Yachmenyov Hristina Compte Rendu . « Construire en France, construire en fer, construire en béton » S. Giedion Ce livre est une th France du XIXe siècle est un historien d’arc ect••. or 8 livre comme une syn comme un regarde e futur nous semble plus important. » construction en Giedion Sigfried aire dans son écable et non pas te le présent, mais le Pour comprendre le présent il faut examiner le passé. Son plan de démonstration est composé de plusieurs éléments : il utilise des images qui expliquent et expriment ses thèses. Ces images sont directement liées au texte.
Il a choisi de repartir son plan en trois parties principales : Introduction, fer et Béton. Dans ce plan chaque partie a son importance chronologique. L’introduction explique les notions fondamentales pour la compréhension du sujet général : la construction, l’industrie, l’architecture, le rôle du constructeur, de l’architecte et l’impo Swipe to nex: page l’importance des constructeurs du XIXe siècle et du XXe Siècle en France. La deuxième partie est une continuation chronologique de l’introduction. L’auteur continue de parler du XIXe siècle, mais avec une concentration sur la construction en fer à cette ériode.
La troisième partie est un passage vers le XXe siècle et la construction en béton armé. Pour démontrer ses remarques il utilise des comparaisons et des citations. Par exemple, dans la deuxième partie (« Fer ») il compare les pensées traditionnelles des Beaux-Arts avec la construction révolutionnaire en fer par des constructeurs et des ingénieurs de XIXe siècle. Un autre exemple dans la troisième partie (« Béton ») est la comparaison de la monumentalité lourde de l’académie avec une conception nouvelle des espaces aérés créés avec le béton armé de e Corbusier.
Le sujet sur le fer est représenté par deux grandes périodes : 1800-1850 premiers essais, 1850-1890 développements et évolution. Le chapitre sur le béton armé est divisé également en deux périodes importantes : 1900-1920, 1920-1927. Afin de mieux comprendre l’ordre chronologique des événements, il s’appuie sur des déclarations de littérature architecturale et constructive. En analysant ce livre, nous pouvons dire que le développement industriel est la fondation des nouvelles techniques constructives avec de nouveaux matériaux de construction.
L’industrie est caractérisée par la mécanisation du ravail et a démarrée une démarche collective. Ce t caractérisée par la mécanisation du travail et a démarrée une démarche collective. Ce travail mécanique permet de produire des éléments précis en grande quantité et a amélioré la qualité et les techniques des ouvrages. Les conséquences de ce développement industriel touchent aussi les autres aspects de la vie, par exemple la société humaine et l’économie. Ces changements sont liés à la Révolution française, la liberté de travail et à la curiosité intellectuelle. us ces changements ont provoqué un nouveau statut des ngénieurs. Les ingénieurs sont capables d’estimer le potentiel de construction par la compréhension d’utilisation des nouveaux matériaux. Donc, cette capacité des ingénieurs à estimer la potentialité des nouveaux materiaux et à leur donner une plus grande importance au même titre que les constructeurs, met les architectes de cette époque en arrière-plan. Les constructeurs, pionniers de la première génération sont remarqués autour de 1800. La deuxième génération est apparue autour de 1830.
Ils ont été des entrepreneurs, visionnaires qui ont exploités plusieurs domaines. En générale, ils sont restés inconnus, mais quelques noms de constructeurs ayant participés au progrès de la nouvelle construction sont mentionnés pour cette période. Quelques exemples de pionniers : Antoine Polonceau qui a créé des ponts en fonte à Paris, amélioré le drainage, essayé d’utiliser du béton pour des fondations. Eugène Flachat a construit le premier chemin de fer en France. Henri Labr pour des fondations. Eugène Flachat a construit le premier chemin de fer en France.
Henri Labrouste est le premier ? conjuguer la position d’ingénieur et d’architecte en une même personne. Dans la deuxième génération on voit Camllle Polonceau qui a inventé une ferme à son nom. Gustave Eiffel participe à l’édification du grand pont en fer de Bordeaux et tente de creuser les fondations des piliers en employant l’air comprimé. Il consacra toute sa vie à la construction de la Ferme en arc. Le XIXe siècle est connu comme répoque des innovations et des changements. Une interpénétration étonnante de tendances individualistes et collectives.
Ses héritages sont l’industrie et la socialisation, mais aussi à échelle plus petite nous avons des ponts, des chemins de fer, des tunnels. Aujourd’hui on utilise toujours certains éléments de ce siècle. En France, deux pôles font face. En premier, il y a l’école des Beaux-Arts qui bloque les innovations. L’architecture officielle se range de son côté. Cette institution a gardé « l’ancien régime ». En second, Ily a récole Polytechnique qui est responsable des révolutions successives et qui est perçu comme une association des sciences et des techniques.
La construction en fer est toujours associée avec les ingénieurs et les constructeurs de XIXe siècle. Ce matériau a des caractéristiques qui répondent aux besoins fonctionnelles des ?difices et équipements publics (galeries, halles, gares, grandes magasins, ponts, usines… ). Tous ces édifices ont b PAGF équipements publics (galeries, halles, gares, grandes magasins, ponts, usines… ). Tous ces édifices ont besoin d’un grand espace avec une surface dégagée et beaucoup de lumière.
Les premières applications du fer dans le bâtiment étaient le remplacement des charpentes en bois des entrepôts et théâtres qui brûlaient très facilement. Les charpentes en fer en combinaison avec le verre laissent pénétrer beaucoup de lumière. C’était le point de départ pour la construction des aleries et plus tard pour les halles, les gares et les bâtiments d’expositions. Les français étaient plus avancés techniquement même si les anglais étaient plus avancés dans l’industrialisation et en matière fabriqué.
La création anglaise la plus remarquable à cette période est le Crystal palace. Mais l’édifice qui a vralment marqué la révolution constructive est la bibliothèque Sainte- Geneviève de Labrouste. Elle est la première bibliothèque conçue avec un mur qui enserre l’édifice en conservant l’intégrité de sa masse originelle mais tout l’édifice a un squelette de fer. En plus de l’ossature en fer il y a des éléments en fer ou en fonte intégrés partout, mais ces éléments répondent toujours ? une fonction. Par exemple, les colonnes en fonte qui traversent les salles sont porteuses.
En outre, cette bibliothèque est extraordinaire avec ses voûtes hautes composées de fermes d’arcs en fonte. L’approche constructive des premiers constructeurs avec « le nouveau » matériau était en quelque sorte traditi premiers constructeurs avec « le nouveau » matériau était en quelque sorte traditionnelle. Ils n’avaient pas encore découvert la capacité exceptionnelle du fer en traction. ex : Halles des machines anglais 1833- les fermes en fonte sont posées comme la ferme en bois sur des murs épais). Mais, les édifices avaient besoin de répondre aux nouveaux besoins (métropole, industrie et mouvement-trafic).
Les Halles ou les gares avaient exigé des grandes surfaces dégagées qui peuvent accueillir un grand nombre de visiteurs. Ils avaient besoin aussi d’avoir une certaine hauteur sous plafond pour l’aération et la lumière. Le fer était le seul matériau qui pouvait répondre à leurs exigences. Il permettait de réaliser des éléments constructifs plus fins et plus résistants. Ses édlfices « légers » étaient mis en œuvre très rapidement. La ferme de Polonceau était un vrai progrès. Légèreté de la construction, elle pèse son propre poids sur les supports d’où la finesse des piliers.
Il travaille en traction. (Utilisée aussi pour la Gare de Nord, Paris). Les expositions étaient une vraie manifestation de la nouvelle construction. La création des édifices pour ce type dévènement permettait d’expérimenter et de chercher les limites des nouveaux matériaux. un des plus remarquables bâtlments est la Galerie des machines, 1889. Le palais de machines a une portée e 115m et une hauteur de 45m, longueur totale de 420m_ Le volume de cet espace complètement dégagé signe une vraie victoire sur la matière. 420m.
Le volume de cet espace complètement dégagé signe une vraie victoire sur la matière. Les progrès et les innovations de la construction du XIXe siècle jouent le rôle d’inspiration et d’influence pour les constructeurs à venir. La construction devient expression et une forme créée. (Ossature en fer de la chocolaterie Menier à Noisel-sur-Marne La construction à ossature de fer de l’immeuble 1871— > de logements à stuttgaft, Mies Van Der Rohe, 1927, Van Der Rohe était inspiré par rossature en fer remplit de briques de la Chocolaterie Menier).
La période importante suivante de la construction en France est marquée par le début du XXe siècle. Il s’agit d’une vérltable révolution dans la construction née avec l’usage du béton armé. Le béton armé a apporté de nouvelles possibilités de construction. Le fait qu’il permette de réaliser des bâtiments plus fins avec des grandes ouvertures a annoncé une nouvelle esthétique et conception des habitats. Auguste Perret et Tony Garnier sont les deux pionniers notables en France qui font les premiers essais de construction n béton armé.
Ses essais sont une piste pour l’usage de ce matériau. (A . G. Perret, Maison du 25 bis rue Franklin, parls-la première ossature en béton armé ; Tony Garnier-cité industrielle, Lyon 1904- représente le Nouveau Construire en une échelle urbaine). Plus tard Le Corbusier a établi un point de départ de la nouvelle construction. Ses idées et réalisations ont influencé l’architecture de XXe siècle. l’architecture de XXe siècle. Un des projets importants de Le Corbusier est le Palais des Nations mis à mal une dernière fois par l’Académie des Beaux-Arts.
Ce projet de Le Corbusier expose les démarches de [‘architecture moderne sur lesquelles l’architecture d’aujourd’hui se base. Sur le plan de démonstration de Giedion nous pouvons voir très clairement la comparaison entre la démarche traditionnelle et féodale des Beaux-Arts et celle de Le Corbusier plus moderne. Les projets qu’étaient proposées par l’académie étaient très couteux. La monumentalité était l’aspect le plus important, sans aucune considération fonctionnelle, ni prise en compte du terrain ou du nouveau mode de vie : Automobile.
Le projet de Le Corbusier était plus aéré avec une prise en ompte du terrain de projet et du paysage avec une orientation sud, de la circulation automobile, de la définition de la forme pour l’acoustique, moins couteux et une mise en œuvre plus facile et rapide. L’architecture moderne de XXe siècle développe une architecture internationale caractérisée par la simplicité, l’aération et la fonctionnalité que la construction en béton armé a proposée. En conclusion, nous pouvons dire que chaque nouveau matériau propose des qualités constructives différentes qul répondent aux exigences des besoins inhérents à l’époque.