsessionnels, d’un point de vue profane c’est irrationnel. Si on regarde les choses d’un point de vue religieux, tout ce qui parait irrationnel peut le devenir.

Calvin dit que le salut de Dieu à été donné aux hommes dès la création du monde et qu’une partie des homme serait prédestinée au paradis éternel. Deux caractéristiques fondamentales de cette décision de Dieu : elle est irrévocable et mystérieuse (on ne peut pas choisir si on est élu). Lorsqu’on adhère à ces dogmes de prédestination on est saisis par une angoisse. Comment surmonter cette angoisse : l’erreur montre que le fidèle face à cette angoisse, va essayer de chercher des ignes dans sa vie qui vont lui permettre de se rassurer.

Ces signes peuvent être obtenus en *imposant dans sa vie une discipline très exigeante par laquelle il s’agit de se conformer aux commandements de Dieu. Si l’on a cette force en nous qui nous distinguent des autres de résister à toutes les tentations des créatures fables, cette force sera vue comme la grâce de Dieu. Il s’agit en quelques sortes de se mettre perpétuellement ? l’épreuve pour se rassurer sur le fait qu’on a été élu. Si je réussi ? me comporter comme l’ouvrier de Dieu, c’est que Dieu ma choisi pour être son ouvrie