Zadig, Voltaire Biographie de Voltaire Résumé de l’œuvre Ce conte philosophique de Voltaire raconte les différentes étapes de la vie de Zadig un riche et beau jeune homme modeste et honnête étant à la recherche du bonheur.
Cependant il est soumis à une providence qui semble s’acharner contre lui, ainsi il sera tour à tour trompé par des femmes inconscientes, condamné à l’amende pour avoir vue passer une chienne, faillit être empalé pour un griffon, envoyé au supplice pour avoir fait des vers à la louange du roi, sur le point d’être étranglé parce que la reine avait des rubans jaunes, transformé en esclave en Egypte, enacé du bucher, f finalement regagner de sa bien aimé qu’il car il est déclaré vain la reine son amante, Swip next page nd Arbogad pour e en compagnie ne se finit pas là, abylone et épousé n adversaire et condamné à errer seul. Néanmoins il fera la rencontre de l’ermite, qui n’est qu’autre que l’ange Jesrad qui lui montrera sa destinée et lui permettra de vivre heureux. Etude des personnages principaux Les principaux personnages ayant une importance capitale dans ce conte sont Zadig, Astarté, Cador et l’ange Jesrad. Zadig est décrit comme un « Riche et jeune » homme, doté d’une ? figure aimable « d’un esprit juste et modéré » et d’un Sv. ‘ipe to « cœur sincère et noble Cest le héros de ce conte dont les aventures nous sont contées les unes après les autres, nous permettant de voir notamment son évolution.
Tout d’abord social ; il change de nombreuses fois de statut : citoyen, conseiller du roi, fuguant, esclave, affranchis, vagabond, puis enfin roi. De plus ses émotions évolue énormément au cours du récit : au début il est optimiste et persuadé que le bonheur est possible puis peu à peu il va comprendre qu’il n’est pas bon d’être trop riche, cultivé, intelligent, et honnête dans sa société. Il va finir par être désespéré et ne plus croire au bonheur. Cependant après son entrevue avec l’ange Jesrad qui lui explique l’ordre de l’univers et de la Providence, il reprend confiance, ce qui lui permet de vivre heureux à la fin du conte.
Malgré cela ses qualités, ses opinions, et sa façon de penser ne change pas, il ne ressent aucune haine pour aucun de ses opposants et ne ressent pas le désir de vengeance. Il incarne l’homme parfait ayant pour seul défaut la naiVeté. Astarté quant à elle est la reine de Babylone, épouse de Moabar. C’est une très belle femme, dont la beauté est relevée à de ombreux endroit, qui tombe éperdument amoureuse de Zadig. Elle a un rôle primordial dans l’intrigue. En effet c’est l’histoire d’amour impossible entre Zadig et elle qui va conduire aux différentes péripéties, et qui va guider Zadig dans sa quête du bonheur. Elle évolue tout au long du récit ; au début elle n’assume 2 guider Zadig dans sa quête du bonheur.
Elle évolue tout au long du récit ; au début elle n’assume pas ramour qu’elle porte à Zadig et tente de le dissimuler, puis peu à peu elle va laisser paraître des signes d’affections. Lorsqu’elle sera contrainte de uitter Babylone, elle n’aura alors plus qu’une seule Idée en tête : retrouver Zadig. C’est à partir de là qu’elle assume cette amour. De plus son statut social évolue : tout d’abord reine, puis fuguante, puis favorite, puis servante pour au final redevenir reine. Elle Incarne la femme fatale, belle mais infidèle. Cadors est l’ami éternelle de Zadig. Tout au long du récit il se montre loyal envers ce dernier et contribuera au bonheur à son bonheur ainsi que celui d’Astarté. En effet c’est lui qui sert d’intermédiaire entre les deux amants et les aideras à se retrouver.
On ne voit pas de très grande évolution dans ce personnage. Il incarne la fidélité. ‘ange Jesrad n’est présent que dans un seul chapitre mais va permettre le dénouement de l’histoire. En effet Jesrad explique à Zadig le sens de la vie et lui conseils de retourné à Babylone. Il représente l’ange du bien selon la doctrine de Lebnig ; « faire le mal pour faire le bien », la religion et donne la morale du conte. Thème, intérêt et message de l’auteur A travers son œuvre Zadig, Voltaire fait une réelle critique de sa société que ça soit d’un point de vue religieux, ou politique. Premièrement on retrouve dans de nombreux chapitre sa vision par r 3 de vue religieux, ou politique. r rapport à la religion de son temps, le plus souvent tournée au ridicule et/ou exprimé à travers le personnage de Zadig. Dès les premiers chapitres il montre l’opposition être les croyances traditionnelles des religieux et celles de Zadig se basant sur son éducation, c’est-à-dire la raison. Cf chap2 : Le borgne « Zadig était fortement persuadé que l’année de trois cent soixante-cinq Jour et un quart, malgré la nouvelle philosophie de son temps, et que le soleil était au centre du monde ; quand les principaux mages lui disaient que c’était être ennemi de l’Etat que de croire des choses pareilles Zadig e taisait alors sans colère. ? C’est donc une allusion à la situation contemporaine de Voltaire, l’Eglise réfutant les thèses de [‘héliocentrisme ayant pourtant été prouvée. Le chapitre le plus satirique de la religion est le chapitre 7 qui nous révèlent les querelles futiles qui partagent Babylone : elle ne porte pas sur le dogme mais des gestes rituels. Les réponses de Zadig à ces querelles sont du plus grand comique : elles sont brèves et simple. Elles font honte aux deux partis par son caractère grotesque. Le discourt que prononce ensuite Zadig est plein de bon sens et stigmatise l’étroitesse d’esprit du clergé. C’est l’occasion pour Voltaire de critiquer le style de la bible étant à l’opposé du langage philosophique des lumières.
Deuxièmement on ret 4 style de la bible étant à l’opposé du langage philosophique des lumières. Deuxièmement on retrouve la critique de la Justice avec la succession d’accusation à tort contre Zadig. Tout d’abord il est accusé d’avoir volé la chienne et le cheval de la reine, puis d’avoir écrit des vers à l’encontre de sa Majesté, enfin menacé au bucher pour avoir abolie une affreuse et cruelle coutume qui durait depuis des siècles. Ces scènes de condamnation sont très atiriques, car Zadig réussissant toujours à s’en sortir, tire des conclusions simplistes, tourné de manière comique par Voltaire. Cf chap. 4 : Le chien et le cheval : « Grand Dieu ! it-il en, lui- même, qu’on est à plaindre quand on se promène dans un bois où la chienne de la reine et le cheval du roi ont passé ! Qu’il est dangereux de se mettre à la fenêtre ! Et qu’il est difficile d’être heureux dans cette vie ! » Par ailleurs nous retrouvons la critique des défauts humains telles que l’opportunisme : Cf chapl : le borgne « Zadig avait de grandes richesses, et par conséquent avec des amis la jalousie qui onduit Moabar à vouloir tuer sa femme ainsi que Zadig, ainsi que la corruption des religieux. Enfin tout au long du récit Voltaire met en avant un paradoxe Zadig est l’idéal humain, le bien, et est destiné à connaître le malheur, qui est normalement consacré aux hommes mauvais, pour connaitre le bonheur.
En réalité tous ces malheurs nous sont présentés comme étant la conséquence des qualités humaines : S réalité tous ces malheurs nous sont présentés comme étant la conséquence des qualités humaines : cf chap4 « Zadig vit combien il était dangereux quelque fois d’être trop savant » et ermettent donc à Voltaire de critique l’obscurantisme de la société. pour ce qui est de la morale de ce conte, elle est donné explicitement par l’ange Jesrad : « il n’y a pas de mal dont il ne naisse un bien. » « Il n’y a point de hasard : tout est épreuve, ou punition, ou récompense, ou prévoyance » Conclusion/Mettre en parallèle avec l’Ingénu. En conclusion, Zadig de Voltaire est un conte philosophique qui fait réfléchir sur la notion du bien et du mal, et rend compte des disfonctionnements de la société.
Voltaire utilise un cadre oriental afin de critiquer sa société, à travers la satire de cette ernière. Il est intéressant de mettre cette œuvre en parallèle avec l’Ingénu, car l’auteur utilise les mêmes procédés pour nous faire passer son message. Le héros est un idéal (Zadig/lngénu même caractéristiques physiques et morales) qui est à la quête du bonheur et de l’amour impossible (avec Astarté pour Zadig/ Melle de Ste Yves pour l’Ingénu). Il est aidé d’un ami fidèle (Cador/ Gordon) et ses malheurs sont due à des opposants appeler la plupart du temps par leur défaut (« l’envieux »/« le bailli Les deux œuvres critique la même société mais à travers deux récits différents.