Vraisemblable que to que la puissance de Définitions mots-clés By Nona_ll RHRapR 21, 2015 | 7 pages Étymologie[modifier modifier le wikitexte] Composé de bon et de sens avec la signification de « raison Locution nominale[modifier modifier le wikitexte] Singulier Pluriel bon sens bons sens ‘bô sds/ bon sens Ibo sas/ masculin 1. Capacité de discerner clairement ce qui est évident, sans en être distrait par d’autres considérations.
Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car to page x même qui sont hose, n’ont point oi il n’est pas lutât cela témoigne e vrai d’avec le faux, ui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison est naturellement égale en tous les hommes ; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses.
Car ce n’est pas assez d’avoir l’esprit bon, mais le principal est de l’appliquer bien. Les plus grandes âmes sont capables des plus grands vices, aussi bien que des plus grandes vertus ; et ceux qui qui ne marchent que fort lentement peuvent avancer beaucoup ‘avantage, Sils suivent toujours le droit chemin, que ne font ceux qui courent, et qui s’en éloignent (Descartes, Discours de la méthode) Je n’indiquerai que des mesures simples qui ont déjà été proposées; car il s’agit moins de créer de brillantes théories que de revenir aux premières notions du bon sens. (Maximilien de Robespierre; Sur les subsistances, séance de la Convention du 2 décembre 1792) [… l, la supériorité de la France vient de son bon sens, de la logique à laquelle sa belle langue y condamne l’esprit ; elle est la Raison du monde (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844) Aussi Pinjustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, — (Arthur Schopenhauer, Essai sur les femmes, dans Pensées & Fragments, traduction par J.
Bourdeau , Félix Alcan, éditeur, 1900 (16e éd. )) Le bon sens est inné, c’est-à-dire que, dans toute personne saine, il est comme un sixième sens qui s’ajoute aux cinq autres : la vue, rouie, le goût, l’odorat, le toucher, et le bon sens. — (Franc- Nohain, Guide du bon sens, Éditions des Portiques, 1932) Bon sens Haut du formulaire Définition Le bon sens est l’intermédiaire entre l’ignorance et la connaissance bien assurée. II est la raison sans raisons 2 l’intermédiaire entre l’ignorance et la connaissance bien assurée.
Il est la raison sans raisons. Entre la sphère théorique où l’on s’entend rarement sur le sens d’un mot ou d’une idée et la sphère pratique où l’on doit agir, le plus souvent sans être assuré de pouvoir le faire en connaissance de cause, il y a un vide. Le bon sens comble ce vide. Il est la «la saine et droite raison», dit le Littré et plus loin: «le sens commun, l’intelligence et la lumière avec laquelle naissent la plupart des gens. Le bon sens est de nos jours défini comme la raison en tant qu’elle remplit le vide laissé par la science: «capacité de bien juger, sans passion, en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par des raisonnements scientiques» (Le petit Robert). Enjeux Le bon sens est l’une des principales conditions de la liberté de pensée et de ses hautes et inutiles voltiges, comme le filet est la condition des prouesses du saltimbanque.
On peut toujours, avec n minimum de risques, laisser les théoriciens se contredire entre eux sur les raisons de faire ceci ou cela, aussi longtemps que l’on a l’assurance que le bon sens prévaudra au moment inéluctable d’agir… et de choisir pour agir. Le génie est souvent perçu comme un état tel qu’il dispense du bon sens. Tout autre est le point de vue de Marmontel: «Le bon sens est la première qualité du géni 3 sens. Tout autre est le point de vue de Marmontel: «Le bon sens est la première qualité du génie; et l’à propos, la première loi du bon sens».
Mais quand dans une société le bons sens est fréquemment n déroute et quand on sihabitue à cette déroute, le pire est à craindre. À l’occasion des Fêtes de Noël de l’année 2002, l’humanité entière se sera infligée à elle-même le spectacle de la déroute du bon sens en offrant sans mesure les tribunes les plus importantes dans les médias aux dirigeants de la secte du plus bas étage qui soit, celle des Raëliens. Peut-être le bon sens était-il, au temps de Descartes, « la chose du monde la mieux partagée. Aujourd’hui, il faut tempérer Descartes par Boileau, à l’instar de Littré «Tout doit tendre au on sens, mais pour y parvenir le chemin est glissant et pénible tenir; pour peu qu’on s’en écarte aussitôt on se noie. » Raél a présenté sur tous les écrans du monde le modèle, grandeur nature, de la soucoupe volante d’où sont descendus les extra-terrestres qui l’ont initié à la Vérité. Bergson, dans Le Rire a proposé une méthode pour interpréter les faits de ce genre. Il nous donne en même temps une excellente définition du bon sens. Je suppose qu’un jour, vous promenant à la campagne, vous aperceviez au sommet d’une colline quelque chose qui ressemble aguement à un grand corps immobile a 4 aperceviez au sommet dune colline quelque chose qui ressemble vaguement à un grand corps immobile avec des bras qui tournent. Vous ne savez pas encore ce que c’est, mais vous cherchez parmi vos idées, c’est-à-dire ici parmi les souvenirs dont votre mémoire dispose, le souvenir qui s’encadrera le mieux dans ce que vous apercevez. Presque aussitôt, l’image d’un moulin vent vous revient à l’esprit : c’est un moulin à vent que vous avez devant vous.
Peu importe que vous ayez lu tout à l’heure, avant de sortir, des contes de fées avec des histoires de géants aux nterminables bras. Le bon sens consiste à savoir se souvenir, je le veux bien, mais encore et surtout à savoir oublier. Le bon sens est l’effort d’un esprit qui s’adapte et se réadapte sans cesse, changeant d’idée quand il change d’objet. Cest une mobilité de l’intelligence qui se règle exactement sur la mobilité des choses. Cest la continuité mouvante de notre attention à la vie. Voici maintenant Don Quichotte qui part en guerre.
Il a lu dans ses romans que le chevalier rencontre des géants ennemis sur son chemin. Donc, il lui faut un géant. L’idée de géant est un ouvenir privilégié qui s’est installé dans son esprit, qui y reste l’affût, qui guette, immobile, l’occasion de se précipiter dehors et de s’incarner dans une chose. Ce souvenir veut se matérialiser, et dès S dehors et de s’incarner dans une chose. Ce souvenir veut se matérialiser, et dès lors le premier objet venu, n’eût-il avec la forme d’un géant qu’une ressemblance lointaine, recevra de lui la forme d’un géant.
Don Quichotte verra donc des géants là où nous voyons des moulins à vent. Cela est comique, et cela est absurde. Mais est-ce une absurdité quelconque ? C’est une inversion toute spéciale du sens commun. Elle consiste à prétendre modeler les choses sur une idée qu’on a, et non pas ses idées sur les choses. Elle consiste à voir devant soi ce quoi l’on pense, au lieu de penser à ce qu’on voit. Le bon sens veut qu’on laisse tous ses souvenirs dans le rang ; le souvenir approprié répondra alors chaque fois à l’appel de la situation présente et ne servira qu’à l’interpréter.
Chez Don Quichotte, au contraire, il y a un groupe de souvenirs qui commande aux autres et qui domine le personnage lui-même : c’est donc la éalité qui devra fléchir cette fois devant l’imagination et ne plus servir qu’à lui donner un corps. Une fois l’illusion formée, Don Quichotte la développe d’ailleurs raisonnablement dans toutes ses conséquences; il s’y meut avec la sûreté et la précision du somnambule qui joue son rêve. Telle est l’origine de l’erreur, et telle est la logique spéciale qui préside ici à l’absurdité. Maintenant, cette logique est-elle particul la logique spéciale qui préside Ici à l’absurdité.
Maintenant, cette logique est-elle particulière à Don Quichotte Bas du formulaire RAISON (La Raison) Sens 1 : faculté d’établir des relations entre les choses et de former des concepts (synonyme d’entendement) Sens 2 : faculté de juger c’est-à-dire de distinguer le vrai et le faux, le bien et le mal (Synonyme de jugement). Contraires : les passions, la folie mais aussi les sens. Vraisemblance, en langage courant, est l’attribut de ce qui semble intuitivement vrai, c’est-à-dire, celui qu’on attribue à une réalité contenant une apparence ou probabilité du vrai (vérité).
En littérature, le terme désigne ridée que ce qui est raconté essemble à la réalité. En théâtre, il se rapproche de la Règle des trois unités (XVIIe siècle), d’inspiration classique, où la tragédie doit respecter cette règle, aussi bien que celle de la bienséance. Pour certains auteurs, le vraisemblable est encore plus exigeant que le vrai, puisque « le vrai peut quelquefois n’être point vraisemblable » (Nicolas Boileau). La vraisemblance est un terme qui désigne ce qui revêt toutes les apparences de la vérité. Une histoire vraisemblable est une histoire qui paraît croyable sans pour autant qu’elle soit vraie.