La culture En français le terme « culture » couvre deux concepts • Concept individuel : ensemble de connaissances d’un individu Concept collectif : ensemble des structures sociales, politiques, philosophiques, religieuses, artistiques, etc. 1. Ognon culturel La culture est comme un oignon de plusieurs couches plus ou mois faciles à identifier. Il faut éplucher ses couches pour toucher le cœur et avoir la clé de la compréhension d’une culture. La première couche comportement (ex : suivante constitue le couches les plus prof implicites, de manièr Swip next page uditive du rriture, etc.. La e culture. Dans les s éléments plus es sans réfléchir. 2. Les composantes d’une culture A. La langue. La langue sert à communiquer (trouver un terrain d’entente entre les locuteurs), à partager. C’est un outil de savoir et de savoir faire à l’intérieur d’un groupe. C’est aussi un outil de conceptualisation (= mettre un mot sur un concept). La langue est en constante évolution naturelle même si on remarque un certain appauvrissement de cette dernière. On distingue les langues transparentes et les langues opaques même son mais signification différente, ex : sceau et sot).
Cette distinction crée des divergences et des Incompréhensions entre le locuteur de langue opaque et le locuteur de la langue transparente. regroupent différentes habitudes et traditions relevant de tous les domaines des activités humaines. L’habillement est l’une des premières apparences significatives, vient ensuite l’alimentation (les interdits religieux, habitudes alimentaires), puis l’habitat (différences selon la place disponible, selon les pays), les loisirs (ex : les entreprises australiennes ont des vestiaires avec douches car le sport fait partie intégrante de leur culture) et les médias interdits, etc.. ainsi que le contexte professionnel (horaires, etc.. ). C. Savoir faire et savoir vivre. Le savoir faire correspond à la mise en pratique d’un ensemble de connaissances et d’expérience. Le savoir vivre est la connaissance et l’application des règles de politesse d’une culture. D. Les institutions. C’est rensemble des structures sociales établies par la loi et/ou par la coutume. E Les normes. Les normes définissent ce qui fonde un état habituel conforme ? la majorité des cas dans une société donnée à un moment donné, elle diffère dans le temps et dans l’espace.
F. Les valeurs. Les valeurs définissent ce qui est bien et mal, ce qui est beau et laid, ce qui est vrai ou faux dans une société à un moment donné. G. Processus cognitif. C’est l’ensemble des perceptions, de l’apprentissage, de la forme d’acquisition des connaissances, de la mémoire (ex : sourd). H. Mythes, croyances et représentations. Le mythe peut se définir comme une image simpl’fié souvent illusoire que des groupes ptent au sujet d’un 2 OF s matières religieuses et économiques.
Les représentations sont les idées que l’on s’imagine d’un fait en onction de ses sens, son vécu et son imagination. I. Stéréotypes et préjugés. Le stéréotype est une généralisation d’une idée qui s’appuie sur des éléments vraisemblable. Cette généralisation peut appliquer que l’ensemble du groupe étudié sera soumis au stéréotype. Le préjugé est une conception partagée par un groupe ? l’ensemble d’un autre groupe. Ce préjugé est à priori fondé sur des idées reçues.
Conclusion : Le fondement d’une approche multiculturelle suppose l’existence d’apprentissages, d’expériences remise en cause et de doutes. Une culture n’est jamais figée, elle est, au contraire, l’objet d’une dynamique permanente soumise à des interactions multiples et variées. Les grilles d’analyse culturelles 1. Ce qui est visible et ce qui ne Pest pas La théorie de l’iceberg : 10 % de choses visibles (langue, apparence particulière, savoir faire, savoir vivre) et de non visibles (processus cognitif, mythes et croyances, normes et valeurs).
Ces grilles sont des outils qui vont nous permettre de mettre en place des structures d’analyses culturelles. 2. La théorie de HOFSTEDE ulture dite monochrome, l’individu hiérarchise les tâches par ordre de priorité. Il accorde son attention à la tâche qu’il réalise en s’isolant du reste de son environnement. A l’inverse, l’approche d’une culture polychrome, l’individu se sent obligé de répondre à toutes les sollicitations (interruptions et imprévus qui font partis de son processus relationnel). . Le modèle de Trom PENAARS En reprenant les 4 éléments de Hall, il a rajouté 3 éléments : Universalisme (z mettre en place, appliquer et suivre des règles, des normes) ou particularisme (= obligation relationnelle rivilégiée) Affectivité (=expression des sentiments) ou neutralité (z rien ne doit transparaître) et Statut attribué (= le statut définit vos droits et devoirs) ou statut acquis (z parce que vous avez fait tel ou tel chose vous allez avoir des droits et des devoirs = méritocratie. Communication interpersonnelle Dans toute situation de communication il faut considérer la situation comme une donnée (ex : cours de 8h à 9h) qui est le résultat de rapports sociaux antérieurs et comme une construction qui est le produit des activités de l’individu. 1. Le contexte A. La notion de communication. La communication est un 4 S mise en commun. Zone sociale = reprend l’ensemble des relations dites courantes avec une distance entre lm20 à 3mètres. Zone personnelle : regroupe les connaissances, la famille, les amis, collègues… vec une distance entre 60 cm et lm20. Zone intime : comprend les membres de la famille, les amis très proches avec une distance de moins de 60crn. Les distances dans la zone sociale, personnelle et intime vont être influencées par la culture. Le contexte temporel : l’heure ; le temps dont on dispose comptabilisé de deux manières = secondes, minutes et heures constituent une donnée objective ou alors liés à la culture) Les savoirs communs : les acteurs d’une relation interpersonnelle partagent des informations communes qui vont influer sur la communication. C.
Contexte général. Les rituels : série de transactions complémentaires simple, programmées par les forces sociales externe. Ils constituent des singes de reconnaissance, d’appartenance ou de considération. Ils sont appris, stéréotypés et issus de conventions sociales et de traditions culturelles. Parmi les rituels on a : les rituels d’accès des éléments qui facilitent le rapprochement ou la séparation (ex : salut)) ; les rituels de confirmation (z va confirmer l’image que chacun souhaite donner et manifester son intérêt et sa considération pour Vautre. et les rituels de réparation permet de transformer en acceptable ce qui parait offensant. Ces trois éléments sont liés à la culture et vont être modifiés. Contexte socioéconomiques et technologiques : nos conditions de vie sont profondément modifiés par les éléments socioéconomiques et technologique. S OF s