Commentaire litteraire l’Assommoir

Le naturalisme, un mouvement littéraire apparut pendant le 19ème siècle(et qui peint), est un mouvement littéraire qui peint une peinture de la réalité, pas toujours de façon positive. Zola, auteur naturaliste, n’a jamais cache son opposition pour la vie sous le Second Empire, et exprime cela dans la série des Rougon – Macquart surnomme « Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire Dans l’Assommoir, est le septième oeuvre appartenant a cette série, publié en 1877, Gervaise, une jeune femme abandonné par son homme, et quelques ouvriers e retrouvent dans le cabaret éponyme.

Quelques uns boivent, mais Gervaise et son ami Copeau sont sobres. Vers la fin du passage, l’auteur décrit de façon complexe l’alambic, en faisant ressortir sa fonction, description est-elle s question en deux te façon un simple alam nous examinerons su vie ouvriere. p g En quoi cette répondre a cette s verrons de quelle et puissant, puis cette machine et la Premièrement, dans ce passage de l’assomoir, nous pouvons facilement comprendre que le thème dominant porte sur l’alambic : Objet du curiosité, de fascination et de menace.

D’abord, Zola répète de nombreuses fois « l’alambic » a travers le passage, pour rappeler au lecteur que l’alambic est censé être le centre de l’attention du lecteur. La périphrase « Machin S to page Machine a soûler soulevé la fonction de l’alambic, qui est de créer de l’alcool. L’alambic est aussi personnifie.

Comme un humain elle avait « un souffle intérieur, un ronflement souterrain et elle travaillait « comme un travailleur morne, puissant et muet Ensuite, l’alambic est très puissant dans ce passage utilisant cette antithèse : »Grand alambic de cuivre rouge, qui onctionnait sous le vitrage clair de la petite cour’ Zola souligne l’opposition de volume entre l’alambic, et la salle ou il est place, ce qui donne un effet de supériorité a l’alambic. La description de l’alambic continue avec « diffèrent pièce de l’appareil « , marquant la complexité de la machine a distiller, ce qui est une autre façon de marquer sa supériorité.

De plus, l’alambic est décrit comme étant menaçant et potentiellement dangereux : « forme étrange « enroulements sans fin de tuyaux » et « mine sombre Finalement, le placement de cette « machine a soûler ? est derrière une « barrière de chêne», ce qui donne un effet d’interdiction a la machine, comme si elle était dangereuse, et il ne fallait pas s’y approcher Enfin, A la fin du passage, Zola finit par un commentaire très complexe sur le danger véritable que pose l’alambic, en utilisant une gradation ascendante • « Envahir la salle, se répandre sur les boulevards extérieurs, inonder le trou immense de Paris. ? Cette gradation accentue l’opposition verbale entre « envahir », « répandre et « inonder et aussi l’opposition de l’espace « salle « boulevards « répandre », et « inonder et aussi l’opposition de l’espace « salle « boulevards », « inonder Zola veut continuer l’idée que l’alambic est dangereux, et souligne aussi le danger de l’alcool dans la société Parisienne pour les ouvriers. Deuxiemement, dans le passage, on rencontre de nombreux ouvriers, qui ont tous etait affectes par l’alcool d’une facon.

D’une part, les ouvriers sont tous donnes des surnoms. Zola commence par apeller Coupeau « le zingeur En utilisant cette periphrase, l’auteur definie la fonction precise de l’ouvrier, et lui donne de la valeur. Puis, on rencontre un nouveau ouvrier surnomme « Mes-Bottes Cette fois, cette figure de style n’est pas utilise pour valoriser le personnage, mais au contraire pour le devaloriser, en lui donnant le nom d’un article qu’on porte sous nos pieds.

Finalement, le pere Colombe est un surnom pour representer les moraux de cet homme, en l’associant a un animal qui represente la paie. D’autre part, les ouvriers ont tous une relation avec l’alcool. Coupeau, semble s’être éloigne de l’alcool d’un jeune âge, au fait de l’accident que son père a eu. Malgré cela, il connaît bien le onctionnement de l’alambic. Mes – Bottes, qui contrairement a Coupeau, a un probleme d’alcoolisme. Zola exprime cela en comparant son rire a un « rire de poulie mal graissée ».

II sent aussi qu’il a une relation intime avec ralambic  » elle était bien gentille » Cette personification montre qu’il ressent de l’affection envers l’alambic. Finalement, on a la jeune Gervai 3 montre qu’il ressent de l’affection envers l’alambic. Finalement, on a la jeune Gervaise, qui elle aussi a des mauvais souvenirs de son enfance lie a l’alcool, et qui est donc completement oppose a l’alcool, et ne boit pas du tout. Finalement, Zola decrit les ouvriers, et surtour Mes-Bottes dans ce passage, afin de montrer leur cote completement deshumanise.

Mes – Bottes est decrit par pere Colobe, et le compare a un animal : « Cet animal de Mes-Bottes Ce commentaire montre l’effet de l’alcool sur cet ouvrier le rend completement in-humain, que meme ses collegues et ses amis sont surpris, et semble le mepriser. Puis, Zola decrit les desirs de Mes – Bottes face a l’alcool, « Lui, aurait voulu qu’on lui soudat le bout du serpentin entre les dents, pour sentir le vitriol encore chaud l’elmplir.. » Ce desir est tres choquant, et montre dans uel etat l’ouvrier est.

En fin de comte, on comprend que l’alambic, dans ce passage, est la base de tout le mal dans la vie de ces ouvriers, a cause de sa fonction qui est de créer l’alcool. Les ouvriers, eux, sont des personnes qui vivent mal, qui travaillent beaucoup, et qui reçoit très peu. Ce texte est donc symbolique du fait qu’il est naturaliste, et exprime exactement la souffrance des personnes pendant le 19ème siècle. On pourrait donc se demander, de quelle facon cet extrait au debut du roman, pourrait predire ce qui se passera a Gervaise, vers la fin de l’ouevre ? 4