gloria said

Chapitre 2: la banque virtuelle 1- L’histoire des banques en ligne C’est grâce au développement des nouvelles technologies de la communication et de l’Internet que la banque en ligne a vu le jour, jusqu’à se développer considérablement ces dernières années, encore davantage avec le boom des téléphones intelligents. Même avant le développement de l’Internet, des services ? distance étaient proposés. Ces services utilisaient essentiellement le téléphone ou encore le courrier, mais aussi le Minitel.

C’est en 1994 que la première banque en ligne a vu le jour en France avec la Banque Directe, du groupe Paribas. En 1999-2000, lusieurs nouvelles b marché, comme Zeb des néerlandais ING. en ligne propose des courtage qui étaient or 15 not,’ arition sur le t, filiale française s débuts, la banque c l’épargne et le Dès 2002, un deuxième signe de banques en ligne arrive. On note l’apparition des services de bancassureurs et le développement de produits bancaires, avec des cartes de paiement.

C’est cette même année que Banque Directe devient la propriété d’AXA, lui donnant un nouveau nom : AXA Banque. Cette année marque également la création d’AGF Banque, filiale de l’assureur du même nom et le lancement de Groupama Banque (avec la Société Générale), qui rapidement élargira ses services. Les banques « traditionnelles » ne tardent pas à suivre le mouvement et ? envahir à leur tour le net.

Alors d’une Swipe to vlew next page d’une manière générale, toutes les banques, que ce soit les pionnières ou les nouvelles venues, élargissent leurs produits. Même les plus « traditionnelles » proposent aujourd’hui des servlces en ligne. Aujourd’hui, profiter des services et des produits de banques en ligne semble inévitable à de plus en plus de clients, si ce n’est que pour gérer leurs comptes. Le secteur n’a pas fini de s’étoffer et d’élargir son offre. Les banques en ligne sont des banques qui réalisent des opérations bancaires en ligne sur internet.

Elles realisent des opérations bancaires classiques conformément à l’article L311-1 du code monétaire et financier qui donne la définition suivante : « Les opérations de banque comprennent la réception de fonds du public, les opérations de crédit, ainsi que les services bancaires de paiement Les banques en ligne proposent des services bancaires sans guichet et sans agences physiques Elles proposent l’ensemble des opérations de banque décrits par le Code monétaire et financier : comptes bancaires impliquant la ossibilité de détenir chéquiers et cartes bancaires, d’effectuer des virements et des prélèvements ; comptes d’épargne rémunérés de tous types; assurance-vle ; crédit immobilier et/ou à la consommation. Le mode de fonctionnement des banques en ligne est multi canal : internet, téléphone, courrier, webcam. Les contrats peuvent être souscrits totalement en ligne grâce à la signature électronique ou imprimés et le téléchargement en ligne des documents demandés (pièces d’identité, etc. ). Ils peuvent faire l’objet d’une souscription papier avec 15 demandés (pièces d’identité, etc. ). Ils peuvent faire l’objet d’une souscription papier avec l’édition automatique d’un contrat en PDF en ligne, qui est édité puis envoyé par courrier avec les pièces demandées.

Le dépôt des chèques peut également être effectué en ligne grâce à des bordereaux numériques qui datent l’opération et qui font gagner plusieurs jours dans les dates de valeur. Les chèques sont endossés au dos puis retournés à la banque en ligne par courrier qui les intègre au relevé de compte. Les retraits d’especes sont effectués avec une Carte Bancaire (Visa, Mastercard) à n’importe quel automate bancaire de retrait. Les fonctionnalités de retrait peuvent être paramétrés sur votre compte en ligne. Certaines banques en ligne proposent aussi un service de coffre fort électronique où on peut conserver en sécurité les documents importants numérisés (carte d’identité, passeport, livret de famille, contrats… ). La date de dépôt peut être certifiée, ainsi que la conformité à l’original.

Les conseillers bancaires à distance sont atteignables par téléphone, mail, webcam, chat ou courrier. Les banques en ligne ayant généralement des horaires d’ouverture plus large en journée et le week-end par rapport à des agences bancaires. Part de marché en volume : Plus de 15 millions de personnes utilisent les banques en ligne soit 13% de la population adulte. 2- Matrice BCG : Matrice BCG Forte rentabilité Faible rentabilité Forte croissance Vedette dilemme Faible croissance Vache à lait Poids mort D’après ce graphe, nous constatons que les banques en Ilgne occuperont un potentiel de croissance élevé et un part de marché aussi élevé. – Analyse SWOT : Forces PrlX compétitifs et très attractifs Simplicité et rapidité de transfert de données Confort bien supérieur à ce que peut offrir une banque traditionnelle Gagner du temps Plus besoin de se déplacer, gestion à partir de l’endroit où on se situe Comptes et services accessibles 24/24h et 7/7j Frais bancaires réduits Habilité des plates-formes, très sécurisées Conseillers accessibles par téléphone ou en visiophone, à des horaires élargis Large gamme de produits proposés pour offrir un service complet Rapidité de services Outils de gestion à disposition pour être autonome Faiblesse La sécurité des données Marché de plus en plus concurrentiel Contact humain difficile Peur d’une défaillance possible des lates-formes Nombreuses conditions p emplir pour avoir

PAGFd 5 renégociation des frais bancaires Marché encore jeune et très sensible aux fluctuations externes 4- Forces concurrentielles de porter : En premier lieu, nous envisageons les impacts des trois acteurs existants, les clients, les fournisseurs et les concurrents, pour traiter ensuite les deux facteurs de menace étant les produits substituables et les entrants potentiels. En dernier lieu, il y aurait la 6ème force qui serait le rôle des autorités de régulation. Le pouvoir de négociation des clients serait relativement forts car ces derniers eux-mêmes conditionnent la réussite du lancement u service de la banque en ligne et favorisent la rapidité de sa propagation. n client mécontent et Insatisfalt ne manquera pas de diffuser sa mauvaise expérience aux autres qui sans doute se référant sur ces échos-là et ne seront plus encouragés d’essayer ce sewice. Par contre, un client satisfait et très bien servi le fera probablement savoir aussi aux autres par l’effet de bouche ? oreille, ce qui inciterait son entourage à essayer ce service. Le pouvoir de négociation des fournisseurs : du fait de l’existence de nombreuses instltutions financières telles que les banques et es opérateurs de réseaux mobiles. En effet, les banques et les institutions financières ont un pouvoir de négociation très grand. Leurs intérêts résident dans le fait de minimiser les transactions en espèces et maximiser les paiements électronique en fidélisant les clients.

Ils possèdent le savoir-faire nécessaire et les compétences requises qui leur permettent de réussir les négociations, d’imposer I PAGF s 5 les compétences requises qui leur permettent de réussir les négociations, d’imposer leurs conditions et d’être plus précis dans le choix de leur cible, surtout quand la solution nécessite la réation d’un compte virtuel dont la gestion de ce dernier se fait par le fournisseur en accord avec la banque. La menace des nouveaux entrants : la forte concurrence qui dépend de l’intensité des barrières à l’entrée permettant aux fournisseurs de solution mobile de pénétrer le marché qui doit posséder des infrastructures doublés d’une régulation contraignante. La menace des produits substituables : le service du paiement mobile qui est offert est considéré comme produit de substitution. Il vient offrir une alternative au paiement comptant, par chèques et par cartes. Des efforts importants doivent être utilisés pour faciliter son acceptation par les consommateurs.

Les pouvoirs publics et les autorités de régulation : les régulateurs et les institutions ont Fobligation de favoriser la standardisation et la mise en place d’un cadre législatif pour envisager la mise en œuvre du paiement mobile. Cependant la règlementation sert à augmenter la confiance des utilisateurs et donne uniquement l’autorisation aux institutions financières d’effectuer des transactions via mobile ou pas. Mais, elle pourrait aussi ralentir le développement de ce moyen de paiement par l’imposition es lois d’identification des clients (Know Your Customer) qui ont pour objectif de lutter contre le blanchiment d’argent ainsi que le financement du terrorisme. – Le paiement mobile : Au lieu de payer en e 6 5 d’argent ainsi que le financement du terrorisme. 5- Le paiement mobile Au lieu de payer en espèces, par chèques, ou via cartes de crédit ou de débit, le consommateur peut utiliser son appareil mobile pour régler une large gamme de produits et services. Le « paiement mobile » serait un nouveau moyen de paiement qui pourra faciliter la vie quotidienne des gens. Ainsi, les transactions ont débités soit du compte bancaire, soit du porte-monnaie électronique ouvert en accord avec la banque du client, soit sur la facture du téléphone mobile si le service est géré par ropérateur téléphonique. l.

Historique du paiement mobile En 1997, le paiement mobile apparut quand la Banque Merita suite à sa fusion avec la Banque Suédoise Nord3ank pour en former la MeritaNordBank a commencé à effectuer les transactions de comptes via les instructions des clients envoyées pas sms. C’est ainsi que le service du paiement mobile est introduit et intégré. plus tard en 1999, deux des plus grandes plates-formes du Mobile-Commerce ont été lancé et à ce moment, le système national du paiement mobile fut introduit. petit à petit, l’utilisation des téléphones mobiles a augmenté et ainsi le mobile marketing a développe et a intégré les paiements électroniques via le mobile.

En 2000, la Norvège lance le parking mobile, puis en Autriche un autre concept apparait, c’est les billets de train mobile. En 2001, des conférences ayant pour objet le paiement mobile ont été données à Londres. Le marché du mobile s’est développé et continu à l’être jusqu’à ce jour. Tout le monde utilise un cellul 7 5 obile s’est développé et continu à l’être jusqu’à ce jour. Tout le monde utilise un cellulaire peu importe la classe socioprofessionnelle de chaque personne du fait qu’il existe des téléphones mobile à des prix abordables. Avec la globalisation et la technologie, il est évident que le système de paiement électronique prend place ensuite en Asie, aux Etats-Unis et au Canada. Il.

Le concept général du paiement mobile : Pour aborder le sujet du paiement mobile, il est intéressant de décrire un scénario typique de paiement mobile : Le client paie un marchand pour des biens ou des services. Le marchand envoie les détails de la transaction à l’acquéreur qul est en relation et en interaction avec le commerçant. L’acquéreur envoie les détails de la transaction au réseau financier auquel il appartient, qui transmet ensuite les informations à l’émetteur, qui est en relation et en interaction avec le client. Cémetteur, une fois informé, réserve les fonds au coté du client. Le client rembourse Fémetteur. L’émetteur paie le réseau financier. Ce dernier paie l’acquéreur qui rembourse le marchand.

Dans le cadre du paiement mobile, les procédures sont similaires, vec la seule différence que le client et le commerçant utilisent le mobile pour réaliser la transaction. Selon la technologie utilisée, par son téléphone mobile, le client déclenche une transaction de paiement avec un marchand indiquant le montant à payer et le destinataire. Le fournisseur de service de paiement demande la confirmation du paiement de la part du client. S’il reçoit la confirmation, le fourni 5 demande la confirmation du paiement de la part du client. Sil reçoit la confirmation, le fournisseur de service envoie un message de confirmation au commerçant et au client. L’émetteur débite le compte du client et l’acquéreur crédite le compte du marchand. Ill.

Différents types du Paiement Mobile : L’arrivée des Smartphones a contribué à la diversification des moyens de paiement mobile en répondant aux besoins des consommateurs devenus très exigeants à l’égard de tout ce qui est relié à la technologie. Les trois grandes catégories de paiement mobile prenant place sur le marché sont : le paiement à distance, le paiement ? proximité d’une borne et les transferts d’une personne à une autre entre des téléphones mobiles compatibles. Le paiement à distance englobe les paiements par SMS, le Quick Response et l’application mobile. Dans ce mode, le consommateur n’a pas besoin d’être présent au POS. Les paiements peuvent être faits n’importe où, n’importe quand, et n’ont pas besoin d’un terminal de point de vente (pos).

Le paiement par Quick Response est une application mobile qui consiste à scanner directement les produits. Il suffit d’enregistrer ses données bancaires sur son Smartphone puis réaliser un achat en scannant une image codée. Chaque achat serait validé ? l’aide d’un code pin personnel. Et en cas de vol, il est possible de bloquer l’application à distance pour des mesures préventives et e sécurité. Pour l’application Mobile, une fois téléchargée, il suffit de saisir son numéro de téléphone et un mot de passe pour pouvoir créditer son compte et effe PAGF 15 saisir son numéro de téléphone et un mot de passe pour pouvoir créditer son compte et effectuer ainsi des transactions avec des particuliers ou des commerçants.

Les paiements à proximité d’une borne nécessitent que le consommateur et le marchand soit à proximité pour permettre l’échange d’informations de paiement entre le téléphone mobile du consommateur et le terminal du marchand. A titre d’exemple itons l’utilisation du Near Field Communication (NFC) qui représente le standard futur. Il s’agit de puces NEC intégrées dans les téléphones mobiles permettant de communiquer sans fil et de stocker les informations. Le consommateur approche son mobile du terminal du commerçant pour effectuer le paiement. Finalement le paiement Person to Person qui permet les transferts d’argent entre les téléphones mobiles d’une personne à une autre. La personne émettrice est supposé passer par l’une des solutions élaborées.

Par contre, au cas où le récepteur du transfert ne possède pas l’application à l’intérieur de son éléphone mobile, il recevra un message détaillé du transfert en question avec un code pin. Ainsi il pourrait retirer l’argent reçu soit à l’aide d’un distributeur automatiques (ATM), soit à travers le service du Western unlon ou celui du Money Gram, soit à l’aide le guichet d’une banque ou enfin en s’abonnant au service du paiement mobile où l’argent serait crédité à son nouveau compte bancaire électronique, le porte-monnaie électronique (ou E-Wallet). Chapitre 3 : Paiement mobile au Liban : Le paiement mobile a réellement pris son essor ces cinq dernières années