Le corpus que nous avons étudié est composé de trois textes ; « A une mendiante rousse » tiré de « Les fleurs du mal » de Charles Baudelaire datant de 1857, « Le mendiant extrait de « Lescontemplations » de Victor Hugo datant de 1856 et enfin, « Les mendiants » tiré de « Les compagnons Hallucinées » écrit par Emlle Verhaeren datant de 1893. Nous pouvons d’or et déjà constater que le thème dela mendicité est commun aux trois œuvres et nous demander ; comment le mendiant est-il présenté ?
Premièrement, il est évidant à la lecture de ces poèmes, que les mendiants sont caractérisés parleur pauvreté ce qui affecte ‘auteur, qui tente de utilisant le champs le 1, vers 1 «LJn pauvre le texte 3, vers 3 « mi Les mendiants sont possèdent pas d or2 Sni* to View nextÇEge Swipe to Wew next page itié du lecteur en t le cas dans le texte 3 « La pauvreté » et generaux, ne de noms ceci nous permet de comprendre que l’on parle d’unmendiant parmi tant d’autres mais qu’ils sont, hélas, tous dans la même situation.
Ensuite, ce sont des inconnus vulnérables, en effet, il s’agit dan le premier texte d’un vieil homme, vers 6, «Cétait le vieux » et dans le second vers 1 « blanche fille » d’une femme, qui est donc hysiquement plus fragile qu’un homme.
Pour accentuer cette situation de fragilité et de danger qui pèse sur lemendiant, ils sont placés dans un contexte hivernal, texte 1 vers 1 « le givre » et texte deux vers 1 « les jours d’hiver quand le froid serre Puis dans les trois textes, leurs vêtements sont décrit demanière minutieuse pour insister sur le fait qu’ils ne possèdent rien, on peut noter que ces derniers sont troués, texte 1, vers 20 « Piqué de mille trous » texte 2, vers 2 « la robe par ses trous »et dans le texte 3, cette idée de trous et reprise dans les derniers vers pa