Introduction à l’économie. Introduction La pensée économique. L’économie, est-elle une science ? (posée 18e siècle) Adam Smlth (le théoricien le + important) Quel lien peut on établir entre la pensée économique et les décisions politiques ? Problématique générale en économie : L’économie a pour but de gérer deux domaines: l’efficacité économique (production de richesses) et la justice sociale (équité). Cependant depuis qu la question du dével orss Sni* to View Aristote proposait u de l’homme : l’éthique : elle relève de l’individu. omaine apparait ches de la science ‘économie : elle caractérise l’activité familiale. la politique: elle relève de la cité. Eco vient du grec oikos = maison nomos = règles L’économie serait l’ensemble des règles de conduite de la maison, des activités domestiques. Aristote précise que la science de l’acquisition des richesses, la chrématistique, est un élément de l’économie. Dès lors l’économie va apparaître comme la science qui étudie l’accumulation des richesse par un État.
Tant que les Etats ont été contraints par des objectifs guerriers, il a fallu trouver des fonds pour fabriquer des armes. Repères historiques : Au Moyen Âge occidental : avec l’influence chrétienne, on interdit et de l’innovation. Ce qui amène au 19e des révolutions industrielles qui démarrent d’abord en Angleterre. l. Objet et méthode de la science économique. 1. Objet de la science économique. Le principe de l’économie est l’étude de la rareté. On qualifie de bien économique un bien rare.
Par opposition au bien rare, on trouve le bien libre que l’on trouve en abondance comme l’air, le vent et le soleil. Face à ces biens, on distingue différentes catégories de biens : matériels et immatériels (seNices). Parmi les iens matériels, on distingue les biens de production (biens de consommations intermédiaires comme les matières premières et les biens de consommation) et de consommation finale. L’objectif est de satisfaire les besoins humains : on qualifie ces besoins comme des besoins économiques.
Un besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l’acquisition ou la consommation des biens. Keynes distingue, en 1930, deux catégories de besoins : ceux qui ont un caractère absolu et que l’on ressent quel que soit la situation des autres Individus, ils sont limités (ex :besoins physiologiques) eux qui ont un caractère relatif et que lion éprouve au contact des autres. Ces besoins sont illimités et fonctionnent selon une dynamique d’imitation et de différenciation. 3 science économique s’appuie sur des hypothèses, des lois et des modèles.
Une loi est un raisonnement théorique destiné à donner une représentation des liens entre les variables économques. Les lois sont fondées sur des hypothèses plus ou moins contraignantes. une hypothèse est une simplification de la réalité qui rend possible la formulation des théories, compréhensible et utilisable. La science s’appuie sur deux raisonnements : inductif (comme our les sciences experimentales qui par des observations pour formuler des lois) et déductif (on théorise des hypothèses pour ensuite les vérifier dans la réalité).
Différentes méthodes individualisme méthodologique : est une méthode d’analyses des faits économiques et sociaux qui part du principe que les phénomènes étudiés peuvent être expliqués à partie des comportements individuels. Les comportements individuels s’inscrivent dans un contexte global prédéterminé. Ce qui explique cette prédéterminatlon, ce sont les normes et les règles en société ou la catégorie sociale d’appartenance. En conséquence, pétude du contexte global est nécessaire pour comprendre les actes inducteurs.
Il. les grands courants de I 53 omique nations. Il a amené la question de l’impôt et analyse l’évolution et la population avec la production agricole. Caractéristiques en commun de ces auteurs : analyse macro-économique en terme de classe sociale. Tous adeptes du libéralisme économique : qui se caractérise par les fonctions régaliennes • police, défense nationale, sécurité ; Et politique de libre échange entre les pays. L’équilibre économique : se réalise par le marché grâce aux ajustements de prix.
Laisser chaque individu choisir par lui- même « théorie de la main invisible De plus, l’intérêt individuel concours à l’intérêt général en cherchant à satisfaire ses intérêts personnel. Chaque indlvldu sert finalement l’intérêt général Adam Smith L’équilibre général : l’Homme est rationnel et son calcul lui permet d’arriver à l’équilibre. ‘équilibre existe sur chaque marché donc il est général. Karl Marx reprend la théorie de la valeur de travail et va la décomposer entre le travail « mort » (incorporé dans les moyens de production) et le travail « vivant » mis en œuvre au cours du rocessus de production.
En économie capitaliste, la force de travail est assignée à une marchandise qui s’échange sur un marché : le marché du travail. Sur le marché du travail, une crise conduit à une baisse du prix de cette marchandise et le salaire car il existe « une armée de réserve industrielle » ou une population de chômage que l’offre de travail est toujours supérieure à la demande. La rémunération de la force de travail est inférieure à la valeur que celle-ci produit.
La différence appelée « plus-valu », est accaparée par les propriétaires de moyens de production qui euvent s’en servir pour exploiter des ind 3 propriétaires de moyens de production qui peuvent s’en servir pour exploiter des individus ou classes. L’exploitation est rendue possible par le fait que les prolétaires n’ont à vendre que leur force de travall pour subsister. Cette force de travail nécessite, pour être mise en œuvre, des moyens de production détenus par d’autres : les bourgeois capitalistes.
Ce qui distingue le capitaliste du prolétaire, c’est que seul le premier détient les propriétés de production. Loi de Say La plus-value chez Marx. PAGF s 3 productives car elles permettent de produire plus de archandises dans un même temps de travail. La loi d’accumulation qui consiste à investir toujours plus de plus-value réalisée qui conduit à une sur-accumulation de capital. Ainsi les capitalistes investissent toujours plus de capital constant c pour un produit donné de capital variable v. l en découle une hausse de g (c/v) qui conduit à faire baisser le taux de profit. La loi de la baisse tendancielle du taux de profit que la hausse de la composition organique du capital c/v tend à faire baisser les Cette loi n’est que tendancielle car d’autres effets entrent en jeu qui contrecarrent la baisse de profits. Les capitalistes peuvent augmenter le taux de profit grâce à une amélioration de la productivité du travail (production prévue/nombre d’heures travaillées).
Ils peuvent aussi augmenter le taux d’exploitation (p/ v) en allongeant la durée du travail des ouvriers pour un même salaire. Dans cet exemple, si les ouvriers travaillent Ih, la plus- value est de 4h Ils peuvent aussi avoir recours à l’ouverture des frontière pour obtenir une baisse du prix des matières utilisée qui permettraient dede réduire le cout de la production de la force de travail. La baisse du prix des céréales qui réduit la baisse du prix du pain u de l’allmentation des ouvriers. Ce qul peut permettre au capitaliste de réduire les salaires.
En somme, seul le travail vivant est à l’origine de la plus-value mais la concurrence entre capitalistes conduit à une hausse de la part de travail mort par rapport au travail vivant ce qui délivre les possibilités de plus-value. Pour Marx le capitalisme porte en lui les germes de sa propre fin. 3) crise du ca 6 3 Pour Marx le capitalisme porte en lui les germes de sa propre fin. 3) crise du capitalisme et passage au socialisme Les crises capitalistes sont à la fois des crises de sur-production et de sous-consommation : urproduction de capital et sous consommation de biens.
La surproduction entraine une baisse des prix et la faillite des entreprises les moins performantes. Les crises apparaissent ainsi comme des mécanismes de régulation du système capitaliste. Mais de crise en crise, le système est conduit à disparaître. Comme il repose sur l’explo tation des prolétaires et que celle ci n’est possible que parce qu’il existe la propriété privée, Marx préconise le passage à la propriété collective des moyens de production qui permettra d’abolir l’exploitation.
Ainsi disparaît la classe capitaliste et avec elle, la notion de classes sociales uisqu’il ne reste que la classe des prolétaires. III. Les néo-classiques. (a,smith;maltus jb,say) Marshall, Bigou, Jebons. Fin du 19e début du 20e. Leur pensée s’inscrit dans une approche microéconomique, c’est à dire qu’il ne prennent pas en compte les classes sociales mais les comportements d’agents… Alors que les auteurs classiques fondaient leur raisonnement sur la valeur du travail. Les auteurs néo-classiques basent leur réflexion sur la valeur utilité.
Ex. le consommateur cherche à maximiser son utilité, c’est à dire la satisfaction qu’il peut tirer de la consommation d’un bien. L’équilibre partiel 3 produire pour que son produit augmente. Inversement, plus le prix diminue, plus la demande augmente car les consommateurs vont avoir les moyens d’acheter le produit. IV. L’analyse keynesienne (j. m keynes) John Maynard Keynes (1883-1946) conteste les principales propositions des classiques. Le marché livré à lui-même peut générer des crises et du chômage.
L’état doit intervenir pour assurer le plein emploi et soutenir la croissance. L’état mène une politique économique : c’est un état providence. Cercle vicieux de la crise du capitalisme selon Keynes . 8 3 cadre et PIS (Profession Intellectuel Supérieurs) rofession intermédiaire Employés Ouvriers Les retraités autres personnes sans activité professionnelle Cette classification permet d’observer les évolutions, on a ainsi pu remarquer le développement du salariat. Les cadres, les techniciens et les employés ont vu leur poids augmenter dans la population active.
Les artisans, commerçant et agriculteurs ont vu leur objectifs diminué au fur et mesure que la consommation de masse se développait. La population active est influencée par la démographie. un fort taux de natalité à une période aura des répercutions 20 à 25 ans plus tard. On observera une arrivé massive sur le marché du travail des enfants nés à cette période. Exemple : le baby boom. Les variations de la population active ne correspondent pas exactement aux variations de la population totale.
Il faut prendre en compte le taux d’activité des plus jeunes et des plus âgées car la durée des études s’allongent et le départ à la retraite peut être plus précoce. Taux d’activité féminin : femmes actives/population féminine totale X 100. Le taux d’activité de la population totale est relativement stable car le taux d’activité féminin augmente tandis que le taux d’activité masculin diminue. Le taux d’activité des moins de 25 ans et celui des plus âgés diminue. La durée du travail influence l’évolution de la population active.
On assiste à une baisse de la durée du travail. Elle se manifeste de plusieurs façons : Baisse de la durée de la vie au travail Baisse du nombre de jours de travail par an Baisse de la durée heb travail PAGF g 3 hebdomadaire du travail Développement du temps partiel D’un point de vue quantitatif, il existe une relation inverse entre la durée du travail et la quantité d’emploi offert c’est la logique retenue par les partisans des 35 heures. Il. Les aspects qualitatifs du facteur travail.
Productivité horaire du travail= valeur ajoutée/ nombre d’heures travaillées = Valeur ajoutées/effectif x durée moyenne individuelle du travail. Si la productivité mesure la qualité de la main d’oeuvre, cette derniere évolue dans le temps en fonction de 3 caractéristiques individuelles des personnes actives : le niveau de qualification, l’age et le sexe. L’éducation et la formation sont une source importante d’augmentation de la productivité car plus on a de formations, plus on est apte à mobiliser une quantité importante de capital et de capitaux. L’âge mayen exerce une influence sur la productivité.
On mesure en général une augmentation de la productivité jusqu’à un certain âge qui s’explique par l’expérience acquise puis au delà de cet âge optimum, la productivité diminue pour des raisons physiques. Traditionnellement, on mesure que la productivité féminine est inférieure à celle des hommes notamment parce qu’elles ont encore à faire face à un certain nombre de contraintes qui rend leur parcours professionnel moins linéaire. Sur le plan collectif, on mesure des effets de structure qui se traduisent par différents ty es de raductivités inter-branches (produits) et inter-secteur On observe