Alcools Apollinaire

Alcools Alcools est un recueil de poèmes de Guillaume Apollinaire. Il paru en 1913. Guillaume Apollinaire est un poète et écrivain français, né sujet polonais de l’Empire russe. Il est né le25 août 1 880 à Rome d’après sa fiche militaire. Il est considéré comme l’un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle, auteur de poèmes tels que Zone, La Chanson du mal-aimé, Mal ou encore, ayant fait l’objet de plusieurs adaptations en chanson au cours du siècle, Le Pont Mirabeau.

Son œuvre érotique (dont t page principalement un ro ?galement passée ? pratique du calligram pas l’inventeur du ge en forme de dessins Swipe v èmes) est ta un temps la tian, quoiqu’il ne soit des poèmes écrits e en vers et strophes). Il fut le chantre de nombreuses avant-gardes artistiques de son temps, notamment du cubisme à la gestation duquel il participa, et poète et théoricien de l’Esprit nouveau, et sans doute un précurseur majeur du surréalisme dont il a forgé le nom. Il mourut pour la France le 9 novembre 1918 à Paris.

Ce recueil, qu’Apollinaire mit 15 ans à élaborer, annonce la quête e modernité, de jeu avec la tradition, de renouvellement formel de la poésie de l’auteur. Alcools est un un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l’élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, alliant une presque perfection formelle et une grande beauté à un hermétisme, un art du choc, de l’électrochoc, qui valut à Apollinaire d’être qualifié de mystificateur.

Alcools montre le poète déchiré par ses ruptures amoureuses. Dans la plupart de ses poèmes, Apollinaire supprime la ponctuation. LE PONT MIRABEAU Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne Pheure Les jours Sen vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse Camour s’en va comme cette eau courante Camour s’en va Comme la vie est lente Et comme l’Espérance est violente Passent les jours et passe 2