Résumé de Bel-Ami

Guy de Maupassant : Bel-Ami Première partie I (juin): Georges Duroy est un jeune homme originaire de Rouen employé aux bureaux du chemin de fer du Nord, anciennement sous-officier de l’armée. Ses maigres revenus ne font qu’accentuer son obsession pour l’argent. Alors qu’il flâne à Paris un soir d’été, il rencontre par hasard un ancien camarade, Forestier. Ils discutent et Duroy ne lui cache pas sa difficile situation financière. Forestier décide donc le prendre, en quelques sortes, sous son aile, et de parler à son patron pour faire obtenir un poste de journaliste à son ami.

Plus tard dans la sol ne femme fait rema fait comprendre qu’il atout pourrait le me uer or 13 uquel ils assistent, ttirant. Forestier lui femmes, et que cet Il : Le lendemain, Georges Duroy se rend un dîner chez Forestier. Le patron de ce dernier ainsi que d’autres y seront, et c’est pourquoi Duroy est très nerveux. Malgré son inquiétude, le dîner se passe bien. À table, on ne parle que d’articles parus dans les journaux. Lorsqu’on commence à parler de l’Algérie, Duroy, qui y a vécu pendant 28 mois, saute sur l’occasion pour se faire remarquer.

M. Walter, le directeur de la Vie Française, décide de donner une chance à Duroy. Ce dernier, ayant gagné une forte assurance, ose enfin complimenter sa voisine, Mme de Swipe to vlew next page de Marelle, qu’il trouve très attirante. Plus tard, dans le salon, Duroy fait la conversation à Mme de Marelle, mais aussi à la femme de M. Walter. Ayant peur de commettre quelque erreur qui gâcherait ce véritable succès, il décide de se retirer. L’inquiétude du début s’est transformée en grande assurance et en auto-satisfaction.

Ill : Georges Duroy, conscient de l’opportunité offerte par M. Walter, se met à rédiger l’article sur l’Algérie qu’on lui a demandé our débuter, mais ce n’est pas une tâche facile, pour lui qui n’a jamais écrit. Il ne sait par où commencer et tous les souvenirs et anecdotes se dissipent. Distrait par des pensées amoureuses et sûrement un peu ivre, il décide de laisser cette besogne pour le lendemain. À son réveil, les idées n’arrivant toujours pas, Duroy se rend chez les Forestier afin d’obtenir de l’aide pour être bien lancé sur son article. Cest Mme Forestier qui le reçoit.

Elle commence par lui poser des tas de questions sur son séjour en Algérie, afin d’avoir une idée globale, puis lui dicte ensuite ce qu’il doit écrire. L’article rédigé, Duroy s’en va et se rend aux bureaux de la Vie Française, où il est forcé d’attendre que le patron se libère. Il tombe sur Forestier, qui le condult à M. Walter. Ensuite, Forestier et Duroy se rendent dans la salle de rédaction, où le jeune homme rencontre ses nouveaux collègues, qui jouent tous, sans exception, au bilboquet. IV : Le lendemain matin, Duroy ne peut contenir son excitation 13 sans exception, au bilboquet. t file tout de suite acheter la Vie Française, et constate avec joie que son article y est. puis il se rend à son ancien bureau pour toucher son salaire et émissioner d’une manière assez insolente, tout en se vantant d’être le rédacteur du journal. Il va ensuite au journal, pour commencer son nouveau travail. Forestier lui dit d’accompagner Saint-Potin, qui doit interviewer un général chinois puis un rajah indien. Saint-Potin lui apprend les ficelles du métier : être malin et efficace, et ne pas hésiter ? mentir aux lecteurs.

Saint-Potin n’ayant donc pas besoin de Duroy, ce dernier s’en va rédiger la suite de son article, sans l’aide des Forestier cette fois- Le lendemain, il achète la Vie Française et constate que sa chronique n’y figure pas, M. Walter l’ayant jugé trop mauvais. Il le recommence une deuxième puis une troisième fois mais il se voit refusé à nouveau. Duroy finit par délaisser sa chronique sur l’Algérie et ne s’intéresser qu’à son métier (faire des courses, chercher des informations, des nouvelles, etc… ), et devient rapidement un reporter efficace.

V (septembre): Deux mois plus tard, contrairement à ses attentes, Georges Duroy n’est toujours pas satisfait de son métier : il aimerait faire fortune, appartenir au monde, bénéficier de relations importantes, etc… Il se rend alors chez Mme de Marelle, avec qui il connaît une intimité et une compli mportantes, etc… Il se rend alors chez Mme de Marelle, avec qui il connaît une intimité et une complicité naissantes. Quelques jours plus tard, Duroy va à nouveau chez Mme de Marelle, qui lui propose un diner au restaurant avec les Forestier, qu’il accepte. e soir du dîner, on discute principalement d’amour.

Le dîner se passe très bien jusqu’à ce que Charles Forestier se mette ? tousser violemment. On décide donc de rentrer et, Mme de Marelle, trop ivre, se laisse raccompagner par Georges. Lors du retour en fiacre, Duroy parvient à obtenir un baiser, et, arrivé ? destination, il rentre chez lui, joyeux. Le lendemain, il se rend chez Mme de Marelle. Duroy lui déclare sa flamme, et ils s’embrassent. Ils dînent et s’assoient côte à côte dans le salon. Laurine, la fille de Mme de Marelle avec qui Duroy s’entend très bien, rentre dans l’appartement et constate avec joie que Georges est là : elle le baptise Bel-Ami. s fois suivantes, ils décident de se voir chez Duroy, afin d’empêcher qu’on les surprennent à s’enlacer. Il décide cependant de déménager à cause d’une querelle entre Mme de Marelle et les voisins de Duroy. Il reçoit un télégramme de Clotilde qui le conduit à un appartement au nom de Mme Duroy: eur nouveau nid d’amour. Ils commencent à beaucoup fréquenter les restaurants et autres établissements, et Bel-Ami se retrouve rapidement sans un sou, comme lorsqu’il était employé aux chemins de fer. Ayant avoué cette difficile situation à Clotilde, cet 3 était employé aux chemins de fer.

Ayant avoué cette difficile situation à Clotilde, cette dernière commence à glisser des pièces dans les habits de Georges. Sa situation ne s’améliore guère, et pour couronner le tout, Clotilde de Marelle demande à sortir aux Folies-bergère. Rachel provoque un scandale et Clotilde est furieuse contre Duroy. VI : Tout se passe mal : Forestier rend son travail pénible, ses moyens financiers sont limités, et, il s’est fait jeter par Clotilde. Il décide de rendre visite à Mme Forestier, et lui avoue qu’il a des sentiments pour elle.

Elle lui dit qu’une relation est impossible et impensable, et lui conseille de faire la cour à Mme Walter. Il se rend donc chez elle, où des femmes discutent. Duroy finit par s’en aller, le moment étant mal choisi. un évènement joyeux se produit enfin : Georges Duroy est nommé Chef des Échos à la Vie Française. Ce succès est accompagné par une invitation à aller dîner chez les Walter. ? sa grande surprise, Mme de Marelle est aussi présente à ce dîner. Duroy est d’abord troublé, mais Clotilde ne semble pas lui en vouloir, et ils discutent à table, comme avant, comme si rien ne s’était passé.

Elle l’invite même à déjeuner le lendemain. Après le départ de Mme de Marelle, Duroy, ne s’amusant plus, décide de faire de même et s’en va, accompagné de Norbert de Varenne, poète pour la Vie Française. Ce dernier lui décrit la vie telle qu’il la perçoit : une vie joyeuse lorsqu’on est jeune, puis ensuite, une vie PAGF s 3 décrit la vie telle qu’il la perçoit : une vie joyeuse lorsqu’on est eune, puis ensuite, une vie où la mort, la tristesse et la solitude sont omniprésentes. Le lendemain, il se rend, comme prévu, chez Clotilde.

Ils s’embrassent à nouveau, ne pensant plus au scandale des Folies- Bergère. Elle désire l’inviter à un diner chez elle, auquel M. de Marelle assistera, ce qui ne réjouit pas Bel-Ami. Mais cette situation, en fin de compte, l’amuse, et il se plaît à jouer les hypocrites avec le « cocu ». Duroy se rend le lendemain chez les Forestier pour dire adieu ? Charles, de plus en plus souffrant de sa bronchite, qui part ? Cannes sous la recommandation de son médecin afin d’y trouver n air plus agréable.

VII : La place de Duroy à la Vie Française devient, au départ de Charles, plus conséquente, et, de ce fait, les critiques à l’égard du journal aussi, jusqu’à ce qu’un rédacteur anonyme de la Plume s’en prenne directement à Georges Duroy. Irrité de ces calomnies, le jeune journaliste répond à son adversaire anonyme avec méprisance. Le lendemain, dans la Plume, figure la réponse à Duroy, signée Louis Langremont. Cette fols, clen est trop ! Comment peut-il riposter face à ces insolentes accusations ?

Jacques Rival, chroniqueur d’actualités et collègue de Duroy ainsi que M. Boisrenard, prédécesseur de Georges au poste de Chef des Échos, se sont arrangés pour organiser un duel au pistolet entre les deux adversaires. La veille au soir, Bel-Ami est terrifié à l’idée d 6 3 duel au pistolet entre les deux adversaires. La veille au soir, Bel-Ami est terrifié à l’idée d’être pris de peur, de panique, de faire un malaise ou, pire encore, de mourir. Il n’a pas fermé l’œil de toute la nult. Au matin, on vient le chercher : ce sont Rival, Boisrenard, et le docteur Le Brument.

On l’emmène à la campagne où doit avoir lieu le duel. Il rencontre enfin son adversaire, et le duel est lancé. Deux détonations retentissent, mais personne n’est touché. Quel soulagement pour Duroy ! L’honneur de la Vie Française est lavé, et les deux duellistes font la une des journaux. Émue par ceux-ci, Mme de Marelle donne rendez-vous à Bel-Ami à leur logis rue de Constantinople, et Duroy décide d’y emménager, Clotilde ne voulant plus avoir affaire aux affreux voisins de son amant. VIII (février) : Tout se passe à merveille pour Duroy et M. e Marelle est conquis par ce délicieux jeune homme. Vient là une terrible nouvelle : Charles Forestier est mourant, et, n’ayant plus de famille, Madeleine Forestier lui demande de bien vouloir ssister à ses derniers instants, à Cannes. Georges s’y rend et constate avec peine que son ami est désormais en chaise roulante, très affaibli, et très irrltable. Et il se souvient de la noirceur des paroles de Norbert de Varenne : la mort est partout. L’envie de quitter cet endroit funèbre devient pressante.

Le lendemain, Forestier se sentant un peu mieux, ils vont faire un tour en ville pour acheter des vases, mais la toux déchira 7 3 sentant un peu mieux, ils vont faire un tour en ville pour acheter des vases, mais la toux déchirante reprend et on ramène directement Charles dans la villa. Duroy appelle le docteur Gavaut, qui lui dit que Forestier mourra demain. On fait appeler un prêtre pour que Forestier puisse se confesser, et il comprend que sa fin est proche. Il se met à paniquer et à pleurer. Duroy commence à s’assoupir quand il constate que Charles a fermé ses yeux : il est mort.

Et encore les paroles de de Varenne lui reviennent et le hantent. Bel-Ami, jugeant que c’est le bon moment, emmène Madeleine Forestier dehors et évoque à nouveau les sentiments qu’il a pour elle. Elle pourrait le rendre heureux et le mener loin. Le lendemain, la garde vient chercher le cadavre pour le mettre en cercueil. Duroy et Mme Forestier font un tour dans le jardin, et Madeleine reparle de la proposition de Bel-Ami et lui suggère d’attendre. Après l’enterrement, Duroy repart pour Paris, en train. Deuxieme partie I : De retour à Paris, Madeleine Forestier invite Georges à venir la voir.

Cette fois-ci, Mme Forestier paraît plus encline à développer une relation amoureuse avec Duroy, ne lui dlsant cependant pas « oui h. Les mois passent, jusqu’en automne, où les deux tourtereaux discutent de leur mariage prochain, et Madeleine, gênée, lui demande d’anoblir un peu son nom. Au vu de cette importante nouvelle, Duroy se voit obligé d’en révenir Clotilde, qui est brisée. Vient le mois de mai, et donc, 3 nouvelle, Duroy se voit obligé d’en prévenir Clotilde, qui est brisée. Vient le mois de mai, et donc, le mariage.

Après leur union, ? laquelle personne n’est Invité, ils se rendent à Rouen, dans la demeure familiale. Madeleine se sent mal à l’aise, elle qui n’est pas habituée à fréquenter des paysans. C’est pourtant elle qui a insisté pour venir rendre visite à ses beaux-parents. Les Du Roy décident donc de rentrer à Paris le lendemain matin. Il : Comme à son habitude, le comte de Vaudrec, un ami intime de Madeleine, vient diner chez eux tous les lundis. II a d’abord paru froid, mais Georges et lui ont vite créé des liens.

Le jeune journaliste devient de plus en plus célèbre et important au sein de la Vie Française et s’engage dans une « campagne politique » en faveur du député Laroche-Mathieu, et fait fureur. Cependant, il se fait appeler Forestier » au journal, la similitude de leurs articles étant flagrante, et Charles, malgré le fait qu’il soit mort, commence à le hanter et à l’irriter profondément. Cette haine contre son ancien camarade ne fait qu’augmenter. Ill : Alors qu’il rentre chez lui, un jour, Georges constate que a femme a invité Mme Walter ainsi que Clotilde de Marelle.

D’abord troublé, il décide ensuite de la voir le lendemain. Ils s’avouent qu’ils s’aiment toujours et fixent un rendez vous pour le Aussi accepte Du Roy d’accompagner Mme Walter à un assaut (escrime) en faveur des orphelins du 6ème arrondissement. Après ça PAGF 13 Walter à un assaut (escrime) en faveur des orphelins du 6ème arrondissement. Après ça, Georges entreprend de lui rendre visite et lui fait la cour, de manière plus ardente cette fois-ci, mais elle le rejette. Après un dîner chez les Du Roy, le jeune journaliste insiste pour a raccompagner, ce qu’elle finit par aaccepter.

Cette fois aussi, Georges lui fait la cour à nouveau. Elle finit par céder, et il parvient à obtenir un rendez-vous avec « la Patronne IV (juillet) : Du Roy se rend à l’église de la place de la Trinité pour y rencontrer Mme Walter. Elle finit par céder face à l’énorme pression que lui met le journaliste, et lui avoue, en pleurs et se sentant coupable, qu’elle n’a jamais aimé que lul. Apres s’être confessée, elle demande à Georges de ne plus venir la voir. Plus tard dans la soirée, il reçoit une dépêche qui vient sûrement e Mme Walter, et qui lui donne rendez-vous le lendemain après- midi.

Du Roy l’emmène à l’appartement loué par Clotilde et qui leur servait, normalement, de lieu de rencontre, et se déshabillent… V : Georges Du Roy, en fin de compte, ne parvient plus ? supporter Virginie Walter, car il trouve son comportement enfantin et gamin. Son amour pour Clotilde de Marelle, au contraire, ne fait que grandir. Virginie ayant supplié Du Roy, elle se rend à l’appartement rue de Constantinople, ce qui est passablement dangereux étant donné que Clotilde s’y rend souvent aussi. Elle le prévient d’une affaire préparée à son insu par son pa