Les enjeux du clouds Ces dernières années, les entreprises sont confrontées ? l’augmentation exponentielle de leur volume de contenus, entraînant un accroissement de leurs risques Juridiques et de leurs coûts de stockage. Alors qu’elles doivent toujours faire plus avec moins, elles ont l’opportunité d’engager sans tarder un programme autour de la valorisation de leur capital informationnel et des moyens capables de leur assurer à la fois une bonne gouvernance de l’information, et un retour sur investissement très rapide. ? Risque, Valeur et Coût » sont précisément les trois principaux paramètres avec lesquels un rogramme de gouvernance de l’information, joue. to nextÇEge La gouvernance dans localisation des donn s, org personnelles, et emp he d’information, par ra On constate très vite rise de la données ropries ns nationales. s de maitrise de la conformité et des risques r glementaires et juridiques ainsi que du coût lié au stockage et à la conservation de l’information.
L’application de politiques de gouvernance de l’information, propagées de façon homogènes à l’ensemble des contenus de l’entreprise, facilite et renforce la bonne maitrise du cycle de vie de ses contenus, marqué par des temps forts, comme ‘anonymisation, la sécurisation, le déplacement automatisé, le gel juridique ou encore le sort final,… Ce programme de Swipe to View next page gouvernance répond aussi aux nouvelles préoccupations, telles que la traçabilité et la mise en conformité des contenus logés dans le cloud, ou du big data ou encore des réseaux sociaux.
Et l’ingrédient-clé en est la plateforme de gouvernance. Avec l’évolution rapide des infrastructures informatiques vers le « cloud », plateforme de gouvernance et contenu à gouverner vont se trouver le plus souvent dans des contextes hybrides. Par xemple, la plateforme hors du cloud gouvernant des contenus hors et dans le cloud ; ou la plateforme dans le cloud gouvernant des contenus également dans et hors le cloud.
Il serait d’ailleurs plus approprié de parler de « clouds » au pluriel. Le placement sous gouvernance de contenu ou le déplacement de contenu sous gouvernance est un facilitateur du passage vers le cloud. Mais plus important, la gouvernance « dans le cloud » renforce la maîtrise de la localisation des données, de la protection des données personnelles, et empêche les transferts inappropriés d’information, par rapport à de réglementations ationales.
C’est dans cet état d’esprit que RSD propose son nouveau concept IGaasm, un modèle de Gouvernance de l’Information totalement adapté pour les environnements Cloud. Il permet aux entreprlses de capitaliser sur les mêmes politiques applicables à l’ensemble de leurs contenus où qu’ils soient stockés, papier ou électronique, de conserver le même programme et bien sûr d’optimiser leur investissement autour de RSD GLASS@, la plateforme de gouvernance de l’information. Les principe investissement autour de RSD GLASS@, la plateforme de gouvernance de l’information.
Les principes sous-jacents au cloud computing remontent aux années 1950 (longtemps avant que ne naisse l’expression « cloud computing À cette époque, les utilisateurs accédaient depuis leurs terminaux à des applications fonctionnant sur des systèmes centraux (les mainframes), qui correspondaient aux ancêtres des serveurs du cloud. Les architectes de réseaux (ceux qui conçoivent les réseaux intra- et inter-entreprise) schématisaient l’Internet par un nuage dans leurs croquis.
En anglais, on parlait alors de « the cloud », ce qui signifiait à peu de choses près l’Internet. Au début des années 2000, sont apparus des hébergeurs Web capables d’héberger des applications dans leurs locaux informatiques. Dans ce contexte, l’ancêtre du Saas correspondait au ASPI 2. Les premières applications Web 2. 0 qui ont été déployées en cloud computing : le courrier électronique, les outils collaboratifs, le CRM, les environnements de développement et de test (informatique)13.
La promotion du cloud computing public a été rendue possible par la généralisation des accès l’Internet des partlculiers (avec 75 % des ménages [Où équipés de l’Internet à domicile, selon les onnées 2011 du Crédoc(réf. nécessaire]) et des entreprises. Le phénomène a aussi bénéficié de l’augmentation considérable de la puissance des équipements informatiques, qui ont permis aux hébergeurs de proposer des tarifs de plus en plus intéressants.
En ce sens, la mode du cloud compu En ce sens, la mode du cloud computing tire parti : de l’augmentation considérable de puissance des serveurs (la fréquence de fonctionnement des serveurs a été multipliée par un facteur 10 entre 1998 et 2008, les processeurs comportent entre quatre et dix cœurs) ; et de la baisse des coûts de stockage pour le prix d’un disque dur de 1,2 Go en 2000, on a en 2013 un disque de 1 000 Go). Aspects contractuels Contrairement aux particuliers, qui ont assez peu de marges de manœuvre, les entreprises sont amenées à contractualiser les services de cloud computing qu’elles achètent.
Les clauses des contrats de services cloud concernent principalement la disponibilité, la sécurité, la confidentialité et le support. Les garanties relatives à la confidentialité des données, à la traçabilité des opérations et à la qualité des services sont ? définir clairement notamment pour les applications critiques u manipulant des données à caractère personnel, stratégique ou lié à une quelconque législation. À noter qu’en matière de conformité règlementaire, c’est bien l’entreprise cliente qui en reste juridiquement responsable, le fournisseur agissant en tant que sous-traltant…
La réversibilité doit être encadrée avec précision dans le contrat qui lie tous les acteurs concernés. Également à surveiller : les engagements de disponibilité, la fréquence des sauvegardes, ainsi que le rôle respectif des différents acteurs, dont le nombre oscille entre un et quatre (par exemple PAGF ôle respectif des différents acteurs, dont le nombre oscille entre un et quatre (par exemple : éditeur, hébergeur, intégrateur et opérateur réseau. Conséquences Pour les fournisseurs, le développement du cloud computing entraîne le développement des centres de données ou datacenters.
Les fournisseurs de service doivent augmenter leurs infrastructures (serveurs, bande passante, rn2… ) pour faire face aux besoins crolssants des clients. Les modèles proposés par ces prestataires doivent également évoluer, le cloud privé transformant les modèles économiques qui prévalaient jusqu’ici31 . ? titre d’exemple, Salesforce. com, pionnier dans le domaine de l’informatique dans le nuage, gère les données de 54 000 entreprises, et leurs 1,5 million d’employés, avec seulement 1 000 serveurs (mars 2009).
Un déplacement des effectifs informatiques vers les opérateurs de clouds est une conséquence logique de cette tendance. pour les utillsateurs, particuliers et entreprises, la locatlon de seraices associée au cloud computing permet généralement de réaliser des économies à court terme. Mais le coût total à moyen et long terme peut se révéler, au bout de quelques années, upérieur au coût d’une application hébergée en interne. Cela dépend du mode d’utilisation (fréquence, nombre d’utilisateurs… et de la durée de vie de l’application. Un calcul comparatif s’impose avant de faire son choix. Ce calcul ne doit pas se limiter aux coûts directs, mais doit aussi intégrer l’ensemble des coûts cachés que le cloud va permettre d’économis directs, mais doit aussi intégrer l’ensemble des coûts cachés que le cloud va permettre d’économiser ainsi que l’impact des avantages du cloud sur le business de l’entreprise (productivité accrue, recentrage métier… ).
La tâche n’est pas forcément facilitée par les modes de facturation proposés qui sont parfois peu « lisibles », et dépendent de plusieurs paramètres • l’utilisation des fonctions (volumétrie), le coût de production ou de mise à disposition, incluant les évolutions, le degré de complexité, et enfin le tarif locatif du service. Les durées d’engagement peuvent varier d’un prestataire à l’autre mais restent pour la plupart autour de deux ou trois ans. Les Avantages Le cloud computing peut permettre d’effectuer des économies, notamment grâce à la mutualisation des services sur un grand nombre de clients.
Certains analystes indiquent que 20 à 25 % d’économies pourraient être réalisées par les gouvernements sur leur budget informatique s’ils migraient vers le cloud computing32. Comme pour la virtualisation, l’informatique dans le nuage peut être aussi intéressante pour le client grâce à son évolutivité. En effet, le coût est fonction de la durée de l’utilisation du service rendu et ne nécessite aucun investissement préalable (homme ou machine). L élasticité » du nuage permet de fournir des services évolutifs et peut permettre de supporter des montées en charge.
Inversement, le fournisseur a la maitrise ur les investissements, est maître des tarifs et du catalogue des offres, et peut se rémunérer d’autan investissements, est maître des tarifs et du catalogue des offres, et peut se rémunérer d’autant plus facilement que les clients sont captifs. L’abonnement à des services de cloud computing peut permettre à l’entreprise de ne plus avoir à acquérir des actifs informatiques comptabilisés dans le bilan sous forme de CAPEX et nécessitant une durée d’amortissement.
Les dépenses informatiques peuvent être comptabilisées en tant que dépenses de fonctionnement. Les inconvénients Plusieurs catégories d’inconvénients existent . ?? L’utillsation des réseaux publics, dans le cas du cloud public, entraîne des risques liés à la sécurité du cloud. En effet, la connexion entre les postes et les serveurs applicatifs passe par le réseau internet, et expose à des isques supplémentaires de cyberattaques, et de violation de confidentialité.
Le risque existe pour les particuliers, mais aussi pour les grandes et moyennes entreprises, qui ont depuis longtemps protégé leurs serveurs et leurs applications des attaques venues de l’extérieur grâce à des réseaux internes cloisonnés. • Le client d’un service de cloud computing devient très épendant de la qualité du réseau pour accéder à ce service. Aucun fournisseur de service cloud ne peut garantir une disponibilité de 100 %33. Par exemple, des défaillances sur les services cloud sont référencée par l’International Working Group of Cloud Resiliency 34. ?? Les entreprises perdent la maîtrise de l’implantation de leurs données. De ce fait, les interfaces inter-applicatives (qui peuven l’implantation de leurs données. De ce fait, les interfaces inter- applicatives (qui peuvent être volumineuses) deviennent beaucoup plus complexes à mettre en œuvre que sur une architecture hébergée en interne. s entreprises n’ont plus de garanties (autres que contractuelles) de l’utilisation qui est faite de leurs données, puisqu’elles les confient à des tiers. ?? Les questions juridiques posées notamment par l’absence de localisation précise des données du cloud computing35. Les lois en vigueur s’appliquent, mais pour quel serveur, quel data center, et surtout quel pays ? • Tout comme les logiciels installés localement, les services de cloud computing sont utilisables pour lancer des attaques (craquage de mots de passe, déni de service… )36. En 2009, par exemple, un cheval de Troie a utilisé illégalement un service du loud public d’Amazon pour infecter des ordinateurs37. ?? Du fait que lion ne peut pas toujours exporter les données d’un sen,’ice cloud, la réversibilité (ou les coûts de sortie associés) n’est pas toujours prise en compte dans le cadre du projet. Le client se trouve souvent « piégé » par son prestataire et c’est seulement lorsqu’il y a des problèmes (changement des termes du contrat ou des conditions générales d’utilisation, augmentation du prix du seraice, besoin d’accéder à ses données en local, etc. ) qu’il se rend compte de l’enfermement propriétaire (vendor lock-in) dans lequel il se trouve.