Analyse de pratique 1. Stage nal : Multi Accueil Acacias. Description de la situation et analyse : Qui : L’enfant A a 13 mois, c’est un bébé venant à la crèche depuis quelques mois, 7 mois exactement. crèche tous les jours sauf le mercredi. Il vient à la ‘enfant est l’enfant que je dols prendre à charge pendant la durée de mon stage. C’est un jeune garçon qui ne parle pas encore. pour manger, l’enfant A est dépendant d’une auxiliaire de puériculture. Quoi : La situation se Afin qu’il est mangé Où : Cela se situe da chaise haute.
Quand : La situation Swipe v et après un repas. la sieste. s bébés, dans une miers jours de mon tage, le vendredi 07 Novembre, vers 1 1h15 jusqu’à 11h50. Comment : Tous les matins, après avoir observé, joué avec les enfants ou encore après leur avoir lu une histoire, je range les jouets pour pourvoir mettre en place les chaises hautes, pour ensuite pouvoir donner à manger à l’enfant A. Ce Jour-là, une auxiliaire de puériculture est là pour m’expliquer le déroulement et les étapes du repas. Elle va donc me s ShAipe to Wew next page superviser lors de ce soin.
Intentions, motifs d’actions Pour commencer, avant de mettre tout en place, ma première intention est de voir et de comprendre, tout ce dont l’auxiliaire de uériculture avait besoin, sur son chariot, pour donner le repas aux enfants. Puis en débutant le repas, mon intention est de comprendre les étapes et la façon dont l’auxiliaire de puériculture mène ce soin. pour pouvoir par la suite réaliser ce soin seule. La procédure d’action, les questionnements et les ressenti : Cauxiliaire de puériculture et moi-même mettons tout en place pour le repas.
Nous avons préalablement préparé les bavoirs, les gants de toilette (pour leur nettoyer le visage et les mains après le repas), ainsi que les plats, les desserts et de l’eau. Ma collègue installe les enfants dans les chaises hautes et me it de leur mettre les bavoirs. Puis elle part dans la salle de cuisine parce que nous avions oublié un verre. Je décide donc de surveiller les bébés (Il était trois, ce Jour-là). Nous retirons les emballages des repas des enfants et les mettons dans les assiettes prévue à cet effet.
L’auxiliaire m’explique alors qu’il faut toujours commencer à donner ? manger aux enfants qui sont arrivés en premier. L’enfant fait partie des bébés arriver en premier donc je décide 2 enfants qui sont arrivés en premier. L’enfant fait partie des bébés arriver en premier donc je décide de prendre son repas, son essert et son verre d’eau et de le mettre près de lui pour que ce soit plus pratique lors du repas. Cauxiliaire de puériculture débute le soin en annonçant au bébé ce qu’est le plat (par exemple : « aujourd’hui c’est purée de carotte et colin »).
J’essaie alors de comprendre pourquoi elle dit ça au bébé, et je comprends que c’est pour que l’enfant sache ce qu’il mange et qu’il ne soit pas surpris par ce que nous lui mettons dans la bouche. Je prends alors l’initiative de faire de même avec le bébé que j’ai à charge. Mais il repousse à plusieurs reprise ma main, à ce moment-là je commence à me poser des questions. Es ce que je fais les bon les gestes ? Pourquoi ne veut-il pas manger ou es ce que c’est parce qu’il n’aime pas ? Es ce que c’est à cause de ma présence ?
J’ai donc attendu un petit moment avant de réessayer de lui donner la première cuillère de son plat. Pendant ce temps-là, je me suis également posée la question, de pourquoi l’auxiliaire ne m’a pas donné de conseil à ce moment où j’étais en difficulté. Je me suis dit qu’elle voulait peut-être que je trouve la solution toute seule ou peut-être parce qu’elle n’avait pas fait attentio 3 pas fait attention que j’étais en difficulté. Par la suite l’enfant A, a accepté que je lui donne à manger, ce qui m’a beaucoup rassuré.
Je me suis également dit qu’il avait refusé de manger à cause d’une appréhension, une méfiance qu’il avait eu face à l’inconnu (Moi, une personne qui ne connaissait pas) qui lui donnait à manger et non par mon manque d’expérience. Après le plat nous sommes donc passés au dessert. L’auxiliaire me dit qu’il faut lui donner de l’eau avant de lui donner le dessert, ce qui permet à l’enfant de faire une pause. Je fais alors ce qu’elle me dit. Ensuite je demande au bébé si tout vas bien (même si je sais qu’il ne peut pas me répondre).
Voyant que j’arrive à la fin de son yaourt, je décide de prendre finitiative de le prévenir. L’auxiliaire me félicite de l’avoir prévenu. Nous commençons la toilette de chacun des bébés que nous nous occupions. Je lave alors les mains et le visage de l’enfant que j’ai à charge. Tout en Fayant prévenu avant d’effectuer ce soin. par la suite fauxiliaire de puériculture me dit qu’il faut les laisser dans les chaises pendant quelques minutes pour qu’ils digèrent. Je lui demande si il est quand même possible de lui donner un jouet, pour pas qu’il trouve le tem 4 digèrent.
Je lui demande si il est quand même possible de lui onner un jouet, pour pas qu’il trouve le temps long. Elle m’a répondu oui, mais que ce n’était pas une obligation car de toute façon il allait le jeter. Je décide quand même de donner un jouet au bébé, tout en me posant la question de pourquoi elle ne voulait pas que je lui donne un jouet ? C’est alors que l’enfant le fit tomber par terre, donc je prends l’initiative de le ramasser et de lui redonner mais il recommence.
C’est donc à ce moment-là que Pauxlliaire de puériculture me dit de ne pas le lui redonner et m’explique pourquoi. Après les explications qu’elle m’ait données, j’explique à l’enfant ourquoi je ne lui redonne pas. Mais je me pose tout de même la question de pourquoi renfant jette-t-il 2/3 l’objet par terre ? J’ai donc posé la question à l’auxiliaire, elle m’a répondu que c’était parce qu’il sait que en le faisant tomber au sol ça va faire du bruit.
Malgré les explications qu’elle a pu me donner, j’ai fait des recherches et c’est de là que j’ai appris que l’enfant était dans une phase de l’apparition de la préhension 1 . L’enfant jette l’objet pour voir si l’image revient devant lui (lorsqu’il voit que l’image revient, il se dit que si l’objet revient alors ses arents vont revenir, ce qui le r S revient, il se dit que si l’objet revient alors ses parents vont revenir, ce qui le rassure) mais il le jette également pour attirer l’attention.
Quand tout le monde a fini de manger, nous descendons les enfants des chaises et les mettons sur les tapis pour qu’ils puissent se détendre un peu avant d’être changé et d’aller à la sieste. Ressenti, vécu émotionnel, appréhensions Avant : J’ai eu une appréhension par rapport au comportement que l’enfant aurait pu avoir avec moi. Mais aussi, si l’auxiliaire de puériculture allait bien vouloir que je l’aide. Pendant : Je ne savais pas si j’employa•s le bon vocabulaire pour parler à l’enfant.
J’étais stressé, surtout au moment où il a repoussé ma main. Après : J’ai été rassuré parce qu’il a quand même mangé. Commentaires : L’auxiliaire de puériculture a été bienveillante avec moi. Elle me disait quand je faisais quelque chose de bien et de moins bien. Mais au moment où j’ai été en difficulté avec fenfant j’aurais aimé qu’elle me donne des conseils. Savoir à développer : La confiance en soi. La technique du soin. La technique de communication. Comment réussir à connaître mieux l’enfant lorsqu’il ne parle pas.