Risque associé a une pratique de sport entensive

Risques associés à une pratique sportive intensive. BOUSSAHA R. DELFOUR M. secondeG_ Sommaire: or 13 Sni* to View Introduction Problématique l) La pratique sportwe Il) es traumatismes Ill) Les risques comportementaux Conclusion Introduction: La pratique intense d’une activité sportive augmente des risques. locomoteur peut subir l’accumulation de contraintes mécaniques : c’est la fracture de fatigue, l’usure du cartilage ou l’arthrose (favorisée par une distension ou une rupture ligamentaire). S.

Cascua affirme également que « le dos se bloque face au sport » ou encore que l’intestin digère mal le sport » e même, une pratique sportive intense peut perturber les hormones. Dans les pays développés la principal cause de décès est du aux maladies cardiovasculaires. L’équilibre psychologique est parfois menacé par le sport, a cause un surentrainement qui conduit a un état proches de la dépression du au stress puisque que l’on essaie toujours à se dépasser en n’hésltant pas à se mettre en danger.

On dit souvent que lorsqu’on est jeune on doit pratiquer un sport pour se défouler, se détendre et se vider la tète surtout lorsque l’on poursuit des études mais la pratique sportive de haut niveau ommence de plus en plus tôt et cela étouffe l’enfant. Le sport intensif peut-il devenir dangereux pour la santé ? Dans une première partie nous allons étudier des conséquences de la pratique sportive puis dans un second temps des traumatismes possibles et pour terminer les risques comportementaux liés à une pratique sportive intensive. Les différents endroits sensibles d’être blessés. l) Pratique sportive l.

Les besoins de l’organisme lors d’un effort physlque Au cours d’un exercice long et/ou peu intense, l’énergie est fournie par la respiration, qui utilise le dioxygène et les utriments. L’effort physique augmente la consommation de dioxygène – Plus l’effort est intense, mation de dioxygène 13 consommation de dioxygène. La consommation de nutriments dépend aussi de l’effort fourni. Au cours de l’effort, un certain nombre de paramètres physiologiques sont modifiés : fréquence cardlaque, volume d’éjection systolique (et donc débit cardiaque), fréquence ventilatoire et volume courant (et donc débit ventilatoire), pression artérielle.

Ces modifications physiologiques permettent un meilleur approvisionnement des muscles en dioxygène et en nutriments. L’organisation anatomique facilite cet apport privilégié. Un ban état cardiovasculaire et ventilatoire est indispensable à la pratique d’un exercice physique. Un grand nombre de sportifs cherche à prendre de la masse musculaire, pour des raisons esthétiques mais aussi et surtout pour gagner en puissance et pour conserver leur tonicité musculaire (essentiel pour les sports dendurance). ) Trouble du cycle chez la femme Toutes les anomalies du cycle menstruel, de son rythme peuvent se rencontrer chez les athlètes. Les anomalies du rythme menstruel, absence de flux menstruel chez une femme, de type rimaire avec une absence d’apparition des règles, ou de type secondaire avec un arrêt des règles depuis plus de trois mois chez une femme. Elle est la conséquence d’une anomalie localisée au niveau central au périphérique, gonadique ou utéro-génital. Si l’apport calorique est insuffisant par rapport à la dépense cela provoquera une diminution de la balance energetique et donc des troubles du cycle.

L’insuffisance lutéale et les cycles anovulatoires représentent les troubles du cycle les plus fréquemment rencontrés chez les femmes sportives. Chez les femmes qui pratiquent régulièrement a course à pied, la fréquence des troubles du cycle de type phase lutéale courte (durée des PAGF 13 pied, la fréquence des troubles du cycle de type phase lutéale courte (durée des cycles < 24 jours) ou oligoménorrhée (durée des cycles > 35 jours) a été estimée à 21% pour Burrows et al. (2003), pour Rosetta et al. 1998) et pour Redman et Loucks (2005) contre dans la population de femmes sédentaires. Bien que les troubles du cycle ne soient pas encore clairement définis, le déséquilibre énergétique entre les apports énergétiques alimentaires et les dépenses énergétiques est ‘hypothèse la plus probable. De nombreuses données obtenues confirment le rôle du déficit énergétique sur les troubles de la fonction ovarienne induits par l’exercice musculaire, avec des troubles du cycle qui est parallèle à l’importance du déficit énergétique.

Chez les sportives ayant des cycles ovulatoires, la dépense énergétique des 24h est bien équilibrée par les apports alimentaires des 24h tandis que chez les femmes présentant une phase lutéale courte il existe souvent un déficit énergétique transitoire et modéré. Si le bilan énergétique est l’exception de charges s permettent les mouvements. Outre le mouvement, le squelette assure également la protection de nombreux organes tel que le cerveau dans la boîte crânienne ou le cœur et les poumons dans la cage thoracique.

Certains os comme le fémur, le bassin ou l’humérus participent à la fabrication par la moelle osseuse des éléments figurés du sang. Lors d’un traumatisme, les os, les articulations ou les muscles peuvent être lésés. La distinction entre ces différentes lésions étant parfois difficile, le diagnostic se fera le plus souvent en milieu hospitalier, après examen médical et radiographie. La mobillsation malheureuse d’une fracture peut provoquer de la douleur, aggraver la lésion ou augmenter les saignements (interne ou externe). ) Osseux Les os contiennent des vaisseaux sanguins qui alimentent les cellules internes. Les os peuvent être longs (fémur), courts (rotule) ou plats (omoplate). Les fractures peuvent se cicatriser parce que les os sont en capacités de se régénérer, mais ils sont extrêmement sensibles aux infections. Les lésions osseuses Les fractures sont entraîné par un coup direct (impact d’un pare- choc) ou indirect (chute) ou une torsion (accident de ski)… La fracture d’un os peut être soit une fissure soit une cassure. Ces fractures peuvent être simples ou multiples.

Lorsqu’un os est fracturé en plusieurs endroits, ou lorsque plusieurs os sont fracturés simultanément (fracture des deux os de l’avant-bras), on parlera de fractures multiples. Un gonflement et un hématome est un signe de fracture. Toute fracture peut se com li uer de lésions des nerfs, des muscles, des vaisseaux sa oreanes proches. PAGF s 3 de l’os peut être accompagnée d’une plaie, soit causée par un agent extérieur (une plaie par balle) soit causée par l’os fracturé et éplacé qui traverse la peau. L’os est alors soumis à d’importants risques d’infections.

La fracture est toujours douloureuse, soit de manière constante, soit lors de sa mobilisation. La mobilité du membre est le plus souvent réduite, parfois jusqu’à l’impotence complète. Répartition des lésions osseuses, musculaire et aussi articulaire dans un sport en particulier, le rugby. 2) Articulaires Chaque jonction entre les os correspond à une articulation. L’articulation est gainée dans une capsule contenant un lubrifiant : le liquide synovial. Les extrémités des os sont couvertes de cartilage lisse our faciliter les frottements.

Les muscles et les ligaments maintiennent les os ensembles. Les lésions articulaires La luxation est constituée par le dé lacement d’un os au niveau d’une articulation. Ce dépl peut entraîner des PAGF 6 3 organes. Ainsi, les muscles permettent par exemple le maintien de la posture, la préhension, la ventilation pulmonaire, la circulation sanguine, la progression des alimentent ou le remplissage de la vessie. Les lésions musculaires L’entorse est une blessure de l’articulation qui survient lors du mouvement forcé d’une articulation ou de torsion de celle-ci.

Les muscles et les ligaments peuvent alors être distendus ou rompus. La mobilité de l’articulation est alors fortement réduite et un gonflement s’installe. Ces lésions sont toujours extrêmement douloureuses et nécessitent parfois une prise en charge chirurgicale. Le 26 juin 2003, Marc-Vivien Foé, footballeur international camerounais, tombe brutalement sur le terrain du a une crise cardiaque. Mais la négligence des soigneurs qui l’on fait tomber en le transportant hors du terrain; n’ont pas du arrangé son état qui semble être grave.

Ce jeune homme âgé de 28 ans, meurt u bout de 30min lors de sont trajet vers l’hôpital. Une autopsie détermine que la mort avait pour origine une crise cardiaque consécutive à une malformation congénitale (hypertrophie cardiaque). Lésions ostéo-articulaires : Les signes des lésions ostéo-articulaires sont une difficulté ou une impossibilité à mobiliser le membre, une douleur, une déformation, un gonflement, un raccourcissement, une angulation ou une torsion. Il peut s’agir d’une fracture, d’une luxation ou d’une entorse. Le diagnostic se fera en milie K.

Ware, joueur de Louisville (Fracture ouverte du tibia) Ill. Le sport agit sur le comportement Dès lors qu’une personne évoque les risques liés à une pratique sportive intensive, généralement, celle-ci pense évidement aux traumatismes musculaires articulaires ou osseux mais la santé physique et morale sont liés c’est ainsi qu’un tout autre type de traumatisme apparait de plus en plus car la pratique sportive intensive, autre que des traumatismes articulaires, musculaires ou bien osseux révèle aussi des risques comportementaux.

En effet, certains sports exigent de nombreux critères physiques (le poids, la taille… ) ou un caractère particulier, tel que dans les ports de combat, qui peuvent alors nuire à la santé ou encore au comportement du pratiquant mais le fait d’être en compétition permanente provoque aussi des risques tels que le stress ou l’utilisation de produit topant. 1 . Stress, dopage, .. les conséquences d’une pratique sportive a haut niveau et donc intensive. 1 .

Le stress est, en biologie, l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Mais le stress joue-t-il sur la performance de l’athlète ? Notre organisme face au stress mobilise tous ces ressources afin ‘affronter celui-ci notamment râce à la libération d’adrénaline et de noradrénaline. variété d’hormone servant de messager, permettant le passage de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse vers une autre cellule nerveuse ou vers d’autres cellules de l’organisme. Ces hormones ont une action large.

Tout d’abord elles agissent sur le cœur et les poumons pour augmenter les fréquences cardiaques et respiratoires elles entraînent une réorientation du flux sanguin vers les muscles au détriment notamment du système digestif (d’où un ralentissement de la digestion voire es maux de ventre) elles permettent de mobiliser les stocks d’énergie en favorisant le passage dans la circulation sanguine du glucose dont les muscles peuvent avoir besoin ce qui peut entrainer un épuisement si le stress se prolonge : les ressources énergétiques de l’organisme s’épulsent et le taux de glucose dans le sang chute, ce qui aura un impact négatif sur le rendement musculaire. Selon une étude de http://www. natationpourtous . com/entrainement/gestion-stress. php la durée sur laquelle s’exprime le stress déterminera donc en grande partie s’il aura un effet positif ou négatif sur la performance.

Le stress qui s’exprime quelques minutes avant une épreuve peut permettre de mobiliser toutes ses réserves énergétiques. A l’inverse, le stress plus précoce peut conduire à un épuisement des ressources de l’organsme. 2. Certains sportifs voulant toujours une meilleure performance peuvent alors avoir recours à toutes autres substances appelées les dopants tel que les cannabinoides (cannabis, hashish, marijuana certains sportifs l’utiliseraient pour lutter contre le stress et l’anxiété avant, pendant et après la compétition, pour augmenter diverses facultés de perception sensorielle (effacer la douleur, euphorie… . Les stimulants utilisés par les sportifs, malgré sensorielle (effacer la douleur, euphorie… ).

Les stimulants utilisés par les sportifs, malgré leur nombreux risques tels que hypertension artérielle, trouble du rythme cardiaque, modification du psychisme, effet d’accoutumance et de dépendance, état de grande excitation, agressivité, leur permettent d’accroitre la concentration, l’attention, la confiance en soi et diminuent artificiellement la sensation de fatigue, en agissant sur le système nerveux central et favorisent l’état de vigilance. Les narcotiques comprennent les opiacés et les analgésiques e synthèse. Ils sont extraits des opiacés (dérivés de l’opium) : la morphine, l’héroine ou la méthadone. Pareil aux cannabinoides ceux-cl sont utillsés dans le but de repousser le seuil d’apparition de la douleur car ils provoquent un relâchement musculaire et une diminution de la sensibilité. Le dopage sanguin, y compris l’utilisation de produits sanguins autologues, homologues ou hétérologues, au de globules rouges de toute origine. L’amélioration artificielle de la consommation, du transport ou de la libération de l’oxygène.

Les bêtabloquants sont des médicaments qui régulent et alentissent le rythme cardiaque. Ils sont utilisés dans certains sports comme antistress. Ils limitent aussl les tremblements des extrémités. À moins d’indication contraire, les bêta- bloquants sont interdits en compétition seulement, dans les sports suivants : Aéronautique (FAI), Automobile (FIA), Billard (WCBS), Bobsleigh (FIAT), goules (CMSB), Bridge (FMB), Curling (WCF), Gymnastique (FIC), Lutte (FILA), Pentathlon moderne (UIPM), Quilles (AQ), Tir (ISSA), Tir à l’arc (ATA), Voile (ISAF) mais présentent de nombreux risques tels que des troubles du rythme cardiaque, dépression psychique, impuissance sexuelle