étude de satisfaction

Mémoire de fin d’étude Page de garde Remerciements Au terme de ce stage, je tiens a remercier toutes les personnes qui, de prés ou de loi stage. Ce qui m’a per en me familiarisant a mes acquis théoriqu Ma gratitude à M. Asa sal or 17 Sni* to View éroulement de ce es connaissances et de concrétiser eprise, M. Mohamed ouard Belgnaoui mon encadrant ecole qui m’ont aidé pendant et après mon stage, et qui ont veillé au bon déroulement de mon stage.

Je tiens à remercier l’ensemble du corps professoral de PEFA pour leur formation de qualité qui m’a permis de mettre en pratique es connaissances théoriques et me familiariser avec le monde du travail. Je tiens également à présenter tous mes sentiments de gratitude à toute l’équipe d’UNICONSO Sommaire monde arabe. Seulement 39,3 % des enfants entre 9 et 16 ans y sont scolarisés.

L’objectif de l’éducation pour tous d’ici 2015, fixé par l’Unesco, est une priorité : 100 % d’enfants scolarisés, à l’égal du monde occidental. Malgré les efforts, il ya encore 9. 6 millions d’analphabètes marocain, en 2011-2012, 735 000 personnes ont bénéficié du programme d’alphabétisation. Ils sont 6 millions ces dix dernières nnées. Le taux de Marocains ne sachant ni lire ni écrire est estimé à 30%. II était de 43% en 2004.

On est passé d’une réduction d’un point par an à deux points. Présentation du système éducatif marocain La structure du système éducatif marocain, comme celle des deux autres pays d’Afrique du Nord, l’Algérie et la Tunisie, est semblable à celle du système français malgré une arabisation presque achevée de l’enseignement, mixte en grande partie. Histoire de l’enseignement primaire : Avant Vindépendance : L’enseignement a toujours été, dans le Maroc, une préoccupation rioritaire.

L’école coranique, petite école primaire appelée Msid assuralt aux jeunes enfants, dès l’âge De cinq ans et quelle que soit leur origine sociale, une formation sur la mémorisation des sourates du coran. En principe ouvertes à tous, ces écoles étaient cependant largement mieux organisées dans les villes que dans les compagnes. L’orsqu’en 1912, les Français instaurent le protectorat et mettent en avant leur souci d’assistance et de formation d’un peuple, ils ne s’lmaginaient pas pébetrer dans un pays au passé éducatif si ancien et riche.

Si les noms des universités de Bologne , Oxford , Cambridge, la Sorbonne évoquent les institutions universitaires les plus anciennes et les plus presti ieuses du monde,les Français découvrant le Maroc, lui ourtant la paternité du 13 prestigieuses du monde,les Français découvrant le Maroc, lui reconnaitront pourtant la paternité du joyau ancien du patrimoine universitaire mondial : la Qaraouiyine de Fes , créée au Siècle.

Mais, déjà, bien avant l’instauration du protectorat francais, le système éducatif marocain ne se limite pas aux seules institutions u royaume chérifien , mais coexiste avec des institutions d’origine très diverses. Ainsi, le premier établissement juif de l’Alliance Israélite universelle en 1862 à Tétouan , bientôt suivi d’autres dans les principales villes marocaines. Les Français n’avaient pas non plus attendu le Traité de Fès pour lancer le principe des écoles franco-arabes dans les villes et le plus souvent dans les consulats.

En 1912 donc, les Français recensent les institutions existantes, comparent leurs capacités d’accueil et de formation avec les objectifs qu’ils se sont fixés en matière d’enseignement et ettent peu à peu en place un système intégrant les données locales et les apports du pays de tutelle. Le but annoncé est de généraliser l’accès à l’enseignement et de l’élargir à un pourcentage plus conséquent de la population en âge d’être scolarisée.

Ce point de vue est partagé par le Maréchal Lyautey qui s’est toujours personnellement intéressé aux questions relatives ? l’éducation, et qui souhaite former une pépinière de jeunes gens, médiateurs entre deux sociétés qu’il souhaite faire coexister en harmonie. Ces derniers sont appelés à former Hélite intellectuelle vec laquelle il entend coopérer. Ainsi débauche, lentement, un système où la multiplicité et la diversité rivalisent, mals où comme dans la période précoloniale, les jeunes Marocains ne trouvent pas tous leur place. Les Français se heurtent, en effet, aux mêmes difficultés que celles tous leur place.

Les Français se heurtent, en effet, aux mêmes difficultés que celles rencontrées les décennies précédentes par le pouvoir marocain et que ce dernier devra de nouveau tenter de surmonter à l’Indépendance: difficultés qui tiennent ? ne conjonction de facteurs (de l’accroissement de la pression démographique à la diversité croissante de la demande scolaire), facteurs qu’engendre une société en perpétuelle mutation et qui expliquent la trop lente progression du taux d’alphabétisation. Apres l’indépendance Après l’indépendance du Maroc le pouvoir est aux mains de ce que fon appelle au Maroc le mouvement nationaliste.

Le gouvernement marocain a entrepris de mettre en œuvre de vastes réformes de l’enseignement général et de l’enseignement technique et professionnel. En dépit des défis économiques encontrés dans les années 1990 et début 2000, le gouvernement a poursuivi ses efforts concertés pour améliorer l’ensemble du paysage éducatif. En 2006, les dépenses d’éducation s’élevaient ? 5,5 % du PIB, plaçant le pays à un niveau de dépenses d’éducation en % du PIB plus élevé que celui d’autres pays arabes comme Oman le Koweit ou l’Egypte.

Depuis le début de 2000, les taux brut de scolarisation n’ont cessé d’augmenter régulièrement à tous les niveaux. Les taux d’achèvement du primaire ont augmenté, passant de 57,8 % en 2004 à 61,7 % en 2006. Malgré cette amélioration, le système éducatif du Maroc doit faire face à des disparités entre les sexes ? tous les niveaux, des taux d’abondant et de redoublement élevés, en particulier dans l’enseignement prlmaire et secondaire, et ? une pression accrue sur l’enseignement supérieur pour absorber le nombre croissant de diplômés du secondaire.

Le Maroc occupe le 130ème rang de l’Indice de développement humain ( de diplômés du secondaire. humain (IDH). Le taux d’alphabétisation des adultes marocains atteignait 52 % en 2004. Bien que les taux d’achèvement des ?tudes et de scolarisation se soient améliorés, la possibilité d’atteindre les ODM est incertaine dans le cas du Maroc. L’école est devenue obligatoire pour tous les enfants marocains âgés de 6 à 13 ans en 1963. ? partir de cette date, toutes les matières ont été arabisées dans les deux premières années d’école, tandis que le français a été maintenu comme langue d’enseignement des mathématiques et des sciences dans les cycles du primaire et du secondaire. Quelques années plus tard, pour répondre à la demande croissante d’enseignement secondaire dans les années 70, le Maroc a fait venir des nseignants francophones de pays comme la France, la Roumanie et la Bulgarie pour enseigner les mathématiques et les sciences, et des enseignants arabes pour enseigner les humanités et les sciences sociales.

En 1989, l’arabisation de toutes les matières dans toutes les classes des cycles du primaire et du secondaire a été achevée. Toutefois, le français a été conservé comme langue d’enseignement des matières scientifiques dans les écoles techniques et professionnelles du secondaire, les établissements d’enseignement technique, les écoles supérieures de technologie et les universités. Le gouvernement a mis en place plusieurs réformes visant à améliorer l’accès à l’éducation et à réduire les différences régionales en matière d’enseignement.

Mohammed VI a décidé d’instaurer une « Décennie de l’éducation » couvrant la période 1999-2009. Au cours de cette pér10de, l’inltiative de réforme gouvernementale a été centrée sur cinq thèmes principaux pour renforcer le rôle des connaissan renforcer le rôle des connaissances dans le développement économique : l’éducation, la gouvernance, le développement du secteur privé, l’e-commerce et l’accès.

Le Maroc a aussi réussi ? améliorer le système éducatif de base avec l’aide de la Banque mondiale et d’autres organismes multilatéraux. Liste des écoles Primaire au Maroc. Ci dessous la liste complète des écoles Primaire de l’enseignement Public et privée au Maroc partitionné selon les académies et les délégations.

Académies Nombres d’établissement Académie de la région du Grand Casablanca 484 établissements Académie de la région de Fès-Boulmane 356 établissements Académie de la région de Taza-El Houceima-Taounate 506 établissements Académie de la région de Tanger-Tetuan 27 établissements Académie de la région de Tadla-Azilal 332 établissements Académie de la région de Souss-Massa-Dra 1348 établissements Académie de la région de mmour-Zair PAGF60F13 comporte 484 écoles primaires de l’enseignement public et privée au Maroc.

Ce nombre est très faibles par rapport au nombre de la population de cette région qui est de 3 750 500 (recensement 2008), soit 12. 1 pour cent de la population nationale. Entre1960 et 2004, la population du Grant Casablanca a plus que triplé en passant respectivement de près de 1 . 1 millions à 3. 6 illions de personnes. La population du Grand Casablanca s’est accrue annuellement del . 5 pour cent entre 1 994 et 2004 enregistrant ainsi une augmentation de 504 276 en dix ans.

L’évolution de la population de la Région du Grand Casablanca. Année du recensement Nombre d’habitants Taus d’accroissement annuel moyen en pour centage 1960 1 070 359 1971 1 718 921 4. 4 1982 2 470 434 3. 4 1994 3 126 785 2. 4 2004 3 631 061 1. 5 2008 3 750 500 PAGF70F17 enseignées à l’école primaire, le nombre d’heure enseigné par matière varis d’une école à une autre surtout dans le secteur rivé, voici donc la grille nationale des matière enseignées ? l’école prlmaire.

Grille des matières enseignées à l’école primaire 1re année 2e année Be année 4e année Se année 6e année Éducation islamique 4 Langue arabe 6h Langue française Éducation artistique Éducation technlque +2 h 30 min +1 h 30 min PAGF UNICONSO : Eduquer à une consommation responsable . Développer un esprit critique, une responsabilité.

Uniconso s’engage dans des compagnes d’information de sensibilisation, de mobilisation ou encore d’actions pédagogiques auprès de ses dhérant, d’une part, mais aussi auprès de tous consommateurs. Plutôt que de traiter le problème à la place du consommateur, Uniconso l’aide à comprendre ka réglementation et à trouver une solution. par ailleurs, elle propose aux divers intervenants sociaux éducatifs de mettre en place des compagnes d’information sur des questions de vie quotidienne et de consommation.

Elle propose aussi des outils pédagogiques permettant aux consommateurs d’accéder à une consommation responsable, garante du respect de l’environnement, d’un développement économique et d’un milieu social plus juste. Contribuer à la transformation sociale Au-delà du problème individuel, c’est pour les consommateurs que Uniconso s’implique. Qu’il s’agisse du respect des droits, de la qualité d’un service mais aussi de l’élaboration de nouvelles normes ou réglementation.

De la même façon, Passociation agit dans la moralisation des relations commerciales : compagne sur l’étiquetage, la sécurité alimentaire, le surendettement, produits non agressif pour l’environnement, aliments sains. Négocier : La conciliation et la médiation doivent être privilégiées, la voie udiciaire. Car Uniconso a la conviction que l’amélioration durable des produits et sen,’ices e à plat repensée confrontent leurs points de vue avant de s’engager sur de positions réalistes et tenables.

Uniconso figure parmi les associations actives de la la Fédération Nationale des Associations du Consommateur « FNAC L’association de consommateurs est un mode de regroupement de personnes physiques et morales, dont l’objet est la défense des consommateurs par tous moyens légaux, éventuellement la gestion de leurs relations avec des partenaires commerciaux et a résolution de situations conflictuelles avérées ou non dans le cadre de ces relations. LE ROLE DE L’ASSOCIATION DE CONSOMMATEURS : Rôle de [‘association de consommateurs .

Le rôle de l’association de consommateurs consiste fondamentalement à : informer les consommateurs sur leurs droits et obligations dans le cadre de leurs relations de commerce, encadrer les consommateurs pour leur permettre de faire valoir leurs droits, notamment en leur apportant, outre l’information nécessaire, le poids et la notoriété de l’association, • interpeller tout fabricant, commerçant ou prestataire de service our lui rappeler ses obligations vis à vis des consommateurs en général, • se substituer à tout consommateur pour ester en justice ? propos de tout litige ou différend survenu lors d’une transaction commerciale telle que définie par la loi 31/08 édictant les mesures de protection dus consommateurs et par le Code de Commerce (loi 15-95 Dahir du 1er Août 1996) et plus généralement, œuvrer pour établir et maintenir des relatlons de respect mutuel entre les consommateurs et les opérateurs économiques impliqués dans la production et/ou le commerce de biens et/ou services. Mode d’exercice : 17