Commentaire littéraire pierrot-G de Maupassant

Commentaire littéraire pierrot•G de Maupassant Commentaire littéraire : Pierrot, Gide Maupassant Sujet Rédigez un commentaire littéraire sur la nouvelle Pierrot de Guy de Maupassant. Le recueil des Contes de la Bécasse écrit par G. de Maupassant. aru en 1883, rapport stage Premium Institut proulnclal d’enseignement de promotion sociale de Herstal YI Rue de l’écale technique, aoao Herstal Matricule – téléphone : al André Sandrine alde-sclgnante Janvier 2A Edito Les decouvertes scientifiques au 19 eme slecle I) Introduction Le 19ème peut ?tre appelé le siècle des révolutions car taus les aspects de la vie changent évoluent, se transforment, Ce fut un siècle marqué principalement par la réuol. . ANNE FRANK Prem lum Anne clandestine Anne Consciente de la qu’elle a par rapport juifs déportés et elle Se culpabilise el n’ose Se plaindre de San sort ; pourtant elle souffre de son enfermement, de son manque de liberL_.

NOEL EN COLOMBIE NOËL EN COLOMBIE présenté par: PATICHOY Liliam ACUILERA Cesar Les derniers jours de Novembre, les rues sont remplies avec des lumières et tous es gens se préparent pour célébrer Noël, une fête qui rassemble les familles Flaubert 2 R ves « ses raisons » montre de par son déterminant possessif que Rose est une personne capable de réflexion de même que « les défendit avec astuce » indique que la jeune fille sait argumenter. Le complément « avec astuce » laisse à penser que ses arguments sont censés.

Mais la jeune servante est aussi une personne compatissante et humaine, elle fait en sorte que le chien soit mené au puits dans de bonne conditions : « Ainsi il ne serait pas brutalisé en route Elle est, de plus, affectée par a décision de Mme Lefèvre de se débarrasser Pierrot, puis de ne plus le nourrir (« s’essuyant les yeux du coin de son tablier « pleurait mais elle s’y plie, « résignée » Pour le personnage de Pierrot, l’auteur décrit surtout les caractéristiques physiques du chien : « Jaune, presque sans pattes, un corps de crocodile, une tète de renard ».

De ce fait, il utilise un discours descriptif et met l’accent sur l’anormalité et la laideur de ce dernier, notamment par l’emploi des adjectifs qualificatifs « étrange » et « immonde Pour finir, Mme Lefèvre, ? une dame de campagne » est une personne dévote, peu humaine contrairement à ce qu’elle semble vouloir montrer. Cette dernière fait « l’aumône ostensiblement aux pauvres des chemins. L’adverbe « ostensiblement » nous indique que sa générosité n’est qu’une question d’apparence et non de réelle générosité.

Le portrait des personnages ne comprend que les traits principaux de leur caractère (on ne connait notamment pas leur aspect physique), 2 les traits principaux de leur caractère (on ne connait notamment pas leur aspect physique), souvent déduits à travers leurs actions. Le récit laisse apparaitre un défaut très présent chez Mme Lefèvre : l’avarice. En effet, les phrases exclamatives montre tout au long de l’histoire son indignation et son angoisse lorsqu’elle doit verser le moindre sous (« huit francs Madame ! « Quatre francs ! Vous vous en feriez mourir ! ?), de même que l’emploi des adjectifs « terrifiée b, « inquiète Y. L’antithèse « trouva fort beau ce roquet immonde qui ne coutait rien » montre que celle-ci n’apprécie le chien que pour sa gratuité. pour finir, cette dernière n’hésite pas à « lui faire piquer du mat », autrement dit à le jeter u fond d’un puits pour ne pas avoir à payer de taxe. L’argent tient donc une place centrale dans le récit : il est le moteur des peripéties et influence le caractère des personnages. L’avarice évoquée dans le premier paragraphe n’est malheureusement pas le seul défaut engendré par l’argent.

Le récit met en avant les nombreuses perversions que celui-ci occasionne. Par la cruauté de la scène tout d’abord ; Mme Lefèvre, accompagné de Rose, jette Pierrot dans le puits. L’auteur Insiste sur le pathétique de Pierrot. De ce fait, il emploi les hamps lexicaux de la supplication, de la douleur (« plainte aigu », « gémissait « Implorait « supplications », « bête blessée « désespéré et insiste par la même occasion sur le dramatique de la scène. M 3 « bête blessée « désespéré et insiste par la même occasion sur le dramatique de la scène.

Mme Lefèvre n’est pas tout à fait dénuée de sentiments. Elle est « saisie de remords h. Malheureusement, ses états de conscience sont bien vite effacés par sa cupidité et sa hantise de verser le moindre sous : lorsqu’elle apprend qu’elle doit verser quatre francs pour extirper e chien du puits, « toute sa douleur s’envola du coup Une fois encore les phares exclamatives témoignent de son indignation (« Quatre francs ! »). De plus tout son attachement pour Pierrot disparait lorsqu’elle apprend qu’elle doit payer une taxe.

Il passe alors à ses yeux d’un chien « fort beau » (terme mélioratif), qu’elle « arrivait même à aimer » à un « freluquet » (terme péjoratif), dont « on se débarrasserait Ses réactions sont aussi changeantes que démesurées. pour finir, elle cesse définitivement de se soucier du chien lorsqu’elle découvre qu’il n’est plus seul dans e puits, « suffoquée à l’idée de tous ces chiens vivant à ses dépends L’adverbe « tous » indique que Pierrot n’est plus qu’un chien parmi tant d’autre et non plus son chien.

De plus, cet adverbe montre une exagération car ils ne sont en l’occurrence que deux dans le puits en cet instant. De part ces éléments, Maupassant met en avant l’inhumanité de Mme Lefèvre et ainsi une nouvelle conséquence de l’argent sur l’Homme qui s’ajoute à la cupidité, l’avarice et l’abusive parcimonie. Maupassant érige ainsi une critique de l’argent 4