une larme m’a sauvé

Fiche De Lecture Une Larme M’ A Sauvé l. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Titre Une larme m’a sauvée Auteur Angèle LIEBY, Hervé CHALENDAR Note sur l’auteur En Alsace où elle vit, Angèle a rencontré Hervé de Chalendar, journaliste aux Dernières Nouvelles d’Alsace. Ému par son histoire, il en a fait le récit dans le quotidien où il travaille et a obtenu le prix Hachette. Ensemble, ils ont décidé d’écrire un livre. L’histoire d’Angèle a aussi fait l’objet d’un portrait dans l’émission de TF1 « 7 Date de l’édition 22/ Nombre de pages 23 Edition ARENES(LES) Référence des publications Reference web pour la note sur l’auteur 2.

SYNTHESE DE L’OUVRAGE A travers le livre « une larme m’a sauvée Angèle Lieby, dans un témoignage poignant, nous fait revivre la maladie qui l’a foudroyée un 14 juillet 2009. Des migraines « je n’avais jamais connu ça » avec des signes avant-coureurs « acidité de l’ananas, du citron dans le poisson D, des changements d’habitudes « je prends le bus de l’entreprise d’habitude, ce jour-là rai pris la voiture » mais surtout les picotements ressentis au bout des corps » dans le noir total, mais totalement consciente : « ‘entendais tout et tout le monde me disait réveille-toi ! ais dans un état végétatif. Elle passe par tous les stades non-respect de sa dignité humaine, dabord envers son mari (annonce faite à celui-ci d’entamer les démarches mortuaires après quatre jours), et subit les humiliations du personnel saignant qui la croyait déjà morte « on ne lui fera plus qu’un soin par jour, ça ne sert à rien elle va clamser Elle ne doit son salut qu’à la persistance de son mari et de sa fille à ne pas débrancher les appareils. Et le jour de leur anniversaire de mariage un 25 julllet, sa fille voit ne larme couler de son œil que l’équipe assimile initialement ? du gel.

Mais la ténacité d’Angèle à survivre lui permet de bouger un doigt. Commence alors une rééducation lente et douloureuse : pour elle les gestes les plus simples comme respirer ou marcher deviennent de véritables moments de calvaire. Elle réapprend les gestes de base, comme parler, pour arriver, après quelques mois, à retrouver une complète autonomie. pour elle, le passage à l’hôpital lui a laissé des traces et a créé une « phobie » comme, elle ne comprend pas comment on peut soigner ainsi.

Au-delà de la douleur physique, une douleur se révèle plus intérieure : « les seules plaies que j’aurai à vous montrer se concentrent sur une seule partie de mon être : elles ne blessent que mon ame Enfin elle recense dans son livre PAG » OF d seule partie de mon être : elles ne blessent que mon âme Enfin elle recense dans son livre les bonnes mais surtout les mauvalses pratiques afin d’alerter et de faire prendre conscience que dans toute maladie il y a un malade. ? À l’hôpital on soigne la maladie, mais on doit d’abord soigner le malade » Une phrase marquante qui résume le tout « soigner ne se limitera amais à un acte technique : c’est aussi savoir écouter, entendre au-delà des silences » car selon les médecins, quand le cerveau est plat, tout est fini. Alors que pour Angèle Lieby tant que le cœur bat on est vivant. 3. COMMENTAIRES PERSONNELS SUR L’EXTRAIT DE L’OUVRAGE Lorsque l’on est passé par des situations similaires (un membre de la famille), on s’identifie à la situation.

Après avoir lu ce livre j’ai été bouleversé par le témoignage d’Angèle Lieby mais aussi sur les durs moments passés en hospitalisation, Angèle Lieby nous interpelle sur certaines pratiques et conduites de l’équipe soignante, bonnes ou auvaises, surtout de la part des médecins. Elle fait part de sa violence ressentie jusque dans sa chair lorsqu’elle entend un médecin dire : « vous savez comment on peut s’assurer qu’une personne est vivante ou morte, vous prenez un téton, comme ça et vous le pincer en tirant d’un coup violent ! ? ou en entendant un autre annoncer à son mari : « après quatre jours vous pouvez commencer à faire les démarches mortuaires ! Les mauvaises pratiques de l’équipe so vous pouvez commencer à faire les démarches mortuaires ! » Les mauvaises pratiques de l’équipe soignante, surtout ce mot e « savant » qu’elle qualifie comme tout connaitre et qui peut décider selon ses diagnostics propres qui a le droit de mourir ou de vivre.

Je retiens aussi le courage dont a fait preuve sa famille, surtout son mari Raymond qui, à un moment donné, a douté sur la certitude des conseils médicaux, et a fini par se ressaisir afin d’accompagner fidèlement sa femme dans le malheur « pour le meilleur et pour le pire ». Comme quoi dans la vie il faut toujours aller au bout des choses car l’homme est un homme et peut se tromper. 4. OBJECTIFS OPERATIONNELS EN LIEN AVEC L’OUVRAGE QUE JE

SOUHAITE DEVELOPPER DANS MA PRATIQUE PROFESSIONNELLE En tant que futur infirmier je souhaiterais développer : Un peu plus d’humanisme et d’empathie : en effet cela ne s’apprend pas dans les livres. – Avoir une écoute attentive et essayer de répondre aux besoins de la famille, les rassurer même si l’espoir est mince. Eviter les mauvaises pratiques, les violences corporelles ou psychologiques. – Respecter la dignité de la personne. – Mais surtout resté moi-même. 5. LECTURES PRECEDENTES : Titre : Promouvoir la vie. De la pratique des femmes soignantes aux soins infirmiers (lecture en cours