Deuxième Guerre Mondiale : Camp de concentration de Natzwiller-Struthof.

Contexte historique. Vie des camps. Description du KL. Processus d’extermination. Ressenti personnel. or7 Sni* to View Contexte historique Les camps de concentration et d’extermination furent crées de concentration. Avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale les nazis ont déporté des millions d’êtres humains dans des camps de concentration. Ils ont arrêté et persécuté des juifs car ils les jugeaient inférieurs, mais également des anciens criminels, des prisonniers politiques, des réfractaires au travail, des homosexuels, des témoins de Jéhovah, des tsiganes, des asociaux et des apatrides.

Les déportés étaient généralement transportés jusqu’au camp dans des wagons fermés de l’extérieur, avec peu d’air et presque pas de nourriture. A rarrivée certains sont morts étouffés, d’autres ont été abattus pour avoir tenté de fuir pendant un arrêt du train. Les hommes sont séparés des femmes et des enfants puis il y a la sélection, faite par des médeclns SS, entre ceux qui sont jugés aptes au travail et ceux qui vont être immédiatement tués dans des chambres à gaz. Un dossier est constitué pour chacun des déportés.

Ils doivent également remettre leurs affaires personnelles. Ensuite ils sont tondus et ésinfectés. A la fin ils doivent coudre sur une tenue qui leur a été donnée un triangle de couleur en référence à leur catégorie. Anciens, femmes, hommes comme enfants sont dépersonnalisés, on leur donne un numéro et ils sont désormais traités comme des animaux. La vie dans le camp est très dure, beaucoup d’hommes meurent chaque jour de maladie, de faim, de fatigue. Les SS n’hésit PAG » rif 7 est très dure, beaucoup d’hommes meurent chaque jour de maladie, de faim, de fatigue…

Les SS n’hésitent pas à cogner les déportés, par exemple ils font des croche-pieds sur le ravin de la mort pour que les détenus ombent. On les accuse alors de vouloir s’échapper et ils sont exécutés. Ils reçoivent également de nombreux coups, si les détenus sont trop faibles cela peut leur coûter la vie. La nourriture qui leur est donnée est clairement insuffisante, pour preuve, Fétat décharné des prisonniers. Ils n’ont droit le midi et le soir qu’à une soupe, à savoir juste de l’eau avec quelques épluchures de pommes de terre, parfois quelques feuilles de choux ou des navets flottant dans Peau.

Le soir la soupe est plus épaisse, contenant quelques pommes de terre mal pelées, noirâtres et parfois pourries. es prisonniers ne reçoivent pas lus de 1 ‘000 kcal par jour, ce qui est bien inférieur à l’apport calorique vital minimal. Ceau n’est pas potable, ils obtiennent donc maximum un demi-litre de café non-sucré par jour. Les détenus souffrent beaucoup de la soif. Pour dormir, les prisonniers sont entassés dans des dortoirs. Le manque de sommeil est constant, car ils dorment très peu, très mal et sont réveillés à l’aube.

Ensuite, une lourde journée de travail les attend dans des conditions difficiles, telles que le froid et le vent, la faim et la soif. A n’importe quelle heure du j PAGF3C,F7 difficiles, telles que le froid et le vent, la faim et la soif. A n’importe quelle heure du jour ou de la nuit les SS font l’appel – pour regarder s’il y a bien tout le monde – les déportés peuvent être forcés de rester des heures debout et les intempéries n’y changent rien. L’appel est surtout fait pour fatiguer les détenus encore plus.

Description du KL Le camp de Natzwiller-Struthof se trouve sur le flanc d’une colline en Alsace. II est entièrement entouré de hautes palissades et de fils de barbelés, dans le but d’empêcher les détenus de s’enfuir. Derrière les fils de barbelés il y a de petites maisonnettes où des gardiens étaient postés, ils abattaient quiconque dépassait es limites, ils surveillaient également les détenus. Directement à l’entrée du camp il y avait un « bureau des admissions » où les SS donnaient aux déportés un matricule, leurs prenaient leurs valeurs, les rasaient, etc…

Il y avait plus d’une douzaine de baraques où dormaient les détenus, disposés sur l’entièreté du terrain, deux par deux. Le camp fut à l’origine construit pour abriter à peu près 2000 personnes, mais il arrivait qu’il en contienne plus de 7000. Tous les déportés étaient alors entassés. Tout en bas à gauche se trouvait le block cellulaire où les éportés qui avaient commis une infraction au règlement étaient enfermés plus ou moins longtemps. Il y avait plusieurs degrés de pun infraction au règlement étaient enfermés plus ou moins longtemps.

Il y avait plusieurs degrés de punitions. La première : Le détenu était enfermé pendant trois jours, avec couchette en bois, pain et eau. La deuxième : Le détenu était enfermé pendant une durée qui pouvait aller jusqu’à 42 jours, couchette en bois, pain et eau. La troisième : Pendant les trois jours qui précédaient une exécution, avec ni possibilité de s’asseoir ni de se coucher, pain et eau. A côté il y avait le block crématoire où les corps était brûlés, les cendres était disposées dans un genre de fosse commune.

L’eau des douches avec laquelle les détenus se lavaient était chauffée grâce au four crématoire. Sur toute la longueur du camp se trouvait le ravin de la mort. Beaucoup de déportés y sont morts. Facllement envisageable si on prend en compte qu’ils n’avaient plus que la peau sur les os et devaient gravir cette pente plusieurs fois par jour, avec plusieurs dizaines de kilos sur le dos. La potence était l’endroit où ceux qui devaient se faire exécuter étaient pendus. Certains ont également été tués d’une balle dans la tête ou bien sûr dans la chambre à gaz.

Cette chambre à gaz n’était d’ailleurs pas au camp, mais environ deux kilomètres plus bas. Processus d’extermination un des grands buts que s’était fixé Hitler, c’était de rayer la race juive des cartes, qu’il jugeait inférieure et impure. Pour fixé Hitler, c’était de rayer la race juive des cartes, qu’il jugeait inférieure et impure. Pour ce faire il utilisa plusieurs méthodes. 1. Attaques physiques envers les juifs, alors même qu’ils n’étaient pas dans des camps. La population nazie les brutalisait et les umiliait. 2. La faim fut aussi utilisée.

Les juifs étaient rassemblés dans des ghettos et n’étaient pas ravitaillés. 3. La shoah par balles fera plus d’un million de victimes avec pelotons d’exécutions et pendaisons. 4. Après, avec les camps de concentration, les conditions de vie (ou même de survie) étaient si déplorables que beaucoup en mouraient. 5. Et pour finir les camps d’exterminations. processus efficace et peu coûteux. On y enfermait les prisonniers (nus), on les gazait, puis leurs corps étaient brûlés (bien sûr avant ça, les SS n’omettaient pas de leurs arracher leurs dents en or, toutes essources étaient bonnes à prendre).

Dans des camps comme celui de Natzwiller-struthof 50000 personnes pouvaient être éliminées en un seul jour. Il y eut dans certains camps, notamment celui de Natzwiller – Struthof, des expériences médicales pratiquées sur des détenus- morts ou vivants. Ils pratiquerent des expériences de vaccinations, notamment de typhus. Ils utilisaient des piqures, des injections des scarifications et des opérations. Cela entraîna la mutilation et la mort de nombreux déportés. Un de scarifications et des opérations. Cela entraîna la mutilation et la mort de nombreux déportés.

Un des médecins fit même une collection de corps. Lorsqu’on rentre dans le camp, on ressent de la tristesse et de la peine. Il y a également une sorte de sentiment étrange et désagréable qui nous atteint. Savoir que tant de gens sont morts là est en réalité assez dur à imaginer. Car si l’on ne sait pas qu’il y a un four crématoire et un bloc cellulaire, le fil de fer barbelé est la seule chose choquante des environs (à part bien sur le lieu de pendaison mais je préfère l’oublier). Moi, je tente de m’imaginer ce qui s’est passé en me basant sur les témoignages et les films.

Je pense aux hommes morts de fatigue, aux soldats prenant un malin plaisir à jouer aux bourreaux, aux enfants trop jeunes pour comprendre totalement ce qui se passe autour d’eux. J’entends les derniers souffles des hommes, les cris des enfants et les pleurs des femmes. Puis on entre au crématoire et l’on peut mettre un nom sur tous ces fantômes du passé imagé. Pour moi la sensation la plus forte n’est pas la vue, mais le toucher. Quand on effleure le fer du four, qu’on sent le froid sur nos doigts on revoit presque toutes ces personnes décédées pour que le besoin de grandeur de certalns soit satisfait.