marketing

marketing premium Le secteur bancaire l’un des secteurs les plus évolutifs Marot, t’est un secteur qui bouge perpétuellement avec les grandes mutations que connaît l’environnement économique et financier Marocain et étranger. La privatisatia„. Ha irstore. fr Premium Produits et matériel de coiffure pour particullers Numéro I en Europe Mobilier – Sèches Cheveux – Accessoires – Colorations – Lisseurs Tondeuses – Beauté et Spa – Coiffants – Soins – Shampooings Sophie CATALA – L 3 CV I – Droit de l’information et de la communication NICOLAS CANTEl_aup LE CONNAITRE ET OECHIFFRER SON HUMOUR

Introduction Nous allons naus Intéresser un nouvel as de la carlcature, le vous présente Nicolas Canteloup et ses imitations saisissantes de personnes Eco financiere Économie Financière : Mardi 3 février On appréhende la monnaie par ses fonctions ; – rest d’abord un instrument de mesure – un instrument d’échange instrument de réserve Mouton en latin pecus On repère ensuite la Dissertation Faits et Statistique Fmplacement L’Furnpe du sud-ouest, bardant la Baie de Biscay, Mer Méditerranée, le Nard L’Océan atlantique. et Montagnes de Pyrénées, le sud-ouest de France Capitale Madrid Cllmat : modéré : les étés cl..

Projet de code de la famille du mali gy Iadnes I ID, 2014 41 pages Le secteur bancaire est l’un des secteurs les plus évolutifs au Maroc, c’est un secteur qui bouge perpétuellement avec les grandes mutations que connaît l’environnement économique et financier Marocain et étranger. La privatisation d’un nombre important de banques avec la montée de la mondialisation a contraint ces dernières de s’armer de plus en plus afin de répondre efficacement à la concurrence acharnée causée par cette privatisation. C’est dans ce souci d déployer les stratégi concurrentiel qui pourrait la déma ue banque essaie de oral ?rir un avantage S. . p to page dversaires. D’où la nécessité d’une bonne vision marketing par les banques marocaines, cette vision qul pourrait être traduite sur le plan opérationnel par la combinaison des différentes stratégies afférentes qui répondent le plus adéquatement possible aux attentes multiples de la demande. Dans la présente partie nous aurons l’occasion de décrire les différents par une forte concentration. Cette concentration se matérialise par la prédominance des plus grandes banques en termes de parts de marché.

Les trois premiers établissements atteignent plus de 50 % en termes e part du marché en 2002. Le taux de bancarisation ne concerne encore que le quart de la population totale, mais la moitié de la population urbaine. Le Près du tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise. Aujourd’hui, le secteur bancaire au Maroc est « essentiellement privatisé » et les quelques banques publiques qui restent sont en cours de privatisation. Le Maroc a lancé un vaste programme de réformes économiques qui englobe l’administration publique, le secteur financier, le logement et l’enseignement.

Face à des banques commerciales globalement saines, les nciens organismes financiers spécialisés, devenus des banques avec la loi bancaire de 1 993 et soumis à des règles prudentielles resserrées, souffrent toujours de difficultés de gestion en dépit de la mise en place de plans de redressement. Il faut noter que l’année 2003 à été marquée par la naissance d’un champion national de la banque et de la finance : Attijariwafa bank, une institution nouvelle qui puise ses racines dans deux grandes banques marocaines de renoms ayant accompagnées le Maroc dans son développement économique et social depuis plus d’un siècle.

Elle est issue de la fusion de la Banque Commerciale du Maroc et de Wafabank et a donné naissance à la première banque du Maroc. Le secteur bancaire Maroc PAGF 7 OF rise éealement par une comptent dans leur actionnariat des banques étrangères plus ou moins impliquées dans leur gestion. On recense: C] Des filiales françaises : BNP Paribas contrôle 63,12% de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie (BMCI), la Société Générale contrôle 51 de la Société Générale Marocaine de Banque (SGMB), le Crédit Agricole contrôle 51% du Crédit du Maroc. Des participations étrangères minoritaires mais significatives et ‘accompagnant d’accords commerciaux : le CIC, depuis juin 2004, avec 10% dans le captal de la Banque Marocaine du Commerce Extérieur (BMCE), Santusua Holding (Espagne) avec 14,48% du capital de Attijariwafa Bank, Marocains résidant ? l’étranger). Le FEC : qui a pour mission de concourir au développement des collectivités locales, en leur accordant des concours techniques et financiers. Cl Organisations interbancaires : L’association des banques (GPBM : Groupement Professionnel des Banques Marocaines).

Il. Définition de la banque : Aux termes de farticle 1er du décret royal du 21 avril 1967 : « est considérée comme banque oute entreprise qui fait profession, habituelle de recevoir du public, à titre de dépôts ou autrement, des fonds qu’elle emploie soit pour son propre compte, soit pour le compte de ses clients ou de tiers désignés par ceux-ci, en opérations financières, de crédit, de bourse ou de change. ‘k Les techniques de banque et de crédit au Maroc de BERRADA Mohammed Azzeddine.

Ainsi, la banque est un établissement de crédit ayant pour objet de procurer des services financiers aux particuliers ainsi qu’aux entreprises, qu’elles soient prlvées ou publiques. L’activité de banque consiste à collecter des fonds qui, mobilisés ous des formes variables (par l’octroi d’un prêt par exemple), permettent le financement de l’activité économique. Ces services sont aujourd r un réseau d’institutions 31 Mars 1943, à la suite de la promulgation de Parrêté du directeur des finances de la même date, complété par les dispositions des arrêtés des 15 janvier 1954, 17 janvier 1955 et 16 avril 1955.

Ces textes instaurèrent l’inscription obligatoire des banques sur une liste officielle et précisèrent le domaine de leur activité. Ils instituèrent également un « comité des Banques » organe corporatif groupant les banques nscrites, doté d’un pouvoir réglementaire étendu. Ce Comité dont les décisions devaient être soumses à l’approbation du Directeur des Finances, constitua également « L’organisation des Banques au Maroc » chargée de représenter la profession. Cette organisation était complétée par le « Comité du Crédit et du Marché Financier » à rôle consultatif. . L’évolution du système bancaire après l’indépendance • Le système bancaire marocain fut profondément transformé et restructuré après l’indépendance du pays. On peut retenir dans l’ordre chronologique les différentes phases uivantes • D L’extension de la réglementation bancaire, en vigueur depuis 1943, à l’ancienne zone nord et province de Tanger respectivement le 14 Août 1958 et le 31 mars 1960. La création de la Caisse de Dé ôt et de Gestion et de la Caisse d’ Eparene Nationale PAGF S équipements (industriels, miniers, médicaux, maritimes, touristiques.. nécessaires au développement du pays. La création de la banque Marocaine du Commerce Extérieur, le 1 er septembre 1959, en vue de faciliter et de développer les échanges extérieurs La restriction du Crédit populaire par le Dahir du 2 février 1961 Cl La promulgation du décret royal du 21 avril 1967 redéfinissant la réglementation bancaire en renforçant le pouvoir des autorités de tutelle en matière de contrôle et de politique de crédit. La substitution du Crédit Immobilier et Hôtelier (C.

I. H) ? l’ancienne Caisse de Prêts Immobilier le 19 mai 1967 et sa réorganisation par le décret royal du 17 décembre 1968 et la loi du 12 octobre 1971. C] La transformation de l’Office des Cotations des valeurs mobilières en « bourse des Valeurs » par le décret royal du 14 novembre 1967. L’extension des modalités de la loi bancaire au Crédit Populaire le 10 juillet 1970. Cl La marocanisation des banques par le dahir du 2 mars 1973, opérée définitivement le 31 mai 1975.

C] La mise en place, à compter de fin juin 1974, d’une politique d’incitation ? l’épargne. La réglementation des c 6 OF licables aux opérations de tourisme). D Il convient de signaler enfin Pétude, en cours, d’une nouvelle reforme bancaire. Quelques uns des aspects de cette reforme se reflètent déjà dans les dispositions relatives à la B. N. D. E et au C. I. H autorisées à recueillir des dépôts et a ouvrir des agences depuis le 1er janvier 1986.

Notons parallèlement qu’au lendemain de l’indépendance, lusieurs établissements bancaires cessèrent leur activité ou les transférèrent à l’étranger, d’autres opérèrent entre eux des concentrations, ramenant ainsi le nombre des banques inscrites ? moins de la moitié (26 établissements en 1961). La marocanisation entrainera elle-même de nouveaux réaménagements, en limitant l’influence des sociétés mères étrangères et en réduisant (par fusion, absorption ou transformation) le nombre des banques inscrites à 15. écapitulation des grandes évolutions du système bancaire : Bref, l’ouverture des premiers guichets bancaires au Maroc date de la deuxième moitié du 9ème siècle. Avec l’avènement du protectorat français en 1912, des banques commerciales européennes, des banques d’affaires et des rou es financiers étrangers se sont installées au Maroc. substituer à la Banque d’Etat du Maroc et assurer la fonction de Banque Centrale. En 1967, une loi relative à la profession bancaire et au crédit a été promulguée.

Elle a permis une définition plus précise de l’activité des banques, la délimitation des attributions des autorités de tutelle et de surveillance et l’institution d’une réglementation plus appropriée. Cette loi établissait une distinction très nette entre les banques ommerciales (ou de dépôts, qui avaient pour objet d’effectuer des opérations de crédit et recevoir des dépôts à vue) et les organismes financiers spécialisés (OFS, qui étaient régis par des textes propres et concouraient au financement de Vinvestissement et de secteurs particuliers).

Une nouvelle loi bancaire a été instaurée en 1993 et a introduit un concept nouveau, largement inspiré de l’expérience internationale, celui de la banque universelle. En vertu de cette loi, les banques peuvent exercer et commerciallser l’ensemble des produits et services bancaires. Cette notion annule la spécialisation établie jusque l? ntre les banques commerciales et les organismes financiers spécialisés. 6 4. es évolutions récentes : Les structures du système bancaire marocain, développées et consolidées au lendemain de l’indépendance ainsi que r s ont contribué dans une PAGF technologiques internationales assurant plus commodité, de souplesse et de rapidité dans les opérations, donc un meilleur service de public. IV. Les activités de la banque : L’activité des banques englobe la réception de fonds du public, leur mise à la disposition de la clientèle, ainsi que la gestion de moyens de paiement.

Les onds recueillis sont affectés ? la conduite d’opérations de crédit, elles-mêmes génératrices de nouveaux dépôts par le supplément de monnaie qu’elles sont amenées à créer : les banques sont au centre du processus de création monétaire. . les opérations de la banque . Nombreuses, les activités des banques de dépôts se divisent entre les sewices aux particuliers, les activités de crédit et les services effectués pour le compte de l’État ou pour celui des émetteurs de valeurs mobilières. Les servlces rendus aux particuliers sont le plus souvent rendus gratuitement en contrepartie u dépôt de fonds non rémunérés.

Ils comprennent toutes les activités ayant trait à la gestion des comptes de dépôt (règlement et encaissement des chèques, recouvrement des factures, exécution des ordres de virement, gestion des règlements par carte bancaire et carte de crédit, opérations de change avec Pétranger). Certains services sont également rendus moyennant commission (conservation des titres, conseils concernant les placements, location de coffresforts). L’octroi de crédits, aux entreprises comme aux particuliers, est la principale source de profit pour les banques : celles-c es découverts, des