logistique verte

AperAperçu ApeA u erçu rç p des nouvnolluvselleeshtnoclonoes giies des des des neluevet lechneclh giollo g es nouveoles t lecs teo hn ie o og s et pras prue uen vanotva et dees prestiiqraeisqunnoivnnntvantes d at es et dest deatpqu t isql d o la ti que que et tr de lladeogasltoqustii gtetdeat or 167 Sni* to View de a Ile Igiisloigiise eu d es dran tpaorts orts éco–réesopronssaonleablles éco ée opoesspobl ss b es rcs –ren pabnea La Logistique Verte La logistique verte [Sous-titre du document] 13 2. romouvoir l’inter-modalité et les modes de transport alternatifs à la route.. 3. Réduire la pollution intrinsèque des zones logistiques et des modes de transport. — 14 B. Distribution inverse C. Logistique inverse (ou logistique ? rebours) — — D. Supply Chain verte . 16 ‘Analyse du Cycle de Vie d’un produit, d’un service ou d’un général 23 . 23 processus 20 2. Notion d’écoconception . Ill. Facteurs d’évolution de la logistique en 22 IV. Importance de la logistique inverse dans révolution des techniques logistiques 23 A.

Logistique inverse dans le système logistique . 1. Les principales différences entre la logistique traditionnelle et la logistique inverse — 23 . Les motivations des entreprises pour implémenter une logistique inverse B. Développement d’un programme de logistique inverse. Les éco-emballages 24 26 A. Introduction B. Écoconception et design for recycling s’imposent 27 C. Les supports de manutention : l’exemple de Chep et de bâtiments 33 35 _ . 35 Danone . . 28 Les plates-formes et les entrepôts verts „ . 29 A.

Conception des bâtiments 29 1. La certification HQE . 2. Autres normes de qualité environnementales des 3. Adapter les bâtiments existants au développement durable Décembre 2012 Jacques Moyson Page 1 La logistique verte B. Les process et le matériel de manutention dans les entrepôts 1. Une première chez les constructeurs de chariots élévateurs ! 2. Still Eeemin développe neins de manutention B. Logistique urbaine : quelques chiffres „ 37 C. Une logistique énergivore 38 D. La nécessité d’une politique globale 39 E.

Mieux répondre aux enjeux du dernier kilomètre — 41 F. Livrer autrement 42 VIII. Réorganisation des schémas logistiques — . . 49 es biocarburants — IX. Innovations technologiques dans le transport routier A. Axe Véhicule . 49 B. Axe Conducteur . 58 C. Axe Mode de propulsion 59 . Les normes EURO . 2. Les systèmes de propulsion alternatifs — D. Axe Carburants alternatifs… 66 . 45 60 2. Biocarburants de deuxième géneration . „ 68 3. L’hydrogène — 69 4. GNC (Gaz Naturel Comprimé) x. Le rail durable et le transport combiné 71 A. ne analyse révélatrice: le transport de containers via TCA • B. Le plan d’actions environnementales de SNCB 72 Logistics 1 . Solutions pour diminuer l’impact environnemental 2. Focus sur les solutions les plus pertinentes a)Energie récupérée par le freinage électrique c) Conduite rationnelle 75 d)Traffic Management . 78 ) Gestlon du parc de locomotives 80 XI. Le transport maritime et fluvial „ 72 74 81 B. ports maritimes et ports intérieurs éco- responsables Page 2 C. Le port d’Anvers et sa démarche pour la durabilité 84 D.

Exemples d’actions menées par une compagnie maritime 86 1. Des conteneurs plus écologiques 2. Des portes-conteneurs équipés de systèmes éco- performants XII. Le transport aérien 87 90 A. Le programme d’actions de l’Union européenne B. Les pistes du progrès selon IOnéra — C. Programmes en développement et projets futuristes 89 1. Un avion entièrement 2. Un biokérosène 89 88 3. Juin 2011 ; un G-450 équi é ar Hon9Avell traverse l’Atlantique au biocarburant 5. Le green taxiing électrique de Safran et Honeywell • 91 XIII. Conclusion 92 XIV.

Bibliographie 93 page 3 Avertissement Sous la pression exercée par le développement durable et la dérégulation climatique, la logistique connaît un profond changement dans la conception de ses moyens techniques et l’organisation des flux de biens et seMces. Ce changement est d’autant plus évident que se multiplient ces derniers mois, les études, les rapports et les articles publiés sur ce theme. Pas un seul secteur industriel ou ommercial, pas un seul mode de transport qui soit exempt des effets induits par ce mouvement amorcé voici une dizaine d’années.

Les réflexions ainsi conduites et les expérimentations qui les concrétisent sont à l’origine d’un foisonnement d’informations qui témoignent que les entreprises publiques et privées ont dé assé la ement le stade de la sensibilisati ées dans une phase Epinglons notamment les promesses et les premières applications des nanotechnologies qui modifient radicalement les perspectives d’améliorations des matériaux et des modes de transmission de l’information. Les impacts de ces «nouvelles technologies » se portent autant sur le présent que sur le futur et même le passé.

En effet, des inventions jetées dans les oubliettes au moment de leur découverte renaissent et s’imposent avec force grâce à leurs propriétés régénérées et démultipliées par les nanotechnologies. Citons ? titre d’exemples, le moteur Stirling Inventé en 1816 et la vieille batterie nickel-fer d’Edison ! Dresser un panorama complet de ces technologies et pratiques innovantes dans la logistique et les transports, représente une tâche dune ampleur telle que le emps requis pour la réaliser rendrait immanquablement cette étude obsolète avant même sa diffusion.

C’est donc à dessein, que le présent document s’appuie sur une autre démarche qui consiste ? sélectionner parmi les informations les plus récentes mais aussi de plus anciennes, celles qul contribuent ? dégager et à synthétiser les lignes de forces dans ces changements en cours ou imminents. Cette première édition a donc pour objectif de livrer une image instantanée de la richesse de cette évolution qui s’accélère et modifiera de manière radicale, dans un avenir très proche, la société globale, son ?conomie et ses échanges.

Une mise à jour sera disponible en septembre 2013, afin de marquer cette accélération et de déterminer quels domaines en particulier seront les principaux vecteurs de ce changement dans les mois qui suivront. rapport du Club de Rome, au début des années 1970, avait tiré la sonnette d’alarme sur l’épuisement inéluctable des ressources de la planète et la dégradation continue de nos conditions de vie sous l’influence d’une pollution croissante et incontrôlable.

Face au plus important défi de son histoire que l’espèce humaine ait aujourd’hui à relever, une prise de onscience de l’urgence d’un «dévelappement durable » a pris forme. La démarche logistique n’échappe pas à cet aggiornamento, tant il est vrai que la circulation des marchandises dans des espaces globalisés, revêt d’évidents effets négatifs (multiplication des transports de longue distance, utilisation de modes d’acheminement ayant une empreinte écologique élevée, etc. . Depuis lian 2000, les émissions de C02 à l’échelle de la planète augmentent de 3,1% par an. C’est une progression 3 fois plus rapide que dans les années 1990. 1 Les pays émergents, fortement peuplés pour la plupart, voient eur population croître et l’urbanisation s’accélérer en même temps qu’augmentent leurs besoins énergétiques. L’indicateur d’émissions par habitant reflète à la fos l’accès à l’énergie et la composition du bouquet énergétique.

En 2006, les États- unis enregistraient des émissions de C02 par habitant et par an de 19,8 tonnes, quand cet indicateur n’atteignait que 4,8 tonnes en Chinel . Celle-ci n’en est pas moins devenue en 2007 le premier émetteur du mande devant les États-Unis, notamment à cause d’une population nombreuse, comptant plus de 1,3 milliard d’habitants. Si les Chinois consommaient « ? ‘américaine leurs émissions de C02 seraient cinq fois plus importantes que celles des États-Unis et égaleraient la totalité des émissions mondiales actuelles. Ventilation par mode de t 167 missions mondiales de Ventilation par mode de transport des émissions mondiales de C02 dues à l’utilisation des véhicules de transport3 La place prépondérante que prennent les pays émergents dans le commerce international pourrait donc avoir un effet inhibiteur sur les efforts prodigués dans les pays occidentaux pour limiter l’impact des transports sur les émissions des GES (gaz à effets de serre).

Selon l’OCDE, si les pays émergents ne contribuent pas de manière Slgnlficative à cet effort des pays occidentaux (Europe, Amérique du Nord et Australie), le volume global des émissions poursuivra sa courbe ascendante. GoodPIanet Info – 10 décembre 2012 http://www. goodplanet . info/Contenu/Chiffres-cles/Augmentation-desemissions-de-C02 /(theme)/269 2 Michel Savy et al. – « e fret mondial et le changement climatique » – Centre d’analyse stratégique – 2010 Source : : Calculs du Forum international des transports d’après la verslon 2011 du modèle de mobillté MOMO PAGF ID 67